• Pré"L'AIDE à MOURIR" : un euphémisme dérangeant...ambule -: L’euphémisme, ici, apparaît bien comme l’effacement de voix dissonantes destinées à pacifier un discours idéologique dont Marivaux, par la bouche des valets, aimait à souligner l’incongruité qui, ordinairement, passe inaperçue :

    M. Orgon. –… C’est qu’il faudrait, pour nous disculper de ce qui arrivera, que tu lui dises un peu qui tu es.
    Lisette. – Mais si je le lui dis un peu, il le saura tout à fait !

    (Marivaux, Le Jeu de l’Amour et du Hasard, Acte III, sc. 5)

    L’euphémisme élude, par la suppression de mots déplaisants, la représentation franche d’une réalité brutale, et crée une distorsion lexicale destinée à embellir la représentation de réalités déplaisantes… Car avec la formule « l’aide à mourir « Il s’agit surtout, d’amortir, de gazer ou de noyer ce qu’une représentation peut avoir d’inquiétant ou d’inconvenant, dans un échange entre gens de bonne compagnie, soucieux d’éviter toute agression dans le discours.

    L’euphémisme n’est qu’une infraction à une réflexion de qualité, une distorsion destinée à embellir la représentation de réalités déplaisantes, à éviter le débat voire à le minorer : « l’aide à mourir » n’est ni plus ni moins qu’une « euthanasie » déguisée, un véritable basculement civilisationnel…

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    " Aide à mourir »: une euthanasie qui ne veut pas dire son nom

    Par LUDOVIC GENIN

    Ludovic Genin a fait des études en Histoire et philosophie des sciences et en Science de l'information. Il rédige des articles sur l'actualité française et internationale.

    Le chef de l’État est venu en personne annoncer le futur projet de loi sur la fin de vie dans un entretien accordé à La Croix et Libération. Après une présentation au Conseil des ministres en avril, le sujet sera débattu en mai à l’Assemblée, quelques semaines avant les élections européennes.

    Pour ne pas parler « d’euthanasie » ou de « suicide assisté », Emmanuel Macron joue sur la sémantique et l’utilisation appuyée des mots « fraternité » et « dignité ». Malgré tout, il s’agira bien de demander aux médecins de prendre la vie d’un patient ou de l’assister dans son suicide, ce qui est contraire au code de déontologie de la médecine.

    Avec le recul, la loi sur l’euthanasie promulguée en 2002 en Belgique a provoqué des cassures profondes entre les générations et dans la prise en charge par la société des personnes les plus faibles. Le nombre d’euthanasies ne cesse d’augmenter chaque année et l’on autorise maintenant le suicide assisté de mineurs.

    Emmanuel Macron dit vouloir « regarder la mort en face ».

    Tout d’abord, dans l’entretien à La Croix et Libération, Emmanuel Macron insiste pour ne pas parler d’euthanasie ni de suicide assisté mais plutôt d’une « loi de fraternité », car il faut, selon lui, « bien nommer le réel sans ambiguïté ». Pour trouver ce chemin entre les mots et les maux, le président dit s’être appuyé sur l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) et les travaux de la Convention citoyenne.

    Dans une tribune du Figaro publiée en 2023, treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant 800.000 soignants avaient pourtant déclaré que l’euthanasie est une pratique « incompatible» avec le métier du soin et critiquaient le fait de n’avoir pas été associées à la Convention citoyenne.

    Peu importe, le terme qui sera utilisé dans la loi sera « l’ aide à mourir » car, selon le président, le terme d’euthanasie « désigne le fait de mettre fin aux jours de quelqu’un ». Cependant, si la proposition de loi veut effacer le terme, elle n’effacera pas l’acte. Il reviendra bien au médecin de donner la mort à un patient, ce qui est contraire à son serment d’Hippocrate. Tout médecin en France a fait le serment d’Hippocrate affirmant tout faire pour « soulager les souffrances, ne pas prolonger abusivement les agonies et ne jamais provoquer la mort délibérément ».

    Pour le président, il ne s’agit pas non plus d’un suicide assisté, même si, finalement, ce sera le patient ou un proche qui administrera la substance létale. Selon Emmanuel Macron, la future loi stipulera que « l’administration de la substance létale sera effectuée par la personne elle-même […] soit par une personne volontaire qu’elle désigne […] soit par le médecin ou l’infirmier qui l’accompagne. » Mais pas de suicide assisté ni d’euthanasie, les mots à ce stade semblent ne plus avoir grande importance.

    Selon le président, qui déclare vouloir « regarder la mort en face »,  « l’aide à mourir » sera réservée aux personnes majeures « capables d’un discernement plein et entier ». Il faudra avoir une maladie incurable et un pronostic vital engagé, mais seront « exclus » les patients atteints de « maladies psychiatriques ou de maladies neurodégénératives qui altèrent le discernement, comme Alzheimer ».

    Une loi encadre déjà la fin de vie

    Selon Claude Grange, praticien hospitalier en douleurs chroniques et soins palliatifs depuis 25 ans, le public n’est pas assez informé sur les soins palliatifs et sur la proportionnalité des protocoles de soins et de sédation déjà existants dans loi Claeys-Leonetti.

    Aujourd’hui, la loi Claeys-Leonetti, dite «loi Leonetti», encadre la fin de vie des malades incurables. Adoptée à l’unanimité (fait rare) en 2005 et renforcée en 2016, elle interdit l’euthanasie et le suicide assisté, mais permet une «sédation profonde et continue jusqu’au décès» pour des malades en phase terminale et en très grande souffrance.

