• N'oubliez pas de déclarer vos effets secondaires. C'est fondamental pour la traçabilité des lots et votre suivi médical.

    PHARMACOVIGILANCE - DECLAREZ LES EFFETS SECONDAIRES QUE VOUS SUBISSEZ

     

    Cliquez sur les liens ci-dessous, pour comprendre ce qu'est la pharmacovigilance et comment déclarer vos effets secondaires à la suite des "injections Covid".

     Répertoire des Résistants 

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  •  Déambulation  silencieuse des Masques BlancsAvec LES MASQUES BLANCS, samedi 6 avril 2024 à CHALLANS, place du Champ de Foire

    avec le collectif Nantais ...

    Samedi à 9H30  à CHALLANS  (place Victor Charbonnel).

    Besoin d'hommes et de femmes en tenue de peintre (Brico marché, Leroy Merlin avec
    gants blancs et masques blancs). Sinon, venez comme vous êtes...

     

    Nous sommes un collectif non violent de citoyens libres.  Nous voulons éveiller les consciences devant les dérives liberticides des mesures prises et la dictature sanitaire, qui s'est peu à peu mise en place.

    Il serait tentant, à notre époque, de cataloguer un mouvement et de tenter de le figer dans une case : un parti politique, les « antivax », les irresponsables, etc. Mais nous ne sommes rien de tout ça. Juste des citoyens d'horizons divers, qui remettent en cause une « gestion » de crise qui n'a apporté comme résultats que morts solitaires dans les hôpitaux et les EHPAD, commerces fermés, économie en ruine, isolement, peur de l'autre et perte de libertés.

    Le vaccin est-il la seule solution ? Pourquoi aucun traitement n'a-t-il été mis en place en complément ? Pourquoi a-t-on refusé aux médecins, en première ligne de défense de la santé publique, le droit de prescrire en leur âme et conscience, provoquant ainsi l'engorgement des hôpitaux déjà mis à mal depuis des années et disposant de trop peu de moyens ? Quelle étude sérieuse justifie le confinement et prouve son efficacité ? Quelle étude sérieuse justifie le port du masque tel une muselière dans les lieux ouverts ? Pourquoi tant de mensonges du gouvernement ?

    Voici quelques-unes des questions que nous nous posons en citoyens responsables à qui le gouvernement doit rendre des comptes. Voilà quelques-unes des questions que nous aimerions que chacun se pose, et que tous puissent obtenir des réponses. Pour, finalement, peut-être concourir à trouver d'autres voies sans mettre à mal notre liberté que protégeait la constitution.

    Nous sommes les Masques Blancs, nous militons en toute indépendance pour une vie ensemble, dans le respect et le partage. Nous prônons le bon sens et voulons construire l'avenir.

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  • Ségrégation sanitaire

     

    Après plus de 500 jours de ségrégation sanitaire dont sont victimes des milliers de soignants français, un dossier spécial s'imposait pour faire le point sur les conséquences morales, psychologiques et matérielles de ces personnes qui subissent une nouvelle forme de maltraitance en étant privées de tous moyens de subsistance.

    Certains ont tout perdu, y compris la vie (le nombre de dépressions et de suicides a explosé) d'autres ont trouvé de l'aide auprès de leur familles ou de leurs amis... Tous sont durablement marqués par cette situation ubuesque. Contrairement à ce qui s'est passé dans les Antilles françaises où la population a su se montrer solidaire, notamment celle des personnels soignants, en métropole, c'est une chappe de plomb qui est retombée sur toutes ces personnes privées de leur droit le plus élémentaire, celui de subvenir "aux besoins essentiels de la vie" pour eux-mêmes et leurs enfants.

    Le silence s'est fait. On regardait ailleurs : une façon comme une autre d'accepter l'inacceptable car prendre position revient à s'engager personnellement et la lâcheté des uns (personnel politique en tête et médias aux ordres) surpassera toujours le courage des autres, .

    Mais au fait, où sont les partis politiques d'opposition donneurs de leçon, sur un sujet de civilisation aussi crucial que celui de cette ségrégation sanitaire, de cette société discriminant les non-vaccinés qui "ne seraient plus des citoyens" selon le président ? Serait-ce une méthode plus radicale de les "emmerder" à défaut de pouvoir les "effacer" du paysage ? 

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  • de Philippe Oswald

    L'anniversaire de la honte

     

    Ce 28 janvier a été le 500ème jour de suspension pour les soignants et assimilés – médecins, infirmiers, pompiers, personnels administratifs – privés de salaire et d’indemnités de chômage parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner contre le Covid. 

