• L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneuses

    L'obligation vaccinale en question - Parent, inquiétez-vous !

    L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneusesLe 7 septembre 2023, la directrice générale de l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des produits de santé française (ANSM) classait l’ensemble des vaccins, à l’exception des vaccins grippaux, sur la liste des substances vénéneuses. Présenté comme un moyen d’harmoniser les conditions de prescription, ce changement interroge.

    Quels peuvent être les motifs et les conséquences d’une telle décision ?  

    S’agit-il d’une manœuvre permettant de faciliter la mise sur le marché de nouveaux “vaccins” de type ARNm qui remplaceraient les vaccins “classiques”?

    Le Dr Martine Gardénal, homéopathe, médecin d’une équipe française aux Jeux Olympiques, membre active de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, a commenté cette information dans le cadre d’une émission radio. https://twitter.com/i/status/1747227987517616258

    “On joue aux apprentis sorciers”

    Le Dr Gardénal rappelle qu’en France, dans les deux premières années de vie d’un enfant, les 11 vaccins pédiatriques obligatoires représentent plus de 30 doses injectées. Que se passera-t-il si ces vaccins viennent à être remplacés par des nouvelles technologies à ARNm ? 

    De même, est-il normal que le dosage injecté soit le même pour un bébé de quelques kilos que pour un adulte ? Elle s’insurge aussi sur le fait que des études de pharmacovigilance ne soient pas réalisées et que les rapports d’évaluation des vaccins obligatoires ne soient pas communiqués.

    Pour le Dr Martine Gardénal : « on joue aux apprentis sorciers et il faut tirer la sonnette d’alarme tout de suite ».

    La médecin insiste sur la nécessité de sensibiliser les parents aux enjeux actuels et les invite à remettre en question l’obligation vaccinale .

    La Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations a donc relancé une nouvelle pétition  pour demander la suppression des 11 vaccins pédiatriques obligatoires.

    Liste des vaccins classés comme substances vénéneuses par l’ANSM

    La liste comprend 10 vaccins parmi les 11 vaccins obligatoires pour les enfants, ainsi que d’autres vaccins destinés aux adultes, comme, par exemple, le vaccin contre la fièvre jaune qui est conseillé dans certains pays tropicaux.

    Bordetella pertussis ;                     Virus de la fièvre jaune ;
    Haemophilus influenzae ;             
    Virus de l’hépatite B ; 

    Leptospira icterohaemorrhagiae ;  Virus des oreillons ;
    Neisseria meningitidis ;                  Virus de la poliomyélite ;
    Salmonella typhi ;                           Virus de la rougeole ;
    Streptococcus pneumoniae ;          Virus de la rubéole ;
    Virus de l’encéphalite japonaise ;   
    Virus de la vaccine (variole de la vache).

     

    Par ailleurs, un journaliste scientifique Thibault M. tire la sonnette d’alarme face à une autre situation médicale qui semble dépasser l'entendement !
    Il vient en effet de tomber sur des révélations effarantes1 au sujet du Beyfortus®, une "thérapie préventive" récemment introduite pour lutter contre la bronchiolite chez les nourrissons.
    [1] https://www.aimsib.org/2023/12/10/le-train-du-beyfortus-a-deja-deraille/

    Elle a été développée par Sanofi et AstraZeneca et propulsée sur le devant de la scène médicale avec une rapidité franchement suspicieuse.

    Ce “médicament” (ou “vaccin” ou “thérapie à anticorps”...eux-mêmes ne savent pas !) a bénéficié d'une évaluation expresse et de désignations flatteuses par divers organismes réglementaires2. [2] https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2023/2023-07-17-17-00-00-2705911
     

    Tellement flatteuses d’ailleurs, que l'État français n’a pas attendu : il a tout juste reçu les premières 200 000 doses de Beyfortus®. 

    Premier problème : c’est loin d'être suffisant pour répondre aux besoins des 750 000 naissances par an

    On incite donc les parents à se jeter sur ce produit pharmaceutique rare…et cher (ce "vaccin" est recommandé mais pas obligatoire).

    Malgré une efficacité loin d’être prouvée à 100%.

    Mais le vrai problème se situe ailleurs.

    Cela ne vous rappelle rien ?

    Les nouveaux traitements suscitent désormais une méfiance éclairée du public. Et le Beyfortus® n’est heureusement pas passé inaperçu !

    En réponse, l'Agence France Presse a rapidement dégainé son arme anti-“désinformation”, AFP Factuel, afin de démentir les premières attaques3. [3] https://factuel.afp.com/doc.afp.com.33VD7VZ

    L'une des premières alertes neutralisées était celle de Hélène Banoun, biologiste et membre du Conseil Scientifique Indépendant déjà bien connue du service de vérification des faits de l'AFP… [4] https://archive.ph/LdLkm

    Justement, regardons-les ces faits.

    Encore un médicament dont la sécurité n’est pas assurée

    Le Beyfortus® a été introduit sans données suffisantes pour garantir sa sécurité, en particulier chez les nouveau-nés.

    Dans un article paru le 12 novembre 2023 sur le site web de l'Aimsib5, Hélène Banoun décortique trois études cliniques qui ont mené à son autorisation de mise sur le marché. [5] https://www.aimsib.org/2023/11/12/les-mauvaises-surprises-des-vaccins-et-therapies-preventives-contre-la-bronchiolite-a-vrs/

    L’un de ces essais6 a révélé des effets secondaires graves et 3 décès dans le groupe traité. [6] Hammitt LL et al. MELODY Study Group. Nirsevimab for Prevention of RSV in Healthy Late-Preterm and Term Infants. N Engl J Med. 2022. PMID: 35235726.

