• Crevettes, porcs et bœufs vaccinés à l’ARNm : danger !

    En bleu, dans le texte, les liens vers les sources : il suffit de cliquer dessus pour les ouvrir...

     

    Les crevettes sont le dernier ajout à la liste croissante d’aliments traités par la technologie de thérapie génique à ARNm. Une entreprise israélienne a levé 8,25 millions de dollars auprès d’investisseurs en capital-risque pour promouvoir et améliorer la santé des animaux marins grâce à sa plateforme de particules d’ARN administrées par voie orale.

    La société de biotechnologie ViAqua a développé un vaccin à base d'ARN qui repose sur l'interférence assistée par l'acide ribonucléique (ARNi) et manipule les séquences génétiques des crevettes. L'ARNi est un processus biologique qui utilise des molécules d'ARN pour inhiber l'expression ou la traduction des gènes.

    Le vaccin se présente sous la forme d'un additif alimentaire destiné à accroître la résistance au virus du syndrome des points blancs (WSSV) - une infection virale qui entraîne des pertes annuelles d'environ 3 milliards de dollars. Le virus entraîne une réduction de 15 pour cent de la production mondiale de crevettes chaque année. Selon ViAqua, les molécules d’ARN peuvent inhiber le développement de gènes pathogènes à chaque repas contenant la préparation correspondante.

    « L'administration orale est l'objectif déclaré du développement sanitaire en aquaculture. » En effet, il est impossible de vacciner des crevettes individuellement. De cette manière, on peut également « réduire considérablement les coûts d’exploitation du contrôle des maladies et optimiser les résultats », a déclaré Shai Ufaz, PDG de ViAqua, dans un communiqué de presse. L'entreprise prévoit de démarrer la production en Inde en 2024.

    Selon une étude de validation de concept réalisée en 2022, le nano-vaccin était efficace à environ 80 % dans un modèle de test WSSV et présentait un bon profil de sécurité in vivo. Cependant, les risques à long terme d’altération de l’expression des gènes chez les crevettes et les effets de la consommation de crevettes vaccinées sont inconnus.

    Des vaccins à ARNm sont déjà utilisés chez les porcs.

    Cependant, l’industrie aquacole n’est pas le seul marché. La start-up Genvax Technologies a reçu 6,5 millions de dollars en 2022 pour développer une plateforme de vaccins à ARNm (ARNa) auto-réplicante. La plateforme vise à permettre la mise au point de vaccins sur mesure pour les troupeaux de bétail ou les poulaillers, précisément adaptés aux variantes actuelles de la maladie.

    La technologie de Genvax consiste à insérer des gènes spécifiques dans la plateforme pour déclencher une réponse immunitaire sans avoir à ajuster l'ensemble de l'agent pathogène. Genvax travaille sur un vaccin à ARNsa contre la peste porcine africaine en collaboration avec le ministère américain de l'Agriculture. La startup a reçu une subvention de 145 000 $ de la Fondation pour la recherche sur l’alimentation et l’agriculture en avril 2022. La peste porcine africaine est un virus très contagieux avec un taux de mortalité élevé de près de 100 pour cent chez les porcs.

    Genvax n'est pas la première entreprise à utiliser la technologie de l'ARNm chez les porcs. En 2018, Merck a lancé la plateforme SEQUIVITY , qui utilise la technologie des particules d'ARN pour développer des vaccins sur mesure contre divers agents pathogènes chez les porcs, notamment le virus de la grippe A, le circovirus porcin (PCV) et le rotavirus.

    Selon Merck, la technologie de participation de l’ARN permet le développement d’un vaccin contre la grippe porcine « sûr et flexible » en seulement huit à 12 semaines. Le développement de vaccins conventionnels prend généralement plusieurs années. Cependant, il existe très peu d’études sur les effets de la consommation de viande de porc vacciné selon la technologie de l'ARNm sur le corps humain.

    Préoccupations concernant l'utilisation de vaccins à ARNm chez les bovins

    Selon le groupe de pression américain National Cattlemen's Beef Associationaucun vaccin à ARNm n'est actuellement autorisé pour une utilisation chez le bétail aux États-Unis. Les vaccins sont conçus pour prévenir les maladies chez les bovins, mais leur viande pourrait finir dans les assiettes des consommateurs.

    Le Ranchers-Cattlemen Action Legal Fund United Stockgrowers of America (R-CALF USA) a fait part de ses inquiétudes concernant l'utilisation de vaccins à ARNm chez les bovins. L'organisation nationale à but non lucratif compte plus de 5 000 membres engagés en faveur de la rentabilité et de la viabilité de l'industrie bovine américaine.

    En avril 2023, R-CALF USA a eu des discussions avec des professionnels de la santé et un biologiste moléculaire. L’organisation a recherché des informations sur l’état des injections d’ARNm dans la chaîne d’approvisionnement mondiale en protéines. Le vétérinaire Max Thornsberry a rapporté que certains chercheurs avaient découvert ce qui suit : l'ARNm et le virus qui y est codé pourraient être transmis aux personnes qui ont consommé des produits laitiers ou carnés provenant d'animaux vaccinés.

    Il a exprimé de graves inquiétudes quant à l'impact total et aux conséquences inconnues à long terme. Le vétérinaire a également demandé des examens complémentaires. Bien que les États-Unis n’aient pas encore approuvé les vaccins à ARNm pour le bétail, ils importent de plus en plus de bœuf de pays où les bovins sont vaccinés avec des vaccins à ARNm ou prévoient de telles vaccinations.