    Les réseaux sociaux bruissent de témoignages poignants (#500JoursDeSuspension) de ces milliers d’hommes et de femmes sans ressources ni statut social depuis le 15 septembre 2021 : médecins, infirmiers, infirmières, dentistes, kinésithérapeutes, psychologues ou même contrôleurs de gestion… (« Je n'ai aucun contact avec les patients mais je devrais être vacciné »). Plusieurs se sont suicidés. Fêtés comme des héros avec leurs pairs au début de la crise sanitaire, ils ont basculé du jour au lendemain dans la catégorie des parias… Nombre de collègues vaccinés les soutiennent, par exemple Alice Desbiolles, médecin de santé publique, épidémiologiste, auteur de « Réparer la santé » en librairie ce 28 janvier, qui rappelait sur Europe 1, le 18 janvier dernier, l’importance du « consentement libre et éclairé de la personne » sans lequel aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué selon l’article L1111-4 du Code de la santé publique.

    Qui peut donner son consentement « libre et éclairé » pour se faire injecter un vaccin encore en phase expérimentale ? Certains « suspendus » l’ont été après avoir refusé une troisième dose parce qu’ils subissaient des effets secondaires éprouvants...

     

    Il n’y a plus en Europe que deux pays à ne pas avoir encore réintégré leurs personnels soignants non vaccinés contre le Covid-19 : la France et la Hongrie. Interpellé sur ce sujet à l’Assemblée Nationale au mois de novembre dernier, François Braun, le ministre de la Santé, a saisi la Haute Autorité de Santé (HAS) qui doit remettre un avis sur la réintégration ou non des soignants non-vaccinés au cours de ce premier semestre 2023.

    Emmanuel Macron, interviewé le 3 décembre dernier par Le Parisien, déclarait : « La réintégration des soignants non vaccinés, je l’ai dit plusieurs fois, c’est une décision qui doit être scientifiquement fondée, de la même manière que leur exclusion l’avait été ». Scientifiquement fondée, vraiment ? Est-ce une position scientifique ou politique qu’adopte l’Académie nationale de médecine dans ce communiqué du 13 décembre 2022 où elle réaffirme son opposition à la réintégration des soignants non-vaccinés en arguant que « cette mesure ne résoudrait en aucune manière la pénurie de soignants dont souffrent le système hospitalier et les Ehpad ».

    L’idée que la suspension sans salaire ni indemnités soit d’une violence et d’une iniquité inouïes ne semble pas avoir effleuré l’Académie...

     

    À ce jour, le gouvernement campe sur sa position : pas de réintégration des non-vaccinés. Interrogé sur cette exclusion durant une visite au centre hospitalier de Compiègne, le 25 novembre 2022, le ministre de la Santé, François Braun, a eu ces mots lapidaires : « Je veux parler aux 99% des soignants (...) vaccinés, c’est eux que je respecte ». Et d’ajouter que les personnes non vaccinées ont « volontairement tourné le dos à l’éthique ». 

    « Éthique ou orthopédie morale d’État ? » répond Barbara Houbre, psychanalyste, maître de conférences en psychologie clinique et psychologie de la santé, sur le site Kairos presse (en lien ci-dessous). Quand le ministre de la Santé martèle que « remettre en cause la vaccination est quelque chose que je ne peux pas entendre », est-il bien dans son rôle ?

    « La fonction de ministre de la Santé n’implique-t-elle pas justement de pouvoir dépasser ses positions personnelles pour entendre les voix divergentes ? »

    Quelle est d’ailleurs la « vérité scientifique » qu’on pourrait certifier intangible ?

    S’agissant par exemple de la protection contre la transmission qu’offriraient les vaccins, la vérité d’hier n’est plus celle d’aujourd’hui : « Les vaccins actuellement sur le marché protègent incomplètement contre la transmission et cette efficacité partielle tend à diminuer au bout de trois mois » concède l’Académie nationale de médecine dans son communiqué du 13 décembre 2022. Si tel est le cas, objecte Barbara Houbre, « l’Académie de médecine ne devrait-elle pas exiger des soignants en poste qu’ils soient vaccinés depuis moins de trois mois » ? Si on ne les soumet pas à cette obligation, comment justifier la suspension des non vaccinés ?

    Suffit-il d’arguer que 7,3 milliards de doses ont déjà été administrés dans le monde, comme s’y aventure l’Académie de médecine ? « Argument ubuesque » rétorque Barbara Houbre : « Depuis quand l’homme et la science peuvent-ils se soustraire au temps ? (...) L’Académie de médecine semble assimiler l’étendue au temps comme si rien ne distinguait ces deux dimensions. Le nombre de vaccins inoculés ne changera rien à l’affaire si des effets indésirables graves surviennent... »

    Or leurs listes s’allongent, dans tous les pays où la vaccination anti-Covid a été massivement pratiquée.

    À suivre !