    Selon Claude Grange, les patients ont besoin de mieux connaître les différents moyens thérapeutiques existants pour soulager la douleur, car les protocoles de sédation ont déjà une diversité de solutions possibles, en fonction de la durée et de la profondeur de la sédation et du consentement de la personne.

    Avec son expérience prolongée dans des unités de soins palliatifs, le praticien se dit défavorableà l’aide active à mourir:                            « Personnellement, je ne suis pas pour la modification de la loi actuelle. Commençons déjà par appliquer celle qui existe.»

    La question de l’accès aux soins palliatifs

    Le problème principal de la fin de vie est surtout celui de l’accès aux soins et des moyens donnés aux soins palliatifs. Selon la Cour des comptes, la moitié des patients qui auraient pu avoir droit aux soins palliatifs, en 2022, n’a pu y accéder.

    Selon Claire Fourcade, présidente de la Société Française des Soins Palliatifs (SFAP), interviewée par le Figaro, «aujourd’hui, 500 personnes par jour n’ont pas accès aux soins palliatifs en France. Toutes les 3 minutes, une personne meurt sans cet accompagnement.».

    Dans ses annonces, le président affirme la mise en place d’une unité de soins palliatifs dans chaque département, alors que les unités actuelles ont déjà du mal à survivre. Selon Claire Fourcade, « avec ce projet de loi, il semble évident qu’il sera plus facile d’accéder à l’euthanasie qu’aux soins palliatifs pour un grand nombre de patients. » Une euthanasie ou un suicide assisté coûteront moins chers à l’État qu’une prise en charge plus longue par des soins palliatifs, le cynisme de cette loi sera sans appel.

    Selon la présidente de la SFAP, reprenant le terme de « loi de fraternité » utilisé par le président, la fraternité serait « d’abord de proposer aux gens d’avoir accès aux soins dont ils ont besoin. » Cette fraternité étant actuellement portée à bout de bras et avec peu de moyens, par les professionnels et bénévoles des soins palliatifs, médecins et infirmières.

    Le modèle de l’euthanasie belge

    La Belgique a autorisé l’euthanasie en 2002 et est devenue en 2014 le premier pays européen à permettre aux enfants atteints de maladie incurable de choisir l’euthanasie, balayant les doutes sur le discernement de l’enfant. Depuis, le nombre d’euthanasies pratiquées en Belgique n’a cessé d’augmenter. Il était de 2.699 en 2021, 2.966 en 2022 pour atteindre 3.423 euthanasies en 2023, selon les données de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie. Un chiffre en hausse de 15% par rapport à l’année précédente. 

    Dans Marianne, le journaliste Pierre Jova, qui a enquêté sur le modèle de l’euthanasie en Belgique, constate qu’avoir mis l’euthanasie et le suicide assisté dans la loi a eu pour conséquence de l’appliquer à toute la société et d’obliger chaque citoyen à l’envisager.

    Avec le recul sur la question, il est important, selon lui, de voir les « drames et la casse humaine » qu’a engendrés la loi belge: « Des personnes âgées obtiennent l’euthanasie et ne préviennent pas leur famille […] sans parler des euthanasies pour souffrances psychiques, qui sont rares et spectaculaires, mais immorales. » Comment une société peut-elle proposer l’euthanasie pour des cas d’autisme, de dépression ou de schizophrénie, interroge-t-il. 

    Pour lui, la généralisation de l’euthanasie dans la loi a été un signal envoyé aux personnes âgées et aux plus vulnérables pensant être un poids pour leur famille ou pour la société.

    Cela va à l’encontre du tissu moral de la société et la nature de notre humanité à prendre soin des autres et plus particulièrement des personnes les plus âgées et les plus faibles. « En réalité, on ne meurt jamais seul, c’est toujours un événement social, un événement familial, un événement culturel qui a été codifié par les civilisations à travers les âges » conclut le journaliste.

    Au début de son premier mandat, Emmanuel Macron avait dit vouloir s'inspirer du "modèle belge" en matière d'euthanasie...

    Inquiétez-vous !

    Réagissez !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tout d’abord, dans l’entretien à La Croix et Libération, Emmanuel Macron insiste pour ne pas parler d’euthanasie ni de suicide assisté mais plutôt d’une « loi de fraternité », car il faut, selon lui, « bien nommer le réel sans ambiguïté ». Pour trouver ce chemin entre les mots et les maux, le président dit s’être appuyé sur l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) et les travaux de la Convention citoyenne.

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  • Vaccin contre le VPH : des plaintes pour homicide contre les laboratoires en Allemagne et aux USAAlors qu'en France, une nouvelle campagne de vaccination contre le VPH (papillomavirus) est prévue au printemps 2024, 10 à 13 % des collégiens et collégiennes sont actuellement vaccinés au 3 mars 2024.

    Aux Etats-Unis et en Allemagne, les campagnes de vaccination contre le VPH (papillomavirus) connaissent un net ralentissement : des mères soulèvent des allégations d'homicide par négligence contre les géants pharmaceutiques.

    Le géant pharmaceutique Merck, tout comme Sanofi, fait face à de graves poursuites judiciaires : deux mères accusent l'entreprise de ce que le vaccin contre le VPH (papillomavirus) Gardasil ait entraîné la mort de leurs filles. Ces poursuites font partie d'une affaire judiciaire interdistricts dans laquelle le fabricant est déjà confronté à plus de 150 allégations similaires sur les six derniers mois.