    R-CALF USA a souligné la nécessité d'un étiquetage obligatoire de l'origine des produits. Cela permettrait aux consommateurs de décider s’ils choisissent du bœuf provenant d’un pays qui traite le bétail avec des vaccins controversés à ARNm. Dans une déclaration de R-CALF USA, le directeur exécutif Bill Bullard a déclaré que l'organisation avait été attaquée pour sa position. En conséquence, les publications pharmaceutiques les ont accusés de « alarmisme et de désinformation ».

    Cependant, des projets de loi ou des propositions ont déjà été déposés dans plusieurs États américains, dont le Tennessee , l'Idaho , l'Arizona , le Texas et le Missouri. Celles-ci demandent l’étiquetage des produits provenant d’animaux ayant reçu des vaccins à ARNm.

    Les accords de libre-échange entre l’U.E. et les deux Amériques laissent présager de l’arrivée rapide en Europe de ces produits carnés, et des incertitudes afférentes en terme de sécurité alimentaire…

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  • Le phénomène des "turbo cancers" depuis 2021 Bien sûr, toutes les références sont dans les liens  en bleu dans le texte, cliquez dessus pour les ouvrir.

     

    Par Mégane Renshaw

     

    Le monde médical occidental est confronté à un dilemme : les personnes de moins de 50 ans vaccinées contre le COVID-19 reçoivent de plus en plus de diagnostics relatifs à une forme agressive de cancer.

    Boissons sucrées, malbouffe ou vaccins à ARNm : tous les facteurs possibles à l’origine de l’augmentation inattendue des taux de cancer chez les jeunes, font l’objet d’investigations aux USA, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie... 

    Et en France ? La plupart des médias nient le phénomène et sa possible corrélation avec la "vaccination" contre le C. 19 selon la technique de la restriction mentale qui  joue sur l'interprétation et abuse des non-dits. Les oncologues restent prudents de crainte de perdre leur emploi...

    Depuis décembre 2020, les médecins ont remarqué (USA, Allemagne notamment) une  «augmentation surprenante» des cas de cancer chez les personnes de moins de 50 ans, ce qui est biologiquement différent des cancers qui surviennent généralement à un âge plus avancé. Certains pensent que cette augmentation des taux de cancer est due à des facteurs à long terme tels que la consommation de boissons sucrées, les plats préparés industriellement, certaines habitudes de vie en général et les problèmes de sommeil. D’autres affirment que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 récemment déployés pourraient contribuer à un phénomène appelé « turbo cancer ».

    Bien qu’il n’existe pas de définition médicale officielle du terme « turbo cancer », il est couramment utilisé pour décrire « des cancers agressifs et à évolution rapide qui ne répondent pas aux traitements. Ceux-ci surviennent principalement chez les jeunes et se manifestent souvent à un stade avancé par des métastases qui peuvent rapidement devenir mortelles ».

    Alors que les oncologues, dans une étude publiée dans la revue "Nature" fin 2022 (https://www.nature.com/articles/s41571-022-00672-8), considèrent les modes de vie actuels - notamment l'obésité, la consommation de restauration rapide et l'environnement - comme responsables de l'augmentation du nombre de cas de cancer chez les moins de 50 ans, certains médecins avancent une hypothèse bien différente :

    « Ce que nous voyons ici, ce sont des cancers dont les schémas de croissance et le comportement sont complètement atypiques […] Le turbo cancer est quelque chose qui peut apparaître soudainement et n'importe où, même s'il n'existait pas auparavant », a expliqué le Dr. Ryan Cole, pathologiste et PDG de Cole Diagnostics, dans une interview avec « American Thought Leaders ». (https://www.theepochtimes.com/epochtv/how-humans-were-used-as-lab-rats-in-the-covid-pandemic-dr-ryan-cole-on-fragmented-mrna-spike-messages-and-the-vaccine-ego-5300734?utm)

    Le Dr. Cole a rapporté avoir remarqué pour la première fois une augmentation de certains cancers après le début de l’administration du vaccin COVID-19 en décembre 2020 et pense que les chercheurs commencent à comprendre comment ces types de cancer apparaissent :

    « Les médecins voient de plus en plus différents types de cancer dans leur pratique quotidienne – chez des groupes de patients jeunes où le cancer est généralement rare. Bien que l'augmentation des cas de cancer soit généralement attribuée à des dépistages manqués, nous savons que ce n'est peut-être pas le cas ici, car les jeunes ne sont généralement pas systématiquement dépistés [pour le cancer]», a ajouté le Dr. Cole.

    Vaccinations à ARNm contre le COVID-19 et cancer :  panorama des nouvelles informations issues d’études et de rapports de cas :

    Dans une récente étude belge publiée dans la revue Frontiers Oncology, des scientifiques ont présenté le premier cas de lymphome malin chez la souris après une vaccination par ARNm contre le COVID-19 :

    « Deux jours après avoir reçu une dose de rappel du vaccin Pfizer contre le COVID-19, une souris sur 14 est décédée subitement. Une autopsie de l'animal de 14 semaines a révélé des organes surdimensionnés et un cancer lymphatique du foie, des reins, de la rate, du cœur et des poumons. Bien que la détermination d’une association directe soit complexe, les auteurs soulignent que leurs résultats confirment « les rapports cliniques antérieurs sur le développement de lymphomes malins après l’administration du nouveau vaccin à ARNm contre la COVID-19 ».

    Dans un article publié en janvier 2023 dans la revue NIH (National Library of Medicine), des chercheurs ont présenté le cas d'un homme de 66 ans qui a développé un gonflement des ganglions lymphatiques 10 jours après avoir reçu la troisième dose de Pfizer. Après un examen détaillé, le patient a reçu un diagnostic de lymphome non hodgkinien (LNH) de stade 2. Une revue de la littérature a révélé huit cas supplémentaires de LNH apparus peu de temps après une vaccination contre la COVID-19. Parmi ces lymphomes, cinq sont apparus après la vaccination Pfizer, un après la vaccination AstraZeneca, un après la vaccination Johnson & Johnson et un après le vaccin Moderna.

