• Une soirée de boxe avec le Ring Challandais 

     

    2024 04 20

    Ce samedi soir, j'ai assisté à la réunion de boxe organisée par le "Ring Challandais".

    C'est toujours un plaisir de revoir les amis organisateurs que je veux saluer pour le professionnalisme de l'organisation de cette soirée....

    Au-delà de la qualité pugilistique de cet événement je voudrais vous faire part de ma stupéfaction en constatant les dérives communautaires de cette soirée... Nous sommes donc à Challans, en Vendée,

    Lors de cette soirée la Sandwicherie ne propose que des kebabs par définition donc Halal obligatoire pour tous !

    Une soirée de boxe avec le Ring ChallandaisFemmes voilées dans la salle et boxeuses portant le hijab sur le ring. Sans parler de la musique rap assourdissante...

    Bref la question se pose... Une forme d’emprise prosélyte s’exerce-t-elle sur les clubs sportifs challandais ?

    La Vendée est-elle tout bonnement en train de s'islamiser et donc de perdre son identité ?

     

    Eric Mauvoisin-Delavaud

    Président du Rassemblement Vendéen

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  • Nos meilleurs vœux pour 2024Chers Amis et sympathisants,

    Alors que nous tournons la page d’une nouvelle année, l’un des sentiments les plus forts qui m’anime, en cet instant, est un mélange d’espoir, d’inquiétude et de foi dans l’avenir.

    Une citation, pour vous aider à comprendre où je veux en venir :

    « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront-elles à la normale ? La réponse courte est : jamais. Le monde que nous connaissions dans les premiers mois de 2020 n’est plus. »  (Klaus Schwab, in Covid 19 – The Great Reset, juillet 2020).

    Eh oui ! Nous vivons une époque fabuleuse, au sens littéral du terme : qui tient de la fable. Attentats, violence ordinaire, fausses pandémies, ségrégation sanitaire, effondrements, émeutes, secousses, guerres, pauvreté, peur, désarroi, submersion migratoire s’enchaînent à une telle vitesse que notre esprit peine à les absorber et à faire la part des choses.

    L’exercice le plus difficile, aujourd’hui, consiste à trier ces agressions cognitives pour en écarter les relents toxiques, et à ordonner ce qu’il en reste pour en tirer du sens. C’est à cette étape que vous guette, pour peu que vous en fassiez état devant vos voisins, l’étiquette inévitable de « complotiste ».

    Le complotisme consistant, en temps de psychose collective, à persister dans la quête du « pourquoi » derrière les éclats hypnotiques du « comment ».

    Au cours de l’année écoulée, par l’intermédiaire de ce blog ouvert depuis un an et deux mois (avec plus de 33 000 visiteurs), où nous tentons d’apporter des réponses à vos questions, à vos messages, vous nous avez aidé à orienter nos articles en réponses objectives, documentées, souvent techniques : car nous avons fait, dès le départ, le pari de l’intelligence, la vôtre…

    C’est votre discernement et votre appétence pour la réalité qui donne aux faits une existence, une voix, des motivations.

    Nos meilleurs vœux pour 2024

     

    C’est votre volonté de chercher la vérité qui nous a aidé à créer un espace d’expression libre ; à mener sur le terrain beaucoup d’actions militantes et culturelles impulsées en fonction de l’actualité et surtout, grâce au dynamisme, aux convictions, à la pugnacité du président du Rassemblement Vendéen, Éric Mauvoisin-Delavaud, visionnaire sur bien des sujets d’actualité qui nous affectent aujourd’hui, et à l’engagement de tous nos adhérents-militants : qu’ils en soient ici remerciés.

    Au cours de cette année 2024, nous continuerons à traiter, à approfondir certains sujets « délicats » afin que davantage de personnes puissent prendre connaissance des faits, en sachant que 70 % des articles publiés sont des réponses aux questions nombreuses que vous posez via la messagerie électronique ; nous vous en remercions sincèrement. Nous continuerons également, à donner toute sa place à l’expression de nos valeurs traditionnelles, piliers fondamentaux de notre société.

     

    Nous avons hâte de commencer une nouvelle année avec vous à nos côtés : les attentes sont immenses, les objectifs innombrables, les défis sans fin, face à la transformation radicale de notre modèle de développement économique et sociétal. Car, au-delà de ces deux dernières contingences, c’est véritablement cette fois, non pas la survie... mais l’âme des peuples qui est en jeu.