    Les premières poursuites ont été déposées au nom de deux mères de famille qui « allèguent que le vaccin contre le VPH a provoqué de graves complications auto-immunes et neurologiques qui ont finalement conduit à la mort de leurs filles », selon un communiqué de presse du 16 février de Wisner Baum, le cabinet d'avocats qui a déposé le dossier, et  représente les plaignantes.

    Les accusations contre Merck comprennent un certain nombre d' allégations graves, notamment « la négligence, la négligence grave, le manque d’information des risques encourus, les défauts de fabrication, la violation de la garantie, la fraude générale et l'homicide par négligence voire intentionnel ».

    Ces poursuites font désormais partie d'un vaste processus judiciaire dans lequel plus de 150 cas similaires contre le vaccin, contre le VPH Gardasil, sont déjà en cours d’instruction.

    "La mort insensée de ces deux belles jeunes filles souligne la gravité des allégations portées contre Merck dans ces affaires - selon lesquelles la société aurait exagéré les avantages du Gardasil en tant que moyen préventif du cancer et ignoré les risques, y compris les risques mortels, le tout au seul profit de la société en fin de compte", a déclaré Monique Alarcon, avocate chez Wisner Baum.

     

    Une publicité mensongère ?

    Aux Etats-Unis aussi, les actions se multiplient. A titre d’exemple  le procès intenté par la plaignante Kristine Zuggi de l'État américain de Caroline du Nord. Son enfant de 10 ans, Isabella Zuggi, a reçu la première dose de Gardasil le 26 août 2022. Elle a décidé de vacciner son enfant « après avoir été exposée à une publicité de Merck affirmant que le Gardasil est très sûr, que le Gardasil prévient le cancer et que les enfants doivent impérativement recevoir ce vaccin Gardasil ».

    « Quelques jours après avoir reçu la vaccination, Isabella a commencé à développer des maux de tête, une léthargie, des courbatures et de la fièvre. Au fil du temps, les symptômes d'Isabella se sont aggravés. Elle a continué à souffrir de fortes courbatures et a développé des douleurs à l’estomac, de l’insomnie, des migraines, une fièvre de 38,3° qui a duré trois jours, de l’incontinence, des troubles du mouvement, des changements de comportement, une perte d’équilibre et des difficultés à prononcer des phrases complètes ».

    Bien qu'elle ait consulté plusieurs spécialistes et subi divers tests et traitements, Isabella est décédée le 5 novembre 2022, après avoir été déclarée en état de mort cérébrale un jour plus tôt.

    Isabella est décédée d'une encéphalite aiguë causée par une dérégulation de son système immunitaire. Avant la vaccination Gardasil, elle n’avait aucune maladie auto-immune.

    "La plaignante allègue que l'injection de Gardasil faite à Isabella lui a causé de graves dommages débilitants dus à des réactions auto-immunes."

    La deuxième plainte a été déposée par Lynne Guzman, de Pennsylvanie, au nom de sa fille de 12 ans, Sydney M. Figueroa. À 11 ans, Sydney a reçu sa première dose de Gardasil et en a pris une deuxième un an plus tard.

    "La plaignante s'est appuyée sur les déclarations omniprésentes de Merck concernant la sécurité et l'efficacité du vaccin Gardasil lorsqu'elle a consenti aux vaccinations de Gardasil de sa fille", indique le procès-verbal.

    "Après ses vaccinations Gardasil, Sydney a ressenti des maux de tête, un brouillard cérébral, de la fatigue, des étourdissements, des palpitations cardiaques, de l'épuisement, des douleurs dans les jambes, des bourdonnements d'oreilles, une sensibilité à la lumière, une faiblesse musculaire, des mouvements incontrôlés du cou, de la tête, des bras et des jambes, une incapacité à marcher normalement, trébuchements fréquents, incapacité à avaler (ce qui a finalement nécessité une sonde d'alimentation), problèmes de vision, difficultés respiratoires et douleurs nerveuses atroces ».

    En raison de son incapacité à bouger, Sydney était confinée dans un fauteuil roulant et nécessitait des soins constants jour et nuit. Les médecins lui ont diagnostiqué un syndrome de tachycardie orthostatique posturale, un syndrome de Tourette et un trouble neurologique fonctionnel.

    L'enfant est décédée d'une embolie pulmonaire, qui, selon le procès, était "directement imputable à l'immobilité continue due à ses maladies auto-immunes induites par le Gardasil". Une embolie pulmonaire est un caillot sanguin qui bloque un vaisseau sanguin dans les poumons, empêchant ainsi la circulation sanguine.

     

    Le déni du risque vaccinal ?

    Les plaignantes soutiennent que Merck n'a sciemment pas averti les prestataires médicaux et le public du risque d'effets secondaires ou de décès posé par Gardasil.

    « Merck met régulièrement des vies en danger en pleine connaissance de l'efficacité très limitée et des graves dangers inhérents Gardasil », a déclaré l’avocat Wisner Baum.

    Il affirme également que Merck a mené une « campagne de propagande incessante » visant à utiliser la culpabilité et la peur pour effrayer les parents et les inciter à vacciner leurs enfants ».

    Les plaintes désavouent  également les responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ; en Allemagne, c’est l'Institut fédéral des médicaments et des dispositifs médicaux, qui est mis en cause…

    Julie Gerberding, ancienne directrice de l'agence et, depuis 2014, vice-présidente de Merck, "a docilement guidé le vaccin Gardasil à travers le processus réglementaire du CDC, ignorant apparemment les preuves claires que l'efficacité du Gardasil n'était pas prouvée et que le vaccin pourrait être potentiellement dangereux", ont déclaré les avocats.