    Dans une lettre adressée au rédacteur en chef du Journal of Dermatology and Venereology de l'Académie européenne en août 2022, les médecins ont fait état de deux patients. Ces patients ont développé un type particulier de cancer appelé lymphome diffus à grandes cellules B après la vaccination Pfizer COVID-19. La maladie s’est d’abord présentée sous la forme d’un gonflement des ganglions lymphatiques.

    Les auteurs de l'étude ont noté que le lymphome diffus à grandes cellules B « peut se développer rapidement après l'administration du vaccin COVID-19 de Pfizer » et ont exhorté les dermatologues à être attentifs aux ganglions lymphatiques enflés ou aux bosses à proximité du site d'injection. 

    Un an après le début de la distribution du vaccin, des chercheurs ont publié un rapport de cas dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) concernant une femme de 39 ans en bonne santé à qui on a diagnostiqué une « lymphadénopathie réactive associée au vaccin » après une vaccination avec le vaccin Pfizer. Six mois plus tard, on lui a diagnostiqué un cancer du sein invasif au sein droit, le côté de son corps où elle avait reçu le vaccin, et elle a remarqué un gonflement des ganglions lymphatiques.

    Ganglions lymphatiques enflés : un effet secondaire « non grave » ?

    L’enflure des ganglions lymphatiques, c’est-à-dire la lymphadénopathie, est considérée comme un effet secondaire courant de la vaccination contre la COVID-19 et est plus fréquemment observée après l’immunisation avec les vaccins à ARNm contre la COVID-19 qu’avec d’autres vaccins.

    Les documents d'information de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis destinés aux travailleurs de la santé citent la lymphadénopathie, ou hypertrophie des ganglions lymphatiques, comme effet secondaire « non grave » de la vaccination contre le COVID-19 dans les vaccins à dose unique et double de Moderna et Pfizer. Néanmoins, ni les sociétés pharmaceutiques ni les régulateurs américains n’ont encore étudié s’il existait un lien entre la lymphadénopathie induite par le vaccin et le développement du cancer.

    Causes possibles des turbo-cancers

    Le mécanisme exact qui conduit au développement du turbo-cancer n’est pas encore connu. On ne sait pas non plus si un mécanisme unique ou plusieurs mécanismes sont responsables de ces cancers, a expliqué le Dr. William Makis, oncologue, chercheur en oncologie et spécialiste en radiologie de médecine nucléaire, dans un courriel adressé à la presse. 

    Dr. Makis a énuméré plusieurs hypothèses qui, selon lui, pourraient expliquer comment les vaccins à ARNm contre la COVID-19 peuvent provoquer un turbo-cancer :

    1. Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 actuellement utilisés contiennent un type spécial d’ARNm appelé « ARNm modifié par la pseudouridine ». Cet ARNm particulier pourrait perturber le fonctionnement de certaines protéines importantes de notre système de défense naturel, le système immunitaire. Ces protéines, appelées récepteurs Toll-like, jouent un rôle essentiel dans la reconnaissance et la lutte contre les cellules cancéreuses. Ils aident donc à prévenir la formation et la croissance de tumeurs. Cependant, si l’activité de ces protéines est altérée par l’ARNm modifié, elles risquent de ne plus être en mesure de remplir leur fonction protectrice aussi efficacement.
    2. Les vaccinations pourraient changer la façon dont les cellules T communiquent et fonctionnent. Cela pourrait interférer avec une substance importante, l'interféron de type 1, affaiblissant ainsi la capacité de l'organisme à surveiller le cancer. Les lymphocytes T sont un type de globules blancs qui jouent un rôle important dans le système immunitaire en aidant à prévenir le cancer. La recherche suggère que plusieurs vaccinations peuvent augmenter la quantité d’un anticorps spécial, l’IgG4, dans le corps. Cela pourrait conduire à la suppression des lymphocytes T et des interférons, réduisant ainsi la capacité du corps à contrôler le cancer.
    3. La modification de l’anticorps IgG4 par des vaccinations répétées d’ARNm pourrait induire une tolérance à la protéine de pointe et affecter la production d’anticorps IgG1 et IgG3 ainsi que la surveillance du cancer.
    4. La protéine de pointe que le corps produit après une vaccination à ARNm contre le COVID-19 pourrait perturber d'importantes protéines suppresseurs de tumeurs , telles que P53, BRCA1 et deux gènes suppresseurs de tumeurs.
    5. La protéine Spike pourrait interférer avec les mécanismes de réparation de l’ADN.
    6. L’ARN des vaccins contre la COVID-19 pourrait être « rétro-traduit » et intégré dans le génome humain.
    7. Une contamination par l’ADN plasmidique contenant la protéine Spike du SARS-CoV-2 a été constatée dans les flacons des vaccins Pfizer et Moderna. Cela pourrait s'intégrer dans le génome humain.
    8. La présence du virus simien 40 (SV40) dans l'ADN découvert dans plusieurs flacons du vaccin à ARNm Pfizer examiné pourrait conduire à des cancers, selon un rapport récent. Les lymphomes non hodgkiniens et autres lymphomes seraient particulièrement concernés, comme c'était déjà le cas avec les vaccins contre la polio contaminés par le SV40.
    9. Les vaccins à base d'ARNm pourraient déclencher la libération d’oncogènes. Il s'agit notamment des OncomiRs ou microARN , qui favorisent ou inhibent le développement du cancer et sont impliqués dans les processus biologiques du cancer, tels que la division cellulaire, la formation de métastases, la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, la résistance à la chimiothérapie et l'évasion immunitaire.

