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"Vaccins" anti-Covid et décès : des questions et quelques réponses…
Par Mellie, journaliste santé.
Tous les liens concernant les sources de cet article, sont en bas de page.
Nombre d'associations, de collectifs, d'avocats, de médecins demandent, depuis plusieurs mois, que la lumière soit faite sur les vaccins, et les réels risques qu’ils nous ont fait (nous font encore ?) encourir.
Certaines hypothèses, d’abord jugées complotistes, ont fini par être confirmées par les autorités et les laboratoires pharmaceutiques - comme par exemple, le fait que les vaccins n’empêchent pas les contaminations1 ou encore qu’ils peuvent provoquer des risques de myocardites2...
Mais pour d’autres, la censure règne encore férocement.
C’est le cas notamment de la fameuse question : les vaccins anti-Covid ont-ils entraîné des décès ?
En avril déjà, je relatais le cas d’un jeune médecin, en parfaite santé, qui serait décédé après avoir eu une “rare et sévère” réaction à une injection du vaccin anti-covid d’AstraZeneca.
L’article le concernant avait étrangement disparu du site Web Medscape où il était publié, sous prétexte qu’il ne correspondait pas aux standards éditoriaux du site3.
Et voilà que c’est au tour du Lancet, une autre revue scientifique, de faire de même il y a quelques jours4 !Des résultats explosifs, passés sous silence.
Mercredi 5 juillet, une étude5 réalisée par des scientifiques chevronnés est publiée sur The Lancet, une revue scientifique médicale britannique.
Ses résultats sont tout bonnement stupéfiants :
Après avoir compilé tous les rapports d’autopsie disponibles liés à la vaccination anti-Covid, un panel d’experts a examiné chacun des 325 décès sélectionnés et en a conclu que…… pour 240 d’entre eux, soit 74 %, la vaccination anti-Covid était directement la cause du décès, ou y avait contribué de façon significative6.
Avec, en tête des systèmes les plus impactés, le système cardiovasculaire (53 % des cas), le système sanguin (17 %) et le système respiratoire (8 %).
Le délai moyen entre la vaccination et le décès étant de 14 jours environ.
Ce pavé dans la mare scientifique ne vient pas de vulgaires complotistes, mais bien de chercheurs renommés.En l'occurrence, le Dr Peter McCullough, cardiologue et épidémiologiste, le Dr Harvey Risch, professeur et chercheur principal en épidémiologie à Yale, le Dr Roger Hodkinson, pathologiste, ancien président du comité d'examen en pathologie du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada et le Dr Paul Alexander, ancien fonctionnaire au département américain de la Santé et des Services sociaux pendant la pandémie de Covid-19.
Pourtant