    Néanmoins avant cela, j’espère sincèrement que vous et votre famille avez pu profiter d’une pause réparatrice, paisible, joyeuse et chaleureuse pendant ces vacances de Noël, après une année 2023 mouvementée. 

    Je vous souhaite une nouvelle année remplie de vérité, de solidarité et d'espoir dont notre monde a désespérément besoin. 

    Ensemble, nous serons plus forts, nous irons plus loin…

    Amicalement vôtre.

    Athéna

    P/le Comité de rédaction

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  • " L'été meurtrier "

     

    Pic d’inflation, de chaleur (mais faut-il s’en étonner en été ?), d’insécurité.

    La France est devenue l’un des pays les plus dangereux d’Europe avec 12,9 homicides par million d'habitants, contre 8,7 en Allemagne, 6,3 en Espagne, et seulement 4,9 en Italie...

    Dans notre pays, le niveau des homicides et tentatives d’homicides se situe à un sommet depuis les trois dernières années : « le total des homicides et tentatives recensés connaît pour la troisième année consécutive un niveau supérieur à 4.000 faits (4.209 en 2019, 4.472 en 2020 et 4.386 en 2021), structurant, dans la durée, la violence dictée par l'intention de tuer » et, en 2022 :  une augmentation de + 8 % (par rapport à 2021).

    Marseille bat un record : depuis janvier 2023, on comptabilise 40 personnes tuées lors de règlements de comptes.

    Nîmes est devenue l'une de ces villes moyennes gangrenées par les violences qui gagnent tout le pays : le 21 août au soir, un enfant de dix ans est mort sous les balles dont a été criblée la voiture de son oncle au retour d'un dîner dans un restaurant. Alors que la voiture venait de se garer dans le quartier « sensible » de Pissevin, elle a été prise pour cible par des trafiquants de drogue. Bien que blessé de trois balles dans le dos, le conducteur, un militaire qui rentrait de mission, a réussi à redémarrer pour se rendre à l'hôpital où le décès de l'enfant a été constaté.

    Après la mort révoltante de cet enfant, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a demandé, selon son mantra habituel, « la plus grande fermeté au préfet afin que ce drame ne reste pas impuni », et a dépêché sur place la CRS 8, une unité spécialisée dans les émeutes urbaines. 

    Chacun s'attendait à ce que le trafic reprenne dès que les forces de l'ordre repartiraient… C'est exactement ce qui s'est produit 48h plus tard, dans la nuit de mercredi à jeudi 24 août, peu de temps après le départ des CRS : un jeune homme de 18 ans, « connu des services de police et de la justice », était tué dans une nouvelle fusillade entre trafiquants…

    Nouvelle annonce du ministre de l'Intérieur : « Nîmes sera, à proportion de ses habitants, la ville où il y aura le plus de services enquêteurs en France ». Une déclaration accueillie comme la précédente avec scepticisme par les Nîmois qui alertent depuis des années sur l'insécurité croissante dont ils sont victimes. Elle a notamment conduit à la fermeture de la médiathèque du quartier Pissevin, début juin, après la violente agression d'un journaliste du groupe M6 qui y réalisait un reportage.

    Par ailleurs, une fusillade et une agression au couteau ont fait deux blessés après la dernière intervention du ministre.

    Ainsi, les fusillades se multiplient dans les quartiers où les narcotrafiquants font la loi (Pissevin, Chemin Bas, Mas de Mingu). A mi-chemin entre l'Espagne et l'Italie, la ville est maintenant devenue un carrefour important du trafic de drogue.

    Bayonne : les fêtes ont été endeuillées dès le premier soir des festivités (26 juillet), par le meurtre sauvage , à coups de poing et de pied, d'un habitant qui protestait contre trois individus éméchés qui urinaient contre sa porte (le principal suspect, un Tchétchène, a été arrêté à Tarbes un mois plus tard). Enfin, cinq plaintes pour viol ont été enregistrées à l'issue des fêtes… 

    Non seulement les fusillades se multiplient dans les villes de France, mais elles ne restent plus cantonnées aux quartiers « à risques ». Par exemple, à Antibes, le samedi 19 août, c'est dans un salon de coiffure du centre-ville, très fréquenté par les touristes, qu'un homme a été grièvement blessé.