    Des recherches complémentaires sont nécessaires

    « Je suis convaincu qu’il est urgent de rechercher les mécanismes fondamentaux du turbo cancer. "Actuellement, les oncologues n'ont aucune option de traitement pour les patients souffrant d'un turbo-cancer, et les thérapies anticancéreuses conventionnelles ont un effet minime, voire nul », a expliqué le Dr. Makis à la presse.

    Dr. David Wiseman, un scientifique dans les domaines de la pharmacie, de la pharmacologie et de la pathologie expérimentale, a déclaré par courrier électronique à la presse que ni le Comirnaty – le vaccin COVID-19 de Pfizer – ni le Spikevax de Moderna n'ont été évalués pour leur potentiel cancérigène.

    Le 30 mars 2023, le Dr. Wiseman et quatre autres scientifiques ont soumis un document de 27 pages au Comité des académies nationales des États-Unis, un comité ad hoc chargé d'examiner les effets secondaires pertinents associés aux vaccins contre le COVID-19.

    En utilisant le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) - la base de données américaine pour signaler les effets secondaires des vaccins - le Dr. Wiseman et ses co-auteurs ont découvert qu’entre le 14 décembre 2020 et le 24 juillet 2023, le nombre de cas de cancer associés aux vaccins contre la COVID-19 a considérablement augmenté par rapport à tous les autres vaccins depuis 1990.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Extrait de L’interview originale de Barry Young par la journaliste et députée Liz Gunn

    Interview en version originale

    Nelle Zélande - Un statisticien arrêté pour avoir dénoncé des lots de vaccins mortelsBarry Young, statisticien du ministère de la Santé, a été arrêté pour avoir dénoncé des lots de vaccins mortels de Pfizer. Il a divulgué des informations inquiétantes qui, si elles sont exactes, susciteront le doute sur la sécurité de la vaccination à ARNm pendant des décennies. Le lanceur d'alerte a participé à la création et à la mise en œuvre du système de paiement des vaccins basé sur la base de données du gouvernement néo-zélandais, un « système de paiement par dose » qui distribuait les paiements aux prestataires de vaccination.

    « Une personne sur trois est décédée à la suite des vaccinations dans un hôpital au Sud du pays », a-t-il affirmé.

    Barry Young, le statisticien lanceur d’alerte sur les lots mortels de Pfizer en Nouvelle-Zélande, a été arrêté lors d’un raid policier à son domicile, dimanche dernier.

    Employé au ministère de la santé, il avait révélé l’existence de lots mortels du vaccin Pfizer dans une interview explosive à sa compatriote Liz Gunn. Données à l’appui, l’expert avait affirmé “qu’il n’y a aucune chance que ce vaccin ne soit pas mortel”. Conscient de la gravité de ses déclarations, l’homme qui risque sept ans de peine, a déclaré agir par devoir de conscience.

    « La science consiste à être à la fois sceptique et curieux. Nous ne devrions pas être critiqués pour notre scepticisme, ni vilipendés pour notre opinion différente. Nous devrions être autorisés à avoir cela » a-t-il ajouté.

    En tant que statisticien employé par le ministère de la santé, Barry Young avait participé à l’élaboration d’un système de rétributions dans lequel les vaccinateurs recevaient une prime pour chaque dose administrée. L’analyse des bases de données sur la vaccination faisait donc partie de ses tâches.

    Dès le début de la vaccination, il avait observé certaines anomalies, notamment le fait que de nombreuses personnes mouraient dans la semaine suivant l’injection. La comparaison entre différentes bases de données lui avait permis de vérifier que l’augmentation du nombre de morts n’était pas attribuée au Covid. En revanche, à mesure que la vaccination progressait, il semblait bien se dégager une corrélation entre des pics de mortalité et les différentes campagnes de vaccination de la population.

    Nelle Zélande - Un statisticien arrêté pour avoir dénoncé des lots de vaccins mortels  Cliquez sur l'image pour l'agrandir.

     

      Ce tableau montre que les taux de mortalité grimpent lors des différentes campagnes de vaccination.

      

    Partant des données officielles, Young a clairement démontré  que le Covid n’a eu que des effets très minimes sur la mortalité, alors que des pics de décès ont commencé à apparaître dès le début de la vaccination en juillet 2021. Ils ont ensuite repris à partir de mai 2022, avec les vaccins de rappel.

     

    Un privilège embarrassant

    En raison du fait que la Nouvelle-Zélande est un petit pays, Barry Young était seul dans sa fonction. Il bénéficiait d’un accès privilégié à différents types de données et pouvait faire des recoupements, « impensables » ailleurs.

    Grâce à cela, il avait pu observer que la mortalité excessive n’était pas répartie de manière uniforme. Il y avait un nombre de morts anormalement élevé chez certains vaccinateurs, des médecins, pharmaciens, hôpitaux, maisons de retraite et centres de vaccinations spécifiques. Dans les cas les plus alarmants, par exemple le “home” (maison de retraite) et l’hôpital de Te Hopai dans le sud du pays, 30% des personnes vaccinées étaient décédées.

    Mais, cette surmortalité ne touchait pas seulement les personnes âgées ou les maisons de retraite. C’était aussi le cas de centres de vaccination fréquentés par une population ‘normale’, tous âges confondus, comme à Invercargill1 personne vaccinée sur 3 a perdu la vie : 837 vaccinations suivies de 253 morts (dans la même semaine) en lien avec le vaccin. L’explication la plus plausible dans des cas aussi dramatiques, est qu’il peut s’agir d’un problème lié à la qualité des lots.

    L’Effroyable classement

    Young interrogea donc sa base de données pour voir si certains lots étaient liés à un nombre de décès excessif. Il fut stupéfait par le résultat : plusieurs lots étaient tout simplement mortels.