    Les avocats affirment également « qu’il n’existe  aucune étude prouvant que Gardasil prévient le cancer ».

    "Parce qu'une infection persistante au VPH peut prendre des décennies pour conduire au développement d'un cancer du col de l'utérus ou de l'anus, et parce que les cancers du col de l'utérus et de l'anus sont si rares, une véritable étude d'efficacité nécessiterait des décennies et probablement des centaines de milliers, voire des millions, d'études qui devraient démontrer que l’élimination de certaines infections au VPH empêcherait réellement le développement du cancer du col de l’utérus et de l’anus ».

    S'adressant aux médias en mars dernier, Bob Josephson, porte-parole de Mercka défendu Gardasil contre les allégations de préjudice. « L’écrasante masse de preuves scientifiques – s’étalant sur plus de 20 ans de recherche et de développement – ​​continue de soutenir le profil dinnocuité et defficacité de nos vaccins contre le VPH », a-t-il déclaré. « Nous défendrons vigoureusement ces cas. » 

    Aux Etats-Unis, selon le CDC, les vaccins contre le VPH sont considérés comme « très sûrs ». Avant son approbation, le vaccin Gardasil « a été étudié sur plus de 15 000 hommes et femmes et s’est révélé sûr et efficace », indique-t-il. L'agence recommande la vaccination systématique contre le VPH à l'âge de 11 ou 12 ans.

     

     

     

     

     

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  • Liste des 45 n°s de lots de vaccins à ARNm les plus dangereux, et accès à la base de données internationalesUn avocat allemand a publié les 45 numéros de lots les plus dangereux de la vaccination à ARNm...

    Toute personne souffrant de dommages causés par la vaccination après l'injection d'ARNm peut et doit vérifier son numéro de lot. L'avocat Tobias Ulbrich, qui représente de nombreuses victimes du vaccin au sein du cabinet d'avocats Rogert & Ulbrich de Düsseldorf, a évalué ses données et publié les numéros de lots les plus dangereux.

    Si, votre numéro de lot ne se trouve pas dans la liste ci-dessous, il vous sera possible de vérifier l’information en cliquant sur le lien d'accès à cette énorme base de données internationale intitulée : « À quel point mon lot est-il mauvais » (How bad is my batch).

    Cela signifie que tout le monde y a maintenant accès, à condition d'en être informé, bien sûr… Cliquez sur le lien suivant :

     Howbadismybatch.com  (Utilisez 1 ordinateur car l’application n’est pas toujours fonctionnelle sur téléphone mobile.  Ouvrez le lien avec Google. Tout en haut, à droite de l’écran, cliquez sur les 3 points verticaux : dans le menu déroulant, cliquez sur « Traduire ». Ensuite, allez directement au milieu de la page ainsi traduite : dans le paragraphe « Recherche par n° de lot, cliquez sur le lien en rouge : « Vérifiez le numéro de lot »).

    Elle a été créée par des militants américains. Des gens attentifs ont remarqué très tôt que certains « lots » de Pfizer, BioNTech et Moderna étaient associés à un nombre particulièrement important d’effets secondaires.

    Tobias Ulbrich veut prouver que les dégâts les plus importants sont causés par un nombre limité de lots. Une liste des numéros de lots les plus dangereux parmi les vaccins de BioNTech/Pfizer et Moderna, a été créée à partir de 3 357 ensembles de données enregistrées, et elle a ensuite été publiée.

     

    "Les numéros de lots les plus dangereux (Pfizer) ":

    Première injection :          Deuxième injection :

    EX8679                                            FE6975

    1D020A                                     SCUE19

    FC3095                                      FE7011
    EX35997                                    SCTN4
    ABV3374                                   
    FE9174

    EW8904                                     FD7958

    *********.                                     EX8679

    *********                                      1D020A

    *********                                      1D015A

    Les numéros de lots les plus dangereux (Moderna) ":

    Première injection :         Deuxième injection :              Troisième injection  

    3003603                                    214008                                           000086A

    3004500                                    000114A                                         216C454
    042G21A                                   000136                                           
    3004954

    3003183                                    216044                                           000124A
    214007                                      300423                                           000125A

    3002620                                    000124A                                         000128A
    **********                                    000128A                                         
    045G21A

    **********                                    000077A                                        3004951

    **********                                     2140121                                        000106A

    **********                                     000132A                                        000114A

     

     Le cabinet d'avocats Rogert & Ulbrich décrit ainsi son engagement :

    « Le cabinet d'avocats Rogert & Ulbrich de Düsseldorf, spécialisé dans le traitement juridique des dommages massifs, traite actuellement plus de 1 500 mandats pour des personnes qui, de l'avis d'un médecin, ont subi des dommages à leur santé après avoir été vaccinés avec le vaccin à ARNm Covid-19. Dans ce contexte, plus de 5 000 premières consultations gratuites ont déjà été réalisées et des centaines de poursuites ont été intentées contre les fabricants de vaccins à ARNm ».

    Des résultats confirmés par une étude danoise.

    Selon l'évaluation actuelle d'Ulbrich, certains lots provoquent des dégâts particulièrement importants. 

    C’est exactement ce que dit une étude danoise qui a débuté en mars 2023, selon laquelle les dommages causés par la vaccination peuvent être attribués à des lots spécifiques du vaccin à ARNm. De même, après l’administration de vaccins issus de certains lots de BioNTech, on constate une augmentation des effets secondaires.