     

     

     

     

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  •  Interview de Marc GOTTI – Juriste

    Marc Gotti est juriste du Collectif Les 300, qui rassemble des professionnels du droit ayant mené plusieurs actions pour défendre les libertés publiques pendant la crise sanitaire. 

    Ci-après, la retranscription de l'interview qu'il a donné à un media indépendant...

    Marc Gotti - Le site VigiAccess donne le nombre (des effets secondaires) qui est déjà, en soi, astronomique, par rapport à toutes les autres campagnes de vaccination que l’on a connues dans l’histoire, un tel chiffre n’a jamais été atteint. On a 4 743 187 effets secondaires recensés au 1er décembre 2022. Les infractions pénales qui pourraient éventuellement être qualifiées, sont d’une gravité extrême.

    Journaliste Merci d’avoir accepté notre invitation. Aujourd’hui, nous allons notamment évoquer les professionnels suspendus depuis l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale le 15 septembre 2021. La France est le dernier pays en Europe qui n’a pas réintégré ses personnels suspendus. Emmanuel Macron a récemment déclaré dans Le Parisien qu’il n’était pas persuadé qu’il fallait les réintégrer et que la décision ne devait pas être un choix politique mais un choix scientifique. Le ministre de la Santé, François Braun a, pour sa part, expliqué que leur réintégration posait à la fois un problème sanitaire, mais aussi un problème d’éthique professionnelle, notamment vis-à-vis des soignants vaccinés. Quel regard portez-vous sur la position du gouvernement ?

     

    M.GJe ne suis pas du tout convaincu. Déjà, lorsque Emmanuel Macron veut se baser sur les décisions scientifiques pour réintégrer ou non les soignants, il faut quand même se poser la question : qu’ont décidé les autorités de santé des autres pays de l’Union européenne ?

    Est-ce que l'autorité de santé française serait la seule en qui nous devrions avoir foi ? Ça reste à voir, ça reste surtout à prouver. Donc non, ce sont des considérations en fait beaucoup plus politiques que scientifiques. La ligne directrice générale, avec notamment les dernières révélations qui ont été faites au niveau des instances européennes, ont permis de voir qu’il y avait de moins en moins d’appuis scientifiques pour entériner de telles décisions. Il est légitime de se demander pourquoi la France, au plan européen et mondial, est parmi les dernies pays à vouloir imposer des contraintes qui n’ont plus rien de légitime.

     

    Journaliste Est-ce que vous pouvez revenir aussi sur les conséquences de cette suspension pour les personnels qui ont refusé de se faire vacciner, d’un point de vue juridique et notamment les obligations qui continuent de peser sur eux malgré cette suspension ?

    ·    M.G. - On est assez surpris dans certains cercles de se rendre compte que la population n’est pas correctement informée sur ce sujet. Lorsque le personnel soignant a été suspendu parce que devant se conformer à une obligation vaccinale qu’il a refusée, il faut bien comprendre ce que ça veut dire. C’est-à-dire qu’ils sont suspendus, ils ne sont pas licenciés. Par conséquent, en tant que tel, ils ne peuvent prétendre ni aux indemnités de chômage ni au RSA.  Pour ceux qui étaient en arrêt maladie antérieurement à l’obligation vaccinale, on leur a supprimé leurs indemnités journalières d’arrêt maladie. Il faut bien avoir cela en tête. Certains magistrats ont considéré que c’était excessif,  qu’il fallait rétablir les indemnités journalières pour tous ceux qui avaient été en arrêt maladie avant l’obligation vaccinale. De plus, les personnels soignants concernés, n’avaient pas le droit d’aller travailler ailleurs. Ils avaient une sorte d’obligation d’exclusivité de rester à disposition des établissements publics qui les employaient. Pour beaucoup d’entre eux, leur simple survie n’était plus assurée : certains se sont fait expulser de leur logement car incapables de payer leur loyer ; d’autres ont vendu leur maison n’étant plus en mesure de rembourser leurs prêts ; d’autres ont été hébergés par de la famille ou par des amis, avec des enfants en bas âge ; d’autres encore se sont suicidés…  Il faut bien que la population réalise ce que cela signifie d’être suspendu. La loi du 5 août 2021 a créé une sorte de « no man’s land » juridique dans lequel le droit du travail a été balayé, , tout le droit protecteur, qui s'attache aux droits de l’homme, a été balayé... Et les politiques l’ont fait en toute conscience.