    Nelle Zélande - Un statisticien arrêté pour avoir dénoncé des lots de vaccins mortels

      Les 10 lots les plus mortels du vaccin Pfizer en Nouvelle-Zélande.

      Le lot n°1, le plus dangereux parmi tous, comptait un total de 152 morts sur 711 personnes vaccinées, soit un taux de     21,38% de décès.

    Les autres lots les plus toxiques affichaient des taux de 17% et 15%, suivi de 3 lots à 10% de morts.

    Le 10ème lot de ce sinistre classement avait été administré à plus de 11 000 personnes et était associé à 498 décès.

     

    En principe, si les vaccins avaient été sans danger, la mortalité moyenne d’un lot n’aurait pas dû être supérieure à 0,75%.

    Pour l’expert, il n’y avait alors plus aucun doute:  "Statistiquement, il n’y a aucune chance que ces vaccins ne soient pas mortels.  

    La probabilité que tous ces décès surviennent par hasard équivaut à 1 chance sur 100 milliards".

    Face à un constat aussi effrayant, et au silence des autorités de santé qu’il avait averties, le statisticien a estimé qu’il était de son devoir de lancer l’alerte.  Il a donc contacté une avocate nommée Liz Gunn, leader du New Zealand Loyal Parti, et aussi ancienne journaliste des médias mainstream, afin de donner un maximum de visibilité à ses déclarations.

    Moi, je ne peux plus porter ce secret

    Dans l’interview initiale publiée par Liz Gunn, Barry Young a expliqué pourquoi il ne s’était pas exprimé plus tôt, au vu de ces terribles constats :

    "Je voulais être sûr. J’ai attendu d’avoir assez de données. Ici ce sont des chiffres officiels qui portent sur 2,2 millions de personnes vaccinées. Je ne peux pas parler des autres systèmes, auxquels je n’ai pas accès, mais dans ce pays, j’affirme que les données sont exactes et statistiquement correctes.

     Au début, je ne pouvais que faire des observations de nombreux décès. C’était désolant, mais cela n’avait pas encore de valeur d’un point de vue statistique."

    Et d’ajouter ensuite :

    "C’est terrible de penser que notre gouvernement est responsable de cela. Pourquoi font-ils cela ? C’est leur propre peuple… Ils ont ignoré tous les signaux d’alarme et ont poursuivi leur programme coûte que coûte. Même lorsque tout leur disait : attention, ce vaccin tue".

    Pour Barry Young, le cas de la Nouvelle-Zélande doit donner l’alerte partout dans le monde.

     

    Si c’est arrivé ici, c’est certainement arrivé partout. Il faut plus de gens comme moi pour se lever contre cela. Allez-y ! N’ayez pas peur. Faites-le, un point c’est tout. Moi, je ne peux plus porter ce secret.

    En défiant les autorités sanitaires de son pays,  Barry Young savait pertinemment qu’il s’exposait à la vindicte de son gouvernement.

    Il partagea ses profondes convictions éthiques en se référant aux leçons de l’histoire :

    « Quelqu’un a dit que les mauvaises choses arrivent quand les bonnes personnes ne font rien. C’était évident pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque l’Allemagne a tué des millions d’innocents. Nous savons qu’ils ne sont pas tous mauvais. Les Allemands ne sont pas tous mauvais. Il y avait donc des gens bien. Ils ont simplement suivi les ordres. On leur a dit ce qu’ils devaient faire et ils l’ont fait. L’une des raisons pour lesquelles cela se produit aujourd’hui est que les bonnes personnes ne font pas assez pour mettre fin à tout cela ».

    Des chefs de gangs enrôlés

    Avec l’Australie, la Nouvelle-Zélande s’était engagée dans une politique « zéro Covid », et avait imposé des mesures draconiennes à tous ses habitants. Elle avait fermé ses frontières pendant de nombreux mois et exigé la vaccination et la quarantaine pour ses rares visiteurs. Le pays avait même recouru aux stratagèmes les plus extrêmes pour pousser sa population à se faire vacciner, allant jusqu’à enrôler les chefs de gangs criminels pour promouvoir les injections auprès de la population indigène.

    Des questions sans réponse

    Compte tenu de la politique vaccinale qui a été menée par le gouvernement néo-zélandais, les révélations de Barry Young sont donc particulièrement explosives. 

    L’expert, qui en est bien conscient et qui a accepté d’en assumer les conséquences, se voit aujourd’hui accusé par le ministère de la santé d’avoir accédé aux données de manière « malhonnête ». Oui, mais il est le seul statisticien habilité du pays ! Il risque à présent 7 ans de prison.

    Au moment de sa comparution devant le tribunal régional de Wellington, le lanceur d’alerte a été applaudi par un large public de supporters.

    Selon son avocat Matthew Hague, Barry Young plaide non coupable des accusations qui sont portées contre lui. Il a été libéré sous caution mardi dernier, mais le parti New Zealand Loyal a annoncé que leur dirigeante Liz Gunn a décidé de se cacher pour échapper aux poursuites du gouvernement.

     

    En Nouvelle-Zélande, la Résistance s’organise…

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • * Chérubins peints par Raphaël dans la chapelle Sixtine.  

     L’Europe connaît uLes naissances s'effondrent et ce n'est pas dû au hasard...n important problème de fertilité, à cet égard, la   cohérence générale des données est stupéfiante.

     Partout où nous disposons de données sur les naissances mois   par mois, il manque de nombreux bébés depuis le début de   l’année 2022.

    Tout se passe comme si les femmes avaient été rendues malades   à  partir de la moitié de l’année 2021, en induisant un blocage de   leur fertilité, de manière suffisamment massive pour que ce   phénomène ait des conséquences dans les statistiques de   naissances...