    Cinq scientifiques ont donc écrit une lettre rendue publique à BioNTech et souhaitaient une explication possible du « fait que trois groupes différents de lots de vaccins avec des taux de déclaration très différents aient été observés ». L’étude souligne également « que les lots présentant des taux élevés de signalement d’effets secondaires étaient soit utilisés moins fréquemment, soit étaient de petite taille ». 

    La question se pose également de savoir en quoi « les lots correspondants diffèrent par leur composition ». 

    L'Institut Paul Ehrlich (PEI), responsable de la sécurité des médicaments et vers lequel les cinq chimistes se sont également tournés en raison de leurs inquiétudes quant à la sécurité du vaccin Pfizer-BioNTech, compte tenu des rapports croissants faisant état de dommages causés par le vaccin, est resté silencieux sur cette demande.

     

    Des dégâts vaccinaux avec un nombre élevé de cas non signalés ?

    Environ 9 000 personnes dans tout le pays ont déposé, dès le mois d’octobre 2023, une demande de reconnaissance des dommages causés par la vaccination contre le COVID .  En juin 2023, le « Zeit Online » avait interrogé et évalué ces informations auprès des autorités des 16 Länder.  

    Après que le responsable d'une étude à l’hôpital de la Charité de Berlin, Harald Matthes, eut signalé que le nombre de complications graves était en réalité 40 fois supérieur à celui enregistré par l'Institut Paul Ehrlich (PEI), La Charité a rapidement pris ses distances avec Matthes et l'étude en question, devenue gênante.  

     Harald Matthes s'appuie sur une enquête qui étudie les effets secondaires des vaccins corona depuis environ un an. 

    Environ 40 000 personnes vaccinées ont participé à l’étude – huit personnes vaccinées sur 100 ont souffert d’effets secondaires graves.  A titre de comparaison : l’Institut Paul Ehrlich arrive à 0,02 pour cent par dose de vaccinIl faut préciser, que les chiffres officiels de l’Institut Paul Ehrlich ont été remis en question à plusieurs reprises par différents groupes de médecins.

    Le directeur de l'étude exige, maintenant, des actions.

    Harald Matthes, responsable de l'étude, déclare au MDR que ces chiffres ne sont  « pas surprenants ». Il fait référence à des études menées à l’étranger avec des résultats similaires. 

    Étant donné qu’environ 179 millions de doses ont été injectées en Allemagne, cela signifierait qu’environ 500 000 personnes vaccinées seraient confrontées à de graves effets secondaires

    Matthes exige donc que « les médecins agissent » : « Nous devons aborder les propositions thérapeutiques et en discuter ouvertement lors de conférences et en public, sans être perçus comme des opposants à la vaccination ».

    On ne peut pas encore dire avec certitude s’il y a des victimes du vaccin qui sont également «cachées » parmi environ un million de cas de longue durée de Covid, soit environ dix pour cent des personnes souffrant de Covid-19 . Les symptômes des Post Vacs et du Long COVID sont diffus et similaires. 

    Les enquêtes sur les cas de COVID longs, avec une distinction entre vaccinés et non vaccinés, ne sont pas poussées. Mais peut-être qu’un examen du certificat de vaccination et une comparaison des numéros de lots permettront de faire la lumière sur la question du Long COVID par rapport aux Post Vacs...

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    Mais que doivent faire les personnes vaccinées si elles se retrouvent sur cette liste après l'avoir comparée à leur certificat de vaccination ? 

     

    Afin de fournir de plus amples informations à ceux qui ont été vaccinés, les avocats se sont entretenus avec le professeur Ulrike Kämmerer. Elle est biologiste, a rédigé son mémoire de diplôme en virologie, sa thèse et son « postdoc » sur le diagnostic des maladies virales du cœur et son habilitation en immunologie reproductive. Le professeur Kämmerer mène depuis des années des recherches sur le métabolisme, l'immunologie, le cancer et la nutrition.


    Ulrike Kammerer. : "
    Les centres de vaccination se sont vu attribuer les lots de manière centralisée.  je le sais grâce à un vaccinateur lui-même qui travaillait dans un grand centre de vaccination - où tout était centralisé. Et les livraisons ont été effectuées via ces grands centres logistiques qui, à ma connaissance, étaient aux mains de la Bundeswehr (armée allemande).

    Des commandes étaient souvent passées et le cabinet médical ne savait même pas s'il recevrait le nombre commandé. Les mauvaises langues disent qu’il s’agissait d’un principe de rareté pour rendre la vaccination plus attractive. Les médecins étaient heureux lorsqu’ils en avaient commandé 48 et en avaient reçu 24.

    Cela, c’était au début.  Mais on parle d’un grand centre de vaccination qui administrait plus de 1 000 injections par jour à son apogée, c’est-à-dire à l’hiver 2021. Cela signifie, par exemple, qu’un centre a simplement reçu dix mille doses en un seul lot et les a également toutes utilisées. 

    Et puis, bien sûr, il se pourrait que beaucoup de personnes aient officiellement reçu un lot et n'aient toujours subi aucun dommage parce qu'elles n'ont pas reçu l'injection, si certains employés faisaient des affaires supplémentaires en vendant des certificats de vaccination. Lors de séances de vaccination parfois chaotiques, personne ne pouvait contrôler ce qui se passait. Souvent x équipes vaccinaient en même temps, même sans médecins…

    À l’inverse, cela signifierait que le pourcentage de ceux qui se retrouvent en difficulté augmenterait. Mais maintenant, pour être très précis : si quelqu'un a trouvé son numéro dans la liste, il n'y a pas matière à s'affoler inutilement. si la personne va bien, alors tout va bien.