    ·   Journaliste Fin novembre, Olivier Soulier qui est porte-parole du syndicat Liberté et Santé et Maître David Guyon, avocat au barreau de Montpellier, ont d’ailleurs expliqué que certains soignants suspendus avaient été convoqués par la police ou la gendarmerie, dans le cadre d’auditions libres, ces dernières semaines, notamment pour répondre de soupçons de travail dissimulé. Puisque, comme vous le disiez, les soignants relèvent de la Fonction publique et ne sont pas déliés de leur obligation d’exclusivité vis-à-vis de leur employeur. Par conséquent, certains soignants convoqués ont manifestement dû justifier de mouvements de fonds sur leur compte bancaire. Maître David Guyon a estimé que ces convocations étaient disproportionnées, évoquant une forme d’intimidation. 

    Q  Qu’est-ce que ces méthodes vous inspirent ? Est-ce conforme à l’Etat de droit ?

    m M.G. - Ça dépasse l’entendement ! Qu’on se serve des articles du Code pénal à des fins politiques, moi, je veux bien l’entendre si, effectivement, certaines personnes avaient été en infraction dans une situation dans laquelle on les a projetés… Mais quand vous convoquez tout le personnel sans exception qui a été suspendu dans tel ou tel établissement, ce n’est pas du tout la même considération que d’avoir des soupçons sur une personne précisément identifiée. Un impact psychologique majeur sur des personnes qui se trouvent en situation de rendre des comptes devant les forces de police ou de gendarmerie alors que ce sont des gens, comme vous et moi, des citoyens ordinaires qui ont toujours accompli leur travail correctement et sur lesquels il a été fait des projections d’infraction alors même qu’ils sont dans une situation de désarroi et humanitaire catastrophique et intolérable. Pour un « Etat de droit » comme la France se plait à le rappeler, ça dépasse l’entendement, ça se passe de commentaires parce que je risquerais de dépasser les bornes…

        Journaliste :  Il y a quelques semaines, la généticienne Alexandra Henrion-Caude a parlé aussi « d’une forme d’obstination relevant de la perversion » à propos du refus de réintégrer les personnels suspendus depuis 500 jours maintenant, au 28 janvier 2023. Est-ce que vous partagez ce point de vue ?

    M.G.Oui, on est au contact des personnes concernées, au sein de notre collectif, depuis le début, depuis que la loi est entrée en vigueur. On a bien constaté qu’il y avait derrière une réelle volonté politique de faire plier toute résistance par rapport à ce que le pouvoir voudrait mettre en place. Et, pour ce faire, il fait preuve d’un acharnement sans bornes. Alors, je laisse cela à l’appréciation de chacun. Mais, quand vous n’informez pas la population, il lui est difficile justement de prendre la mesure de ce qui est en train de se passer, puisque ce n’est pas quelque chose dont on parle à la télévision ou à la radio. Par conséquent, pour la population, les situations individuelles et humanitaires très compliquées que ces personnes vivent, n’existent pas… Ce sont parfois des mères de famille avec des enfants en bas-âge… Faire preuve d’un tel acharnement vis-à-vis de simples citoyens, ça dépasse l’entendement…

    JournalisteD’autant que vous, dans le cadre d’un entretien que vous avez accordé à Sud-Radio récemment, vous avez expliqué que cette obligation vaccinale des professionnels des secteurs sanitaire et médico-social, n’était pas recevable d’un point de vue juridique, notamment parce qu’elle allait à l’encontre du droit national, du droit européen et du droit international. En quoi cette obligation vaccinale n’est-elle pas conforme au droit, selon vous ?

    M.G. - Il y aurait plusieurs choses à développer bien sûr. Je vais prendre simplement un ou deux exemples pour ne pas être trop long, et j’irai droit au but parce qu’on n’a pas des heures devant nous pour que je puisse développer : l’obligation légale de vaccination qui concerne des produits qui sont toujours en phase d’essais cliniques, est normalement interdite. C’est écrit noir sur blanc dans les traités européens, les traités internationaux et transposé en droit français, en vigueur dans tous les pays qui ont ratifié ces traités internationaux et les conventions européennes. Il est précisé que les autorisations de mise sur le marché, qu’elles aient été conditionnelles ou standard, ne retirent pas  le caractère expérimental  qui s’attache à ces produits. 

    On a entendu Olivier Véran dire que l’on a obtenu les premières données d’essais cliniques de phase trois et que, sous-entendu, il n’y a plus rien à dire. Eh ! bien, pas du tout. C’est même l’inverse. Les produits sont toujours sous forme expérimentale et ce sera le cas tant que les essais cliniques ne seront pas terminés. Il n’y a même pas à dissocier les phases un, deux et trois entre elles. Le droit ne permet pas de les dissocier. C’est juste que les essais cliniques en tant que tels doivent être terminés. Et, je ne parle même pas des études cliniques de pharmacovigilance, une fois que le produit est sur le marché, qui peuvent mettre plusieurs années à être recueillies : c’est une forme de phase quatre. Rappelons que les essais cliniques sont des expériences faites pour la mise au point du produit. En l’occurrence, les autorisations de mise sur le marché ne sont que conditionnelles. Nous sommes donc dans une infraction caractérisée des traités européens et internationaux ; les magistrats sont censés appliquer un contrôle de conventionnalité de la loi par rapport aux droits supérieurs européens et internationaux. 