     

     

     

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas dû au hasard...

    Une étude, qui vient d'être publiée dans la revue Science, montre que les femmes souffrent de problèmes menstruels notamment de règles très abondantes à la suite de la vaccination anti-covid-19.

    Cela fait plus d'un an que les troubles menstruels sont reconnus par la NSM et les autorités de contrôle sans pour autant qu'il y ait eu une réelle prise de conscience de la population ni même des médias.

    Lorsque des jeunes femmes d’une vingtaine d’années se retrouvent subitement ménopausées après l’injection de ce vaccin, cela aurait dû donner lieu à une alerte à l’échelon national. Mais non, la reconnaissance de ce problèmes est venue des Etats-Unis, où il semble y avoir encore place pour des lanceurs d’alerte, comme le démontre la parution de l’étude précitée dans la revue Science…

    En France, Mélodie Féron a créé le collectif Où est mon cycle. Elle a elle-même vécu des effets secondaires invalidants, et avec ce collectif, récolte des témoignages de femmes en détresse. 

    https://www.ouestmoncycle.com/communique-de-presse/#Collectif

      Pour que le phénomène soit décelable dans les statistiques, il faut vraiment qu'il soit massif. Nous allons ici refaire un point sur ce que l'on voit du côté du nombre de naissances qui arrive chaque mois.  Et voici ce que l'on observe en France sur ce graphique :

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...On observe en France le nombre de naissances moyen quotidien, chaque mois, depuis janvier 2015. Jusqu'en août 2023, la courbe rouge représente la tendance des années 2015 à 2019 que l'on projette sur la suite. On peut voir qu'il y a un phénomène de cycle sur les naissances avec plus de naissances l'été, et que le nombre de naissances en France baisse, en effet, de manière régulière depuis quelques années.  On constate que le confinement en 2020 a généré 9 mois plus tard une énorme baisse de naissances ; c'est un signe de l'impact qu'a eu le confinement sur la psychologie des Français et c'est un résultat qu'on retrouve sur la quasi-totalité des pays que l'on peut observer pendant l'année 2021.

      Il n'y a donc pas en 2020 un effondrement définitif des naissances mais juste un report sur l'année suivante.  Ce rebond a été stoppé au début de l'année 2022 c'est-à-dire 9 mois après la première campagne de vaccination des femmes en âge de procréer et, depuis, le nombre de naissance ne cesse de s'effondrer…

    Mais, la France est très loin d'être le seul pays d'Europe où l'on observe ce genre de situation.

     Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard... 

      Au Danemark également, on voit que le nombre de naissances suit un cycle mais, contrairement à la France, le nombre de naissances au Danemark avait tendance a augmenter ces dernières années.   On observe, de la même manière, un effondrement du nombre de naissance à partir de 9 mois après la campagne de vaccination des jeunes femmes

     

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...

     

    Même constat en Allemagne sur le nombre de naissances mensuelles, avec une relative stabilité des naissances par le passé voire une légère augmentation, et un effondrement depuis l'année 2022.

     

     

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard... Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...

    Idem en Suisse,           et en Slovénie où l'on observe nettement, en avril 2022, un effondrement 9 mois après la campagne de vaccination.

     

     Il reste quelques pays dans lesquels on ne voit pas l'effondrement des naissances par rapport au passé,  c'est le cas notamment aux Pays-Bas.  On constate même que le rebond de 2021 était complètement stoppé en 2022 mais cela semble correspondre à la norme des années passées.

     Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...Il s'est passé cependant un autre phénomène aux Pays-Bas.  Au cours de l'année 2022 on a vu arriver le plus grand nombre d'immigrés jamais enregistré dans le pays. Sur ce graphique, on observe le nombre d'immigrés arrivant au Pays-Bas chaque mois et on voit nettement l'année 2022 avec un très grand afflux de migrants.  Dans la plupart des cas les migrants sont relativement jeunes et donc les femmes qui arrivent sont en âge de procréer…  on ne sait donc pas si les Pays-Bas ont un maintien de la fécondité des femmes ou si c'est plutôt que les femmes immigrées, majoritairement non vaccinées, continuent d'avoir un taux de fécondité normal ce qui fait augmenter et maintenir à flot le nombre de naissance du pays.

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...Le dernier pays, où l'on n'observe pas de baisse supérieure à la tendance de ces dernières années, c'est l'Espagne. Le nombre de naissances continue de s'effondrer tous les mois, mais il est parfaitement impossible que la tendance à la baisse de ces dernières années continue ad vitam, sinon, au bout de quelques années, il n'y aura plus de naissances du tout... Il est donc impossible de savoir si, dans ce cas précis, la vaccination entraîne une nouvelle baisse de naissance qui serait ici invisible...

    C’est un constat indéniable : ces dernières années, un certain nombre de pays voit leur nombre de naissances s'effondrer…  Oui,  les autorités sanitaires reconnaissent que la vaccination anti-covid-19 peut entraîner des troubles menstruels chez les femmes et, s'il y a des troubles menstruels cela va forcément jouer sur la fécondité.  Donc tout est écrit et reconnu…

     Il y a une quinzaine de jours,  une étude norvégienne a été publiée. Elle montre qu'il y a bien un impact de la vaccination anti-covid-19 sur les problèmes menstruels des femmes

    L'augmentation du nombre de saignements a été observé chez des femmes qui ont encore leurs règles, et même chez des femmes ménopausées.

     

    Des problèmes de mortalité périnatale et de fausse-couches

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...Les problèmes de fécondité ne sont pas les seules anomalies qui ont été relevées ces dernières années : il y a également des problèmes de mortalité périnatale et de fausse-couches. La pharmacovigilance américaine est publiée sur le site du VAERS et le site open VAERS permet d'avoir des graphiques qui utilisent ces chiffres officiels pour mettre en lumière les différents phénomènes. 