      Si aucun effet secondaire n’est encore apparu, restez calme. Pour la plupart des gens, cette campagne de vaccination remonte déjà à un an.

    Ce que vous pourriez faire - les effets secondaires les plus courants sont en fait cardiaques, c'est-à-dire des problèmes cardiaques qui peuvent alors passer inaperçus - c'est de faire un ECG d'effort pour voir s'il est perceptible.

    Les principaux problèmes, surtout chez les jeunes, sont l’inflammation du muscle cardiaque et même les crises cardiaques ou quelque chose de similaire. Vous pouvez les reconnaître grâce à un ECG et, également, grâce à des valeurs cardiaques spéciales dans le sérum. D'une part, c'est relativement peu coûteux, et si quelqu'un n'a pas de problèmes évidents, on peut vérifier d'abord si la personne a développé des anticorps contre les protéines de pointe (Spike).

    Et, beaucoup plus simple : faire un test d'anticorps , disponible sous forme de service IGeL, ça coûte environ 17,50 euros. Parce que si aucun anticorps ne s’est formé, le corps n’a probablement pas déclenché beaucoup de pic et n’a pas répondu. Le risque est alors déjà très faible.

     

    Il est  possible que vous obteniez également ces anticorps parce que vous avez eu simplement le Covid. Effectuez ensuite un deuxième test pour ce qu'on appelle la nucléocapside. Si vous avez réellement eu une infection virale, et  si vous n’aviez que le pic, alors vous n’auriez eu que la vaccination sans l’infection. S’il est écrit anticorps contre la nucléocapside, alors ce sont les anticorps N, c’est-à-dire simplement la première lettre du nom. Et si vous regardez l’anti-pic, il n’indique généralement que les anticorps S. Ce sont ces deux-là qu’il faut vérifier.

    Mais si quelqu'un est atteint d’effets secondaires, il peut - une chose est sûre - faire un test sanguin immunologique.

    Dans le pire des cas, si vous avez des anticorps anti Spike très élevés, alors je dirais que la prochaine étape pourrait être de faire les test D-dimères, ce qu'on appelle la coagulation sanguine, ou de les faire tester au préalable avant toute injection  et après l’injection pour comparer les résultats. 

    Ensuite, c'est juste une prise de sang. Il faudrait regarder : si vous avez un pic très élevé et une coagulation sanguine peut-être perceptible, vous devrez probablement prendre des médicaments antithrombotiques prophylactiques afin qu'aucun infarctus ne se produise en premier lieu, bien sûr en fonction de ce que le médecin traitant décidera. 

    La vérité progresse enfin et nul ne pourra plus l'arrêter..."

     

     

     

                                       


     


      


     




     

     

     


       

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  • L'obligation vaccinale en question - Parent, inquiétez-vous !

    L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneusesLe 7 septembre 2023, la directrice générale de l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des produits de santé française (ANSM) classait l’ensemble des vaccins, à l’exception des vaccins grippaux, sur la liste des substances vénéneuses. Présenté comme un moyen d’harmoniser les conditions de prescription, ce changement interroge.

    Quels peuvent être les motifs et les conséquences d’une telle décision ?  

    S’agit-il d’une manœuvre permettant de faciliter la mise sur le marché de nouveaux “vaccins” de type ARNm qui remplaceraient les vaccins “classiques”?

    Le Dr Martine Gardénal, homéopathe, médecin d’une équipe française aux Jeux Olympiques, membre active de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, a commenté cette information dans le cadre d’une émission radio. https://twitter.com/i/status/1747227987517616258

    “On joue aux apprentis sorciers”

    Le Dr Gardénal rappelle qu’en France, dans les deux premières années de vie d’un enfant, les 11 vaccins pédiatriques obligatoires représentent plus de 30 doses injectées. Que se passera-t-il si ces vaccins viennent à être remplacés par des nouvelles technologies à ARNm ? 

    De même, est-il normal que le dosage injecté soit le même pour un bébé de quelques kilos que pour un adulte ? Elle s’insurge aussi sur le fait que des études de pharmacovigilance ne soient pas réalisées et que les rapports d’évaluation des vaccins obligatoires ne soient pas communiqués.

    Pour le Dr Martine Gardénal : « on joue aux apprentis sorciers et il faut tirer la sonnette d’alarme tout de suite ».

    La médecin insiste sur la nécessité de sensibiliser les parents aux enjeux actuels et les invite à remettre en question l’obligation vaccinale .

    La Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations a donc relancé une nouvelle pétition  pour demander la suppression des 11 vaccins pédiatriques obligatoires.

    Liste des vaccins classés comme substances vénéneuses par l’ANSM

    La liste comprend 10 vaccins parmi les 11 vaccins obligatoires pour les enfants, ainsi que d’autres vaccins destinés aux adultes, comme, par exemple, le vaccin contre la fièvre jaune qui est conseillé dans certains pays tropicaux.

    Bordetella pertussis ;                     Virus de la fièvre jaune ;
    Haemophilus influenzae ;             
    Virus de l’hépatite B ; 

    Leptospira icterohaemorrhagiae ;  Virus des oreillons ;
    Neisseria meningitidis ;                  Virus de la poliomyélite ;
    Salmonella typhi ;                           Virus de la rougeole ;
    Streptococcus pneumoniae ;          Virus de la rubéole ;
    Virus de l’encéphalite japonaise ;   
    Virus de la vaccine (variole de la vache).