    En droit, vous avez ce qu’on appelle la pyramide de la hiérarchie des normes. Au sommet, se trouve le bloc de constitutionnalité. Il n’y a rien au-dessus de cela. Et lorsqu’une loi fait, par exemple l’objet d’un contrôle de constitutionnalité, le Conseil constitutionnel vérifie la conformité des points de la loi, par forcément toute la loi, à ce bloc de constitutionnalité inscrit dans la Constitution. Juste en-dessous, vous avez un autre étage très important, aussi important que le premier étage de la pyramide, qui est le bloc de conventionnalité dans lequel se trouvent les traités internationaux, les traités européens, et la loi française, à l’étage inférieur, doit correspondre à ces textes, elle ne doit pas aller à l’encontre des normes juridiques contenues dans les traités internationaux et européens.

    Même si le Conseil constitutionnel validait l’obligation légale de vaccination en tant que telle, ce qu’il n’a toujours pas fait à l’heure actuelle, il s’est prononcé sur un autre article que l’obligation légale de vaccination qui était à l’article 12 et à l’article 13, et sur une partie de l’article 14.

    Supposons un instant,  que le Conseil constitutionnel ait légitimé l’obligation de vaccination en la trouvant conforme au bloc de constitutionnalité, ça ne réglerait pas leur problème. En effet, le bloc de conventionnalité, lui, ne sera toujours pas respecté. Et le contrôle de conventionnalité est fait par les magistrats ordinaires. Lorsque vous avez un litige devant le juge, votre avocat peut demander à faire ce contrôle de conventionnalité en demandant à écarter la loi qu’il estime contraire au droit européen et au droit international qui sont tous deux supérieurs au droit français. C’est déjà arrivé dans l’histoire, on a déjà écarté des lois qui n’étaient pas conformes au droit supérieur.

    Si nous sommes toujours dans un Etat de droit, avec une belle démocratie réelle et efficace, qui n’est pas vidée de sa substance, le pouvoir judiciaire doit jouer son rôle, et son rôle est de corriger les dérives d’un pouvoir exécutif qui, sur le plan juridique, force est de le constater, est devenu incontrôlable, et où vous avez un pouvoir législatif qui s’est couché…

    Si le pouvoir judiciaire renonçait à jouer son rôle en ne contrôlant plus les dérives des deux premiers pouvoirs (exécutif et législatif), c’est la belle théorie de Montesquieu sur la séparation des pouvoirs, vieille de deux siècles, qui s’effondrerait. Nous ne serions plus dans un Etat de droit... 

    Et si on voulait nous poser la question « mais est-ce que vous avez déjà des exemples en tête que notre Etat de droit et notre démocratie ne seraient pas réels ? » Je pourrais vous en citer, en effet. Je vais prendre un exemple très simple, basique. Le 29 mai 2005, la France a dit « non » au projet de traité constitutionnel européen qui a donné ensuite le traité de Lisbonne. Est-ce que cela a empêché le peuple français de se voir imposer le traité de Lisbonne deux ans plus tard ? Trois jours après la France, La Hollande a dit « non » au même projet de traité, pour un résultat identique à celui du peuple français. En 2005, la démocratie représentative a pris un sérieux coup dans l’aile. Je passerai sur les exemples que je pourrais vous trouver dans un cadre purement juridictionnel, avec la proximité dans les hautes sphères de la magistrature, avec le pouvoir exécutif et législatif, je ne vais pas développer. Mais, je pense que beaucoup de gens seraient très surpris des liens ou des conflit d’intérêts et de la façon dont les choses se passent derrière les belles apparences et les belles illusions de principes honorables comme l’Etat de droit et la démocratie…

    Il y a quelque chose de vraiment particulièrement important que l’on n’a pas suffisamment dit, voire que l’on n’a pas dit du tout sur les effets secondaires des vaccinations de ces produits encore en phase expérimentale. Pour simplifier, on va prendre les chiffres au niveau planétaire.

    L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a une base de pharmacovigilance qui s’appelle VigiAccess. L’accès est public, tout le monde peut aller la consulter, elle donne les nombres des effets secondaires des vaccinations Covid 19 à date. Je l’ai consulté le 1er décembre 2022, et VigiAccess donne un nombre déjà astronomique par rapport à toutes les autres campagnes de vaccination connues dans l’histoire.  C’est un nombre jamais atteint par le passé, on a 4 743 187 effets secondaire recensés au 1er décembre 2022, pour le monde entier.