    Au total, la FDA (l’agence américaine de santé) signale, elle, 15 décès lors des essais : 12 dans les groupes traités (0,32%) et 3 dans les groupes placebo (0,16%)7. [7] EMA/786523/2022 Assessment report Beyfortus 15 septembre

    Quel était leur âge ? De quoi sont-ils décédés ? Pour le moment, ces détails restent flous…

    Et en l’absence d’autopsie, l’EMA (Agence européenne du médicament) a pu les balayer d’un revers de la main : officiellement, il n’existe aucun rapport entre le Beyfortus® et ces décès.

    Est-il seulement utile ?

    Les plus cyniques rétorqueront : “ces morts sont le prix à payer pour développer des médicaments novateurs.”

    À ces cyniques, rappelons, à nouveau, les faits.

    Les voici : la Haute Autorité de Santé (HAS) conclut que l'utilité médicale du Beyfortus® est faible8 :                                                             
    8] HAS Avis sur les médicaments Beyfortus, 19 juillet 2023, https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf, p. 39


    * Elle rappelle que la bronchiolite est une maladie bénigne et souligne qu'il existe une suspicion que le Beyfortus® puisse favoriser l'apparition de virus résistants. [9] https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf

    De plus, il n'y a aucune preuve d’un impact sur la réduction de la durée d'hospitalisation ou de mortalité10: [

    10] https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf

    * Alors même que l'objectif de toute cette campagne de prévention contre la bronchiolite est d'éviter une surcharge des hôpitaux avec des bébés malades… 

    * Un pic suspect des mortalités chez les nourrissons

    Et pourtant, quelque chose d’étrange est en train de se produire dans nos hôpitaux.

    Il y a quelques jours, la statisticienne Christine Mackoi, experte chevronnée dans l'analyse des chiffres officiels relatifs à la mortalité infantile et néonatale, s’est exprimée11. [11] http://caillou5310.free.fr/index_alertez_bb.php#mort_inf_2_7


    Elle signale une augmentation significative du taux de mortalité chez les nourrissons âgés entre 2 et 6 jours. 
     

    L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneuses

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    "Cette augmentation dépasse largement les prévisions habituelles : 54 décès en septembre 2023 (bien au-delà de la fourchette attendue entre 26 et 50 décès), 61 décès en octobre (toujours bien au-delà de la fourchette prévue entre 28 et 52 décès)". 

    2 mois consécutifs avec des taux de mortalité anormalement élevés !

    La bronchiolite ne devrait PAS, statistiquement, être aussi mortelle…

    Or voyez-vous, ce pic est apparu depuis l’introduction du “médicament” Beyfortus…

    La coïncidence est pour le moins “étonnante”.

    Que se passe-t-il ?

    La bronchiolite, bien que première cause d'hospitalisation chez les bébés, affecte généralement moins de 1,8% des bébés de moins de deux ans. 

    Alors, pourquoi cette précipitation à généraliser une thérapie coûteuse (400-600€ la dose) et potentiellement risquée pour une affection qui, dans la plupart des cas, reste bénigne ?

    Et le plus fort : les experts de la HAS ont autorisé des injections sur des enfants de moins de 6 jours12 – alors qu’aucune donnée sur les dangers potentiels n’est disponible!13                                                                                                                                                                                                        [12] https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT-20356_BEYFORTUS_PIC_INS_AvisDef_CT20356.pdf                                                                                                       [13] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-09/beyfortus_19072023_transcription_ct20356.pdf
    (Cette même HAS qui doute de l’efficacité du “médicament” !)

    En effet, les nouveau-nés ne forment qu'une très petite fraction des 4.500 bébés testés lors des essais cliniques

    L'âge moyen varie entre 2,6 et 3,5 mois selon les groupes. 

    Ainsi, la suggestion de vacciner les bébés à la maternité, soit dès leur naissance, ne fait aucun sens : les deux essais cliniques n’ont pas testé cette tranche d’âge !

    Et cela est même marqué noir sur blanc dans la fiche produit du “médicament”. 

    Médicament, vaccin ou … ?

    Le ministère de la santé insiste sur le fait que le Beyfortus® n'est PAS UN VACCIN mais une “technologie basée sur les anticorps”14.  [14] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-09/beyfortus_19072023_transcription_ct20356.pdf p.9

    Rappelons ici que les injections contre le COVID, elles, se faisaient appeler “vaccin” alors qu'elles n’introduisaient pas la maladie dans l’organisme pour stimuler les anticorps…

    Les experts eux-mêmes semblent ne plus rien y comprendre,  pour preuve, cet échange ahurissant au sein de la Commission de Transparence française15. [15] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-09/beyfortus_19072023_transcription_ct20356.pdff

    Mme Chastang (représentante du Collège de médecine générale) : Bien sûr, il y a la question du coût et surtout la question que ce vaccin, j’ai bien compris, qu’il allait être pris en charge à 100 %. […] Évidemment que la campagne de vaccination en maternité, à partir du moment où le généraliste a pu anticiper les éléments et informer les femmes enceintes, nous sommes très adaptés. […].

    M. Le Pr COCHATPrésident de la Commission Transparence.-" Merci. Juste une précision, ce n’est pas un vaccin. C’est un produit qui ne passera pas par la commission technique des vaccinations".  

    Quand même les experts se trompent, comment voulez-vous que la population leur fasse confiance ?

    Cette situation soulève des questions éthiques profondes. 

    • Comment les décisions de santé publique sont-elles vraiment prises ? 
    • Qui en bénéficie ? 
    • Et surtout, qui en paie le prix ?

    À cette dernière question, j’aurai envie de répondre “nos enfants”...

     

     

     

     

     

     

     

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