     

    Par ailleurs, un journaliste scientifique Thibault M. tire la sonnette d’alarme face à une autre situation médicale qui semble dépasser l'entendement !
    Il vient en effet de tomber sur des révélations effarantes1 au sujet du Beyfortus®, une "thérapie préventive" récemment introduite pour lutter contre la bronchiolite chez les nourrissons.
    [1] https://www.aimsib.org/2023/12/10/le-train-du-beyfortus-a-deja-deraille/

    Elle a été développée par Sanofi et AstraZeneca et propulsée sur le devant de la scène médicale avec une rapidité franchement suspicieuse.

    Ce “médicament” (ou “vaccin” ou “thérapie à anticorps”...eux-mêmes ne savent pas !) a bénéficié d'une évaluation expresse et de désignations flatteuses par divers organismes réglementaires2. [2] https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2023/2023-07-17-17-00-00-2705911
     

    Tellement flatteuses d’ailleurs, que l'État français n’a pas attendu : il a tout juste reçu les premières 200 000 doses de Beyfortus®. 

    Premier problème : c’est loin d'être suffisant pour répondre aux besoins des 750 000 naissances par an

    On incite donc les parents à se jeter sur ce produit pharmaceutique rare…et cher (ce "vaccin" est recommandé mais pas obligatoire).

    Malgré une efficacité loin d’être prouvée à 100%.

    Mais le vrai problème se situe ailleurs.

    Cela ne vous rappelle rien ?

    Les nouveaux traitements suscitent désormais une méfiance éclairée du public. Et le Beyfortus® n’est heureusement pas passé inaperçu !

    En réponse, l'Agence France Presse a rapidement dégainé son arme anti-“désinformation”, AFP Factuel, afin de démentir les premières attaques3. [3] https://factuel.afp.com/doc.afp.com.33VD7VZ

    L'une des premières alertes neutralisées était celle de Hélène Banoun, biologiste et membre du Conseil Scientifique Indépendant déjà bien connue du service de vérification des faits de l'AFP… [4] https://archive.ph/LdLkm

    Justement, regardons-les ces faits.

    Encore un médicament dont la sécurité n’est pas assurée

    Le Beyfortus® a été introduit sans données suffisantes pour garantir sa sécurité, en particulier chez les nouveau-nés.

    Dans un article paru le 12 novembre 2023 sur le site web de l'Aimsib5, Hélène Banoun décortique trois études cliniques qui ont mené à son autorisation de mise sur le marché. [5] https://www.aimsib.org/2023/11/12/les-mauvaises-surprises-des-vaccins-et-therapies-preventives-contre-la-bronchiolite-a-vrs/

    L’un de ces essais6 a révélé des effets secondaires graves et 3 décès dans le groupe traité. [6] Hammitt LL et al. MELODY Study Group. Nirsevimab for Prevention of RSV in Healthy Late-Preterm and Term Infants. N Engl J Med. 2022. PMID: 35235726.

    Au total, la FDA (l’agence américaine de santé) signale, elle, 15 décès lors des essais : 12 dans les groupes traités (0,32%) et 3 dans les groupes placebo (0,16%)7. [7] EMA/786523/2022 Assessment report Beyfortus 15 septembre

    Quel était leur âge ? De quoi sont-ils décédés ? Pour le moment, ces détails restent flous…

    Et en l’absence d’autopsie, l’EMA (Agence européenne du médicament) a pu les balayer d’un revers de la main : officiellement, il n’existe aucun rapport entre le Beyfortus® et ces décès.

    Est-il seulement utile ?

    Les plus cyniques rétorqueront : “ces morts sont le prix à payer pour développer des médicaments novateurs.”

    À ces cyniques, rappelons, à nouveau, les faits.

    Les voici : la Haute Autorité de Santé (HAS) conclut que l'utilité médicale du Beyfortus® est faible8 :                                                             
    8] HAS Avis sur les médicaments Beyfortus, 19 juillet 2023, https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf, p. 39


    * Elle rappelle que la bronchiolite est une maladie bénigne et souligne qu'il existe une suspicion que le Beyfortus® puisse favoriser l'apparition de virus résistants. [9] https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf

    De plus, il n'y a aucune preuve d’un impact sur la réduction de la durée d'hospitalisation ou de mortalité10: [

    10] https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf

    * Alors même que l'objectif de toute cette campagne de prévention contre la bronchiolite est d'éviter une surcharge des hôpitaux avec des bébés malades… 

    * Un pic suspect des mortalités chez les nourrissons

    Et pourtant, quelque chose d’étrange est en train de se produire dans nos hôpitaux.

    Il y a quelques jours, la statisticienne Christine Mackoi, experte chevronnée dans l'analyse des chiffres officiels relatifs à la mortalité infantile et néonatale, s’est exprimée11. [11] http://caillou5310.free.fr/index_alertez_bb.php#mort_inf_2_7


    Elle signale une augmentation significative du taux de mortalité chez les nourrissons âgés entre 2 et 6 jours. 
     

    L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneuses

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    "Cette augmentation dépasse largement les prévisions habituelles : 54 décès en septembre 2023 (bien au-delà de la fourchette attendue entre 26 et 50 décès), 61 décès en octobre (toujours bien au-delà de la fourchette prévue entre 28 et 52 décès)". 

    2 mois consécutifs avec des taux de mortalité anormalement élevés !

    La bronchiolite ne devrait PAS, statistiquement, être aussi mortelle…

    Or voyez-vous, ce pic est apparu depuis l’introduction du “médicament” Beyfortus…

    La coïncidence est pour le moins “étonnante”.