    Il s’agit d’une obligation loyale d’information, mais ça n’a pas été donné par les agences de santé de quasiment tous les pays occidentaux, ce chiffre, c’est connu depuis des décennies, c’est même avoué par les laboratoires pharmaceutiques, qu’ils soient d’envergure nationale ou internationale, n’est qu’un chiffre largement sous-évalué. Vous devez y appliquer ce qu’on appelle un coefficient correcteur pour connaître les cas réels. Pourquoi ? Parce que ces chiffres-là sont de la pharmacovigilance passive, à savoir sur déclaration volontaire des gens à la suite de problèmes rencontrés après vaccination. Par ailleurs, beaucoup de gens sont démotivés à faire cette déclaration parce que, parfois, leur propre médecin le leur déconseille « ce n’est pas grave » ; « ce n’est qu’un effet secondaire passager » ; « ça ne vaut pas le coup » etc. Ensuite, il y a les barrières administratives pour enregistrer les informations. La vraie question est de savoir à quel pourcentage se monte la sous-évaluation.

    Les grands laboratoires pharmaceutiques reconnaissent que la pharmacovigilance passive ne représente, selon eux, que 10 % des cas réels.

    D’autres disent dans de nouvelles études que ce n’est même pas 10 % des cas réels mais plutôt 5 %. Certains vont même jusqu’à 1 % des cas réels…

    En résumé, vous avez entre 1 % et 15 % dans le meilleur des cas, de problèmes réels. Ce qui donne une moyenne de 7,5 %.

    Si on part de cette hypothèse de 7,5 % de cas réels, il faut multiplier le chiffre que je vous ai donné par 13,33. Donc, 13,33 fois 4 743 187 effets secondaires, ce qui donne 63 226 682 effets secondaires planétaires après deux ans de vaccination, tous cas confondus : graves et légers.

    Les cas réels d’effets secondaires graves représentent environ 25 % de 63 millions et quelque… Ce qui nous fait 15 806 670 effets secondaires graves. Cela correspond, en volume,  à la population de la Suisse et de la Bulgarie réunie et même dépassée.

    Nous sommes là dans des constatations de court terme. Personne ne sait ce que ça va donner dans quelques années où certains effets vont se révéler, peut-être, dans trois, quatre ou cinq ans après les injections.

    Et, il y a un autre point particulièrement important à ce sujet. Je viens d’évoquer le produit expérimental qui a fait l’objet d’obligation légale de vaccination, suivez la logique, elle est très simple :

    Si vous avez des pouvoirs exécutifs dans tous les Etats du monde occidental ou d’ailleurs, et un pouvoir législatif qui a accepté de voter des lois qui allaient à l’encontre des traités internationaux et européens, dans des domaines particulièrement importants, parce que là, on touche aux droits de l’homme, à la santé humaine et à la dignité de la personne humaine. In fine, on touche à des sujets fondamentaux depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les infractions pénales qui pourraient éventuellement être qualifiées, sont d’une extrême gravité.

    Etant donné la généralisation de cet épisode sanitaire à l’échelle de la planète, imaginez cinq secondes que, par exemple, le président Joe Biden qui est à l’origine d’un certain nombre de violations de traités, devait être traduit en justice… Le président des Etats-Unis ! Il était facile de juger Saddam Hussein après sa défaite ; il a été facile de juger Slobodan Milosevic devant un tribunal international ; il a été facile de juger des dirigeants de pays africains… Pensez-vous que la même chose puisse se produire parmi les puissances occidentales les plus importantes de la planète ? Cela n’arrivera jamais ! D’autant plus qu’aucun pays occidental n’est dans une position isolée : ils ont tous instauré une « obligation légale de vaccination » pour une partie de leur population (soignants, pompiers, militaires…) dans le cadre d’une organisation commune…[1]

    Journaliste : Dans le cadre d’un entretien qu’il nous a accordé fin septembre 2022, Pierrick Thévenon, pompier professionnel suspendu, nous a expliqué que pour lui, ce principe de suspension créait finalement un dangereux précédent juridique et, que des professions qui n’avaient pas été soumises à l’obligation vaccinale cette fois-ci, pourraient éventuellement être concernées  à leur tour, voire qu’un gouvernement pourrait s’en inspirer pour suspendre à l’avenir des catégories socio-professionnelles qui refuseraient de satisfaire à un autre critère que celui de la vaccination.        Est-ce que ce principe de suspension crée effectivement un dangereux précédent sur le plan juridique selon vous ?              Dans quelle mesure, le législateur pourrait-il s’en prévaloir à l’avenir pour étendre son champ d’application ?