    Sur ce graphique on observe le nombre de fausse couches qui ont été déclaré à la suite d'une vaccination anti covid-19 à droite on voit pour ces déclaration le nombre de jour qu'il y a eu entre la vaccination et la fausse couche et on voit que pour 1000 déclarations la fausse couche a eu lieu juste après la vaccination

     

    En France, Christine Mackoi a créé un site internet qui récupère les données mensuelles du nombre de décès des bébés, et on observe qu'il y a eu en France un énorme pic de mortalité néonatale en juin 2021 c'est-à-dire pile pendant la campagne de vaccination des femmes enceintes.

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...En 2021,selon l’INSEE,  2 700 enfants de moins d’un an sont décédés en France. La moitié des enfants décédés avant leur premier anniversaire en 2021 ont vécu moins d’une semaine.

    La mortalité néonatale, c'est-à-dire le décès dans les 28 premiers jours après la naissance du bébé, est bien souvent révélatrice d'un très grand prématuré tout se passe comme si la vaccination des femmes enceintes avait déclenché des accouchements prématurés et fait perdre des bébés.

     L'Institut statistique écossais révèle exactement les mêmes anomalies :

     Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...

      

    C'est aussi le cas pour les données israéliennes :

      Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard... 

    Les constats sont irréfutables : Les incidences de la vaccination tant sur le taux de fécondité des femmes, que sur les femmes enceintes (fausses-couches, prématurés, bébés mort-nés), sont effrayants en ce qu’ils sous-tendent une volonté délibérée de les ignorer… Les gouvernements, les journalistes (qui s’obligent à ne pas investiguer), les médias en général, les politiques…

    Au fait, que dit « l’opposition » ? Rien, elle regarde ailleurs…

     

    Les naissances s'effondrent et ce n'est pas le fruit du hasard...Rappelez-vous, fin 2020, le journal Libération indiquait que les victimes de la vaccination H1N1, n’avaient toujours pas été indemnisées. Il faut quand même plus de 10 ans aux victimes pour faire reconnaître l’effet induit d’une autre vaccination problématique sur leur état de santé et recevoir une compensation…

       

    Un détail qui a son importance : ces indemnisations sont payées par nos impôts... mais pas par les vrais coupables : les laboratoires pharmaceutiques...

     

     

     

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  • Par Mellie, journaliste santé.

    Tous les liens concernant les sources de cet article, sont en bas de page.

    "Vaccins" anti-Covid et décès : des questions et quelques réponses…

    Nombre d'associations, de collectifs, d'avocats, de médecins demandent, depuis plusieurs mois,  que la lumière soit faite sur les vaccins, et les réels risques qu’ils nous ont fait (nous font encore ?) encourir.

    Certaines hypothèses, d’abord jugées complotistes, ont fini par être confirmées par les autorités et les laboratoires pharmaceutiques
    - comme par exemple, le fait que les vaccins n’empêchent pas les contaminations1 ou encore qu’ils peuvent provoquer des risques de myocardites2...


    Mais pour d’autres, la censure règne encore férocement.

    C’est le cas notamment de la fameuse question : les vaccins anti-Covid ont-ils entraîné des décès ?

    En avril déjà, je  relatais le cas d’un jeune médecin, en parfaite santé, qui serait décédé après avoir eu une “rare et sévère” réaction à une injection du vaccin anti-covid d’AstraZeneca.

    L’article le concernant avait étrangement disparu du site Web Medscape où il était publié, sous prétexte qu’il ne correspondait pas aux standards éditoriaux du site3.

    Et voilà que c’est au tour du Lancet, une autre revue scientifique, de faire de même il y a quelques jours4 !

    Des résultats explosifs, passés sous silence.

    Mercredi 5 juillet, une étude5 réalisée par des scientifiques chevronnés est publiée sur The Lancet, une revue scientifique médicale britannique.

    Ses résultats sont tout bonnement stupéfiants : 

    Après avoir compilé tous les rapports d’autopsie disponibles liés à la vaccination anti-Covid, un panel d’experts a examiné chacun des 325 décès sélectionnés et en a conclu que…

    … pour 240 d’entre eux, soit 74 %, la vaccination anti-Covid était directement la cause du décès, ou y avait contribué de façon significative6.

    Avec, en tête des systèmes les plus impactés, le système cardiovasculaire (53 % des cas), le système sanguin (17 %) et le système respiratoire (8 %).

    Le délai moyen entre la vaccination et le décès étant de 14 jours environ.

    Ce pavé dans la mare scientifique ne vient pas de vulgaires complotistes, mais bien de chercheurs renommés.

    En l'occurrence, le Dr Peter McCullough, cardiologue et épidémiologiste, le Dr Harvey Risch, professeur et chercheur principal en épidémiologie à Yale, le Dr Roger Hodkinson, pathologiste, ancien président du comité d'examen en pathologie du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada et le Dr Paul Alexander, ancien fonctionnaire au département américain de la Santé et des Services sociaux pendant la pandémie de Covid-19.

    Pourtant, à peine 24 heures après sa mise en ligne, l’étude est supprimée du serveur de prépublication du Lancet, sans fournir d’explications à ses auteurs.

    A la place, un simple avis est publié : 

    Cette préimpression a été supprimée car les conclusions de l'étude ne sont pas étayées par la méthodologie de l'étude7 8.”

    Une décision d’autant plus étrange que l’étude en question se base sur une méthodologie d’évaluation scientifique standard, du moins selon ses auteurs, qu’elle a été approuvée par l'École de santé publique de l'Université du Michigan au préalable et qu’elle a passé sans problème les vérifications du Lancet avant sa mise en ligne.