    Que se passe-t-il ?

    La bronchiolite, bien que première cause d'hospitalisation chez les bébés, affecte généralement moins de 1,8% des bébés de moins de deux ans. 

    Alors, pourquoi cette précipitation à généraliser une thérapie coûteuse (400-600€ la dose) et potentiellement risquée pour une affection qui, dans la plupart des cas, reste bénigne ?

    Et le plus fort : les experts de la HAS ont autorisé des injections sur des enfants de moins de 6 jours12 – alors qu’aucune donnée sur les dangers potentiels n’est disponible!13                                                                                                                                                                                                        [12] https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf                                                                                                       [13] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-09/beyfortus_19072023_transcription_ct20356.pdf
    (Cette même HAS qui doute de l’efficacité du “médicament” !)

    En effet, les nouveau-nés ne forment qu'une très petite fraction des 4.500 bébés testés lors des essais cliniques

    L'âge moyen varie entre 2,6 et 3,5 mois selon les groupes. 

    Ainsi, la suggestion de vacciner les bébés à la maternité, soit dès leur naissance, ne fait aucun sens : les deux essais cliniques n’ont pas testé cette tranche d’âge !

    Et cela est même marqué noir sur blanc dans la fiche produit du “médicament”. 

    Médicament, vaccin ou … ?

    Le ministère de la santé insiste sur le fait que le Beyfortus® n'est PAS UN VACCIN mais une “technologie basée sur les anticorps”14.  [14] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-09/beyfortus_19072023_transcription_ct20356.pdf p.9

    Rappelons ici que les injections contre le COVID, elles, se faisaient appeler “vaccin” alors qu'elles n’introduisaient pas la maladie dans l’organisme pour stimuler les anticorps…

    Les experts eux-mêmes semblent ne plus rien y comprendre,  pour preuve, cet échange ahurissant au sein de la Commission de Transparence française15. [15] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-09/beyfortus_19072023_transcription_ct20356.pdff

    Mme Chastang (représentante du Collège de médecine générale) : Bien sûr, il y a la question du coût et surtout la question que ce vaccin, j’ai bien compris, qu’il allait être pris en charge à 100 %. […] Évidemment que la campagne de vaccination en maternité, à partir du moment où le généraliste a pu anticiper les éléments et informer les femmes enceintes, nous sommes très adaptés. […].

    M. Le Pr COCHATPrésident de la Commission Transparence.-" Merci. Juste une précision, ce n’est pas un vaccin. C’est un produit qui ne passera pas par la commission technique des vaccinations".  

    Quand même les experts se trompent, comment voulez-vous que la population leur fasse confiance ?

    Cette situation soulève des questions éthiques profondes. 

    • Comment les décisions de santé publique sont-elles vraiment prises ? 
    • Qui en bénéficie ? 
    • Et surtout, qui en paie le prix ?

    À cette dernière question, j’aurai envie de répondre “nos enfants”...

     

     

     

     

     

     

     

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  •    Brèves de SantéBrèves de Santé 

      

    Nouvelle Vidéo : Examen et Analyse Sanguine de Vaccinés et non-Vaccinés contre le C19.

    Cette vidéo propose des images microscopiques du sang de 4 personnes vaccinées contre le C19 et de 4 personnes non-vaccinées. [762] 

    Le sang des personnes vaccinées est très lésé, et en forme de rouleaux, et il contient, manifestement, des particules d’oxyde de graphène.  

    https://vk.com/id683807079?z=video683807079_456239582%2F23d7a6314fd6cfd07c%2Fpl_wall_683807079

     

    Brèves de Santé Allemagne. Scandale au Bundestag : les données du BKK (société d’assurance mutuelle) montrent une explosion des incapacités de travail  chez les vaccinés !

    Question de l’AfD lors de l’audition sur la loi sur la protection contre les infections de la commission de la santé : « Le PEI fait état de près de 250 000 cas d’effets secondaires et de près de 30 000 cas d’effets secondaires graves après la vaccination. Savez-vous combien de personnes sont devenues incapables de travailler après une vaccination corona ou combien de jours d’incapacité de travail ont été encourus ? »

    Réponse de Tom LausenSelon l’analyse des données de la BKK (10,9 millions d’assurés), le nombre de jours d’incapacité de travail après vaccination a nettement augmenté, d’environ cent fois les effets secondaires de la vaccination, pour atteindre 383.170 jours, mais seulement au T1, T2 et proportionnellement au T3. Les jours d’arrêt maladie Corona ne représentent que 374.000 jours d’incapacité de travail attestés par les médecins. En outre, nous obtenons également des données de l’InEK. Nous avons 23.000 cas graves en 2021 qui ont été hospitalisés avec un code d’effet secondaire de vaccination et 3000 qui ont été hospitalisés en soins intensifs avec un code d’effet secondaire de vaccination et 282 personnes décédées avec un code d’effet secondaire de vaccination.   [759] 

    Conclusion les données du BKK montrent que les personnes sont de plus en plus incapables de travailler après la vaccination, encore plus souvent que par Corona (alias la grippe) elle-même.

    Les données du BKK confirment également le soupçon que les dommages causés par la vaccination ne sont pas communiqués correctement. Incidemment, une étude controversée de Harvard de 2010 est arrivée à la même conclusion:

    Bien que 25 % des patients en ambulatoire subissent un événement indésirable lié aux médicaments, moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA).  De même, généralement, moins de 1 % des effets secondaires des vaccins sont signalés. 

     

     

     

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