    M.G.De fait, le pouvoir est allé très loin dans la situation qui est encore la nôtre aujourd’hui. On peut considérer qu’une sorte de boîte de Pandore a été ouverte qui laisse libre court à tout ce que l’on peut imaginer de pire, dans une forme de dérive d’obligations diverses imposées à la population, cela commence à prendre forme sur d’autres plans, d’autres aspects… plus sournois, indirects. Quelques exemples : le futur traité de l’OMS sur les pandémies entrera en vigueur en 2024. En pratique, il s’agira d’un retrait pur et simple de la souveraineté sanitaire des Etats-nations. C’est déjà le cas en Europe : le 24 octobre 2022, le Conseil de l'Union européenne a adopté deux règlements visant à améliorer les capacités de l'UE à réagir face à de futures pandémies ... un transfert de compétences sanitaires qui pourrait permettre de réactiver les contrôles sanitaires, décréter des urgences de santé publique… Prochainement, c’est l’OMS qui aura cette compétence au niveau régional comme au niveau planétaire.

    Vous avez également le « passe carbone » qui va être intégré dans cet arsenal réglementaire parce que toutes les grandes instances internationales appellent de leurs vœux ce type de contrôle, dans le souci louable et noble de limiter les émissions de gaz à effet de serre. On peut toujours utiliser ce genre d’arguments pour pervertir une forme de contrôle des populations. Il y aura ensuite l’euro numérique qui permettra d’avoir un contrôle en temps réel de vos dépenses comme de votre épargne… Si vous faites une circonférence globale, vous pourrez avoir une passe sanitaire qui pourra se transformer en passe vaccinal relié à une identité numérique, une monnaie  numérique, le tout relié à votre état sanitaire, fiscal, financier… la boucle est bouclée. C’est toute votre vie qui sera sous contrôle. Nous n’y sommes pas encore, mais on a mis dans les tuyaux tout ce qu’il fallait (textes de lois, réglementation)…

    JournalistePensez-vous que ces différents mécanismes que vous venez d’évoquer, que ce soit l’identité numérique ou l’euro numérique, pourraient être utilisés par les élites pour, éventuellement, conserver des prérogatives ou s’en octroyer de nouvelles ?

    Selon vous y aurait-il une crainte d’une certaine partie des élites face à une éventuelle réaction populaire concernant les décisions et les effets qui en découleraient ? 

    M.G. – Oui, tout à fait. Si vous avez un tel système de contrôle, comme le rappelle très fréquemment  Jean-Marc Jancovici, un ingénieur reconnu qui passe son temps à être audité au Sénat ou à l’Assemblée Nationale depuis plus de dix ans, il y aura deux façons de maîtriser les situations individuelles ou collectives : par les sanctions pécuniaires si vous dépassez vos quotas ; ou alors, la gestion des contrôles par les quotas, plus égalitaire… Tout n’est pas encore acté.

    Pour en revenir à ce que je disais précédemment, il n’y a pas que les exécutifs qui auraient les mains sales, il y a aussi les parlementaires qui ont approuvé des lois scélérates  violant le droit supérieur des droits de l’homme. Si jamais l’exécutif était inquiété ou menacé, ou emprisonné, eux aussi auraient des comptes à rendre. Mais, à l’heure actuelle, c’est un peu comme si vous vouliez traduire Poutine devant la Cour pénale internationale pour la guerre qu’il mène en Ukraine… Même pour les exécutifs  qui ne sont plus en poste à l’heure actuelle, comme Angela Merkel qui a géré la crise sanitaire allemande, imagineriez-vous possible de la faire traduire en justice parce qu’elle aurait violé les traité européen et internationaux sur les droits de l’homme (convention d’Oviedo) ? Par ailleurs, début septembre , la Cour des comptes européenne a publié un rapport d’audit sur le processus d’achat des vaccins par la Commission européenne dans lequel elle point un certain nombre de dysfonctionnements. 

    Journaliste : Mi-octobre, le Bureau du procureur général européen a ouvert une enquête sur l’achat des vaccins par l’U.E.. Que pensez-vous de cette enquête ? Est-elle justifiée ? Y a-t-il un problème de transparence qui mérite d’être éclairci sur cette question de l’acquisition des vaccins par la Commission ?