    Alors pourquoi une telle censure ?

    Protéger les vaccins, coûte que coûte ?

    Le Dr Harvey Risch aurait bien une théorie à ce sujet.

    Selon lui, puisque “l'article a été retiré au stade de la préimpression, avant l'examen scientifique par les pairs, et sans aucune autre implication scientifique professionnelle dans la décision de censure9”, cette décision viendrait de “l'éditeur du Lancet, Elsevier, à la demande de la Trusted New Initiative (TNI), ou une organisation dérivée du TNI10”.

    Cette TNI est une alliance des géants de l’information et de la technologie mondiale, qui "lutte" depuis 2019 contre la désinformation, notamment à l’encontre des vaccins anti-Covid11... Ou comment s’accorder pour transmettre le même message sur la pandémie, à travers le monde entier, en faisant taire ceux qui oseraient dire le contraire12.

    Deux ans après, nous sommes encore maintenus dans l’ignorance sur certains aspects de la pandémie et notamment des vaccins.

    Serait-ce uniquement pour ne pas avoir à reconnaître cet effet secondaire supplémentaire aux vaccins, et ainsi éviter de devoir payer des indemnités à des milliers de victimes partout dans le monde ?

    La semaine dernière, l’Oniam (l’organisme national d’indemnisation des accidents médicaux) a accordé des indemnités (dont le montant n’est pas connu) à 72 personnes (sur 1020 demandes) qui souffrent de problèmes de santé post-vaccination.

    Si les familles de personnes décédées s’ajoutaient à ces demandes, évidemment, l’addition “post Covid” pourrait exploser13 14...

    Et probablement déclencher un véritable chaos financier et politique.

    Mais notre droit de connaître la vérité est plus important que cela, j’en suis convaincue.

    En attendant, prenez soin de vous.


    Sources :

    [1] https://www.liberation.fr/checknews/transmission-du-covid-19-les-autorites-ont-elles-menti-sur-lefficacite-du-vaccin-pour-justifier-les-pass-sanitaire-et-vaccinal-20221014_JEAR5KU73RFNTPRDWQCLHSNZQE/


    [2] https://www.egora.fr/actus-medicales/cardio-vasculaire-hta-infectiologie/78988-pericardite-et-myocardite-apres


    [3] https://michel.delorgeril.info/vaccins/quand-la-censure-covid-se-fait-visible/


    [4] https://www.theepochtimes.com/health/significant-covid-19-vaccine-study-censored-by-a-medical-journal-within-24-hours_5388409.html?utm_source=healthnoe&src_src=healthnoe&utm_campaign=health-2023-07-14&src_cmp=health-2023-07-14&utm_medium=email&est=o4LpJEnzX7uNv9ZFcG%2B9JC9CHUfviI7u7oFrmp0B7wZ%2BPp4f6kJ6yQtjNivgQTiJyxH3l2A%3D


    [5] Désormais disponible ici : https://zenodo.org/record/8120771


    [6] https://www.theepochtimes.com/health/significant-covid-19-vaccine-study-censored-by-a-medical-journal-within-24-hours_5388409.html?utm_source=healthnoe&src_src=healthnoe&utm_campaign=health-2023-07-14&src_cmp=health-2023-07-14&utm_medium=email&est=o4LpJEnzX7uNv9ZFcG%2B9JC9CHUfviI7u7oFrmp0B7wZ%2BPp4f6kJ6yQtjNivgQTiJyxH3l2A%3D


    [7] https://www.theepochtimes.com/health/significant-covid-19-vaccine-study-censored-by-a-medical-journal-within-24-hours_5388409.html?utm_source=healthnoe&src_src=healthnoe&utm_campaign=health-2023-07-14&src_cmp=health-2023-07-14&utm_medium=email&est=o4LpJEnzX7uNv9ZFcG%2B9JC9CHUfviI7u7oFrmp0B7wZ%2BPp4f6kJ6yQtjNivgQTiJyxH3l2A%3D


    [8] https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4496137


    [9] https://www.theepochtimes.com/health/significant-covid-19-vaccine-study-censored-by-a-medical-journal-within-24-hours_5388409.html?utm_source=healthnoe&src_src=healthnoe&utm_campaign=health-2023-07-14&src_cmp=health-2023-07-14&utm_medium=email&est=o4LpJEnzX7uNv9ZFcG%2B9JC9CHUfviI7u7oFrmp0B7wZ%2BPp4f6kJ6yQtjNivgQTiJyxH3l2A%3D


    [10] https://www.theepochtimes.com/health/significant-covid-19-vaccine-study-censored-by-a-medical-journal-within-24-hours_5388409.html?utm_source=healthnoe&src_src=healthnoe&utm_campaign=health-2023-07-14&src_cmp=health-2023-07-14&utm_medium=email&est=o4LpJEnzX7uNv9ZFcG%2B9JC9CHUfviI7u7oFrmp0B7wZ%2BPp4f6kJ6yQtjNivgQTiJyxH3l2A%3D


    [11] https://www.bbc.co.uk/beyondfakenews/trusted-news-initiative/about-us/


    [12] https://pressgazette.co.uk/news/journalists-claim-alternative-covid-19-news-censorship-create-one-official-narrative/


    [13] https://www.20minutes.fr/sante/4045366-20230712-covid-19-soixante-douze-personnes-malades-apres-vaccination-indemnisees


    [14] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/covid-72-personnes-ont-ete-indemnisees-pour-des-complications-apres-une-vaccination?xtor=EPR-1-%5BNL_editionnumerique%5D-%5B20230712%5D&utm_content=20230712&utm_campaign=NL_editionnumerique&utm_medium=newsletter&utm_source=qdm

     

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