    Cherbourg : le viol particulièrement atroce, le 4 août, d'une jeune femme agressée par un homme qui s'était introduit dans son domicile, a bouleversé l'opinion publique (une cagnotte en ligne intitulée : « Solidarité pour la jeune femme victime de viols et d'actes de barbarie » a été lancée le 24 août). Sauvagement violée (avec un manche à balai !), littéralement massacrée, elle a été placée en coma artificiel. Son état était tel (perforation du colon, de l'intestin grêle, du péritoine et du diaphragme, pneumothorax, fractures aux côtes...) qu'il a fallu ouvrir une antenne psychologique pour les soignants...

    Le profil du suspect, Oumar N.,18 ans, concentre toutes les interrogations sur la justice.

    Déjà condamné cinq fois, notamment pour inceste commis sur sa petite sœur âgée de 4 ans, il était connu dans son quartier pour ses « incivilités » et des violences récurrentes envers sa mère.

     

    Comment en est-on arrivé là ?

    Pourquoi la justice n’a pas su neutraliser Ounar N. malgré un parcours judiciaire chargé, ni prendre la mesure de sa dangerosité ?

    L'impunité dont jouissent de fait les magistrats français, parmi les moins sanctionnés en Europe, est de plus en plus contestée.

     

    En France, nous avons deux types d’irresponsables : les fous ou déclarés tels, et les magistrats…

     

    Mais c'est, avant tout,  aux politiques qu'il incombe de corriger une législation où se conjuguent les insuffisances françaises et le laxisme législatif et judiciaire méthodiquement entretenus par les instances européennes.

     

    Etant donné le nombre limité de places en prison,  l'incarcération n'intervient pas après le premier délit, pour une incarcération courte mais après un grand nombre de délits et pour une incarcération longue.

    Dans certains pays, comme les Pays-Bas, on incarcère rapidement, après un premier délit, ce qui est plus dissuasif.

    La densité carcérale en France est surtout due à l’inadéquation de la taille du parc carcéral à la forte criminalité française que le résultat d'une trop forte politique de fermeté à l'égard des délinquants. En effet, la délinquance et la criminalité sont plus élevées en France que dans les autres pays de l’U.E...

    La rénovation, la restructuration des prisons existantes et la construction de nouvelles prisons sont le passage obligé d'une politique carcérale efficace et digne. Et, pour les ministres en exercice, il est urgent de passer de l'incantation à l'action avant que la situation ne soit irréversible...

     

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     A tous les Résistants

     

      Sans le rassemblement et l’unité de groupes courageux et de combat, nous allons continuer à foncer droit dans le mur jusqu'au grand affrontement intérieur qui vient inéluctablement et qu'Emmanuel Macron cherche, quoiqu'il en coûte, à retarder par son aveuglement, son indécision, sa soumission et ses reculs.


    Le sauvetage de la France ne peut que passer par une nouvelle étape politique. 

    Le salut du pays ne pourra pas sortir des urnes dans un déni de réalité, par la démagogie et par la magie électoraliste. 

    Il ne viendra pas, non plus, de l'esprit de boutique des chefs de Partis.

    Tout plaide pour considérer qu'il est bien trop tard pour espérer du changement "dans la continuité et la stabilité politique" voulue lâchement et honteusement par Emmanuel Macron.

    Notre pays a besoin d'un grand réveil, d'un immense sursaut et de nouveaux leaders bien conscients du problème français, capables de le reconnaître et d'y apporter des réponses concrètes, opérationnelles et efficaces.

    Ma génération a bien compris les causes du danger civilisationnel qui nous menace.
    Il y en a une autre, plus jeune, très politisée, populaire, préoccupée par notre destin, soucieuse de préserver nos racines, capable de réveiller et de mobiliser les « endormis » et une majorité d'électeurs. Elle est au pied de ce mur, face aux incertitudes de notre avenir.


    Il leur faut encore saisir les cris d'alarmes et d'inquiétudes des français et surtout s'unir, enfin, pour provoquer les ruptures indispensables au changement et au sauvetage de la France.

    Sortons de notre naïveté.

    Il n'est plus question de tergiverser, de flatter les egos et de perdre systématiquement tous les scrutins au profit d'une caste toujours plus lâche et sans courage, quand il s'agit du sauvetage immédiat de la France.

     

              A très bientôt 

     

    Eric Mauvoisin-Delavaud  

     

     

     

     

     

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