    M.G. – C’est une bonne question parce que le système de passation des contrats de l’Union européenne pour l’achat des vaccins, a fait l’objet de nombreuses interrogations, et c’est un euphémisme. Il faut savoir que Ursula von der Leyen, actuelle présidente de la Commission, lorsqu’elle était ministre de la Défense en Allemagne, avait déjà eu des problèmes particulièrement importants dans le cadre de passations de marchés et de conflits d’intérêts liés aux membres de sa famille, qui l’ont obligé à démissionner avant d’être « exfiltrée » à la tête de la Commission européenne où les mêmes problèmes de passation de marchés pour l’achat des vaccins ont été constatés. Mme von der Leyen a refusé de transmettre à la médiatrice européenne des échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, dans le cadre du contrôle des discussions préliminaires à la passation des contrats. Plus tard, c’est la Cour des comptes européenne qui a rendu un rapport sur la passation des contrats où elle a relevé de nombreuses irrégularités (page 33 à 39 du rapport). Depuis lors, le Parquet européen s’est saisi de l’affaire, parce qu’il ne pouvait éviter de le faire, mais beaucoup ne croient pas que l’enquête aboutira… La corruption à tous les étages…

    JournalisteEn comparaison de cela, on a , ces derniers mois, des médecins qui ont été convoqués par l’Ordre des médecins pour s’explique sur leurs prises de position ou leurs prescriptions, pendant la crise sanitaire. Récemment, Alain Houppert, sénateur Les Républicains de la Côte d’Or, et médecin radiologue, a été sanctionné par la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins de Bourgogne Franche-Comté qui a prononcé à son encontre une interdiction temporaire d’exercice de la médecine. C’est aussi le cas de Martine Wonner, ex députée, médecin-psychiatre qui a écopé d’une interdiction d’exercer pendant un an.    Quel regard portez-vous sur ces convocations ? Sur l’action de l’Odre des médecins ? Cela pourrait-il s’apparenter  à une forme de chasse aux sorcières selon vous ?

    M.G. - La réponse est oui ! Même la victoire récente du professeur Christian Péronne devant la Chambre disciplinaire du Conseil régional de l’Ordre des médecins – qui a fait appel d’ailleurs – il ne fallait pas imaginer qu’ils allaient se prendre une gifle en première instance et en rester là.  Pourtant, il a été relevé par cette Chambre disciplinaire, dans sa décision, que le professeur Péronne, étant donné ses fonctions « avait même l’obligation de dire ce qu’il avait eu à dire ». En résumé, il était dans son rôle, ses compétences et n’avait pas outrepassé ses fonctions...

    Toutes ces sanctions ont été particulièrement sévères. La liberté de parole, la liberté d’expression, la liberté d’opinion, des valeurs constitutionnellement acquises, donc protégées, ont été vilipendées.       La science ne progresse que par le doute. C’est sa raison d’être. A partir du moment où on vous interdit de poser des questions, de douter, de débattre, on a quitté le registre scientifique. Socrate, Galilée, Descartes, Einstein (à ses débuts)… ont été mis au ban de la société, pour avoir défendu leurs idées. 

    Journaliste·         Certains observateurs ont estimé que cette crise sanitaire et les réactions qu’elle a suscitées, pouvaient être perçues comme le signe d’une société malade et que les enjeux de cette crise n’étaient pas seulement circonscrits à la sphère sanitaire. Par exemple, l’anthropologue de la santé, Jean-Dominique Michel, a expliqué que « la crise était le symptôme d’une forme de déliquescence de notre civilisation et la révélation de scories déshumanisantes de la modernité ». Quels sont les principaux enseignements que vous tirez de cet épisode sanitaire ? Que dit-il de l’état de notre société ? Est-il effectivement le révélateur d’une crise plus profonde, selon vous ?

    M.G.La réponse est oui. Notre société thermo-industrielle vieille d’à peu près deux cents ans, est vraiment axée sur l’individualisme, l’absence d’altruisme au cœur des valeurs. On a progressé sur certains aspects et régressé sur d’autres. La solidarité est un vain mot.              Quand on exclut de la société, sciemment,  une partie de la population considérée comme un groupe de malfrats, de coupables sur lesquels il faut se délester de toute une charge émotionnelle, c’est ignoble, et que l’autre partie laisse faire, indifférente (dénonciation des voisins récalcitrants), on peut dire que cette crise a agi comme le révélateur d’une société malade.                Je me souviens de personnes qui ont appelé à interdire l’accès des magasins alimentaires aux non-vaccinés, « à affamer les non-vaccinés » selon le Dr. Masson… C’est révélateur d’une véritable ignominie. …/… C’est ce que dit aussi Aurélien Barrau, astrophysicien français, selon lui, « le problème fondamental est philosophique. Il n’est pas vraiment technologique à la base. Il est dans notre rapport au monde. …/… Notre civilisation est vouée à périr. Une espèce soi-disant intelligente, mais vraiment proche du suicide ». Collectivement, nous n’avons pas suffisamment évolué en harmonie avec les valeurs universelles, avec la nature… Peut-être que dans des milliers d’années,  aurons-nous atteint un stade d’évolution plus acceptable...


    [1] Programme COVAX de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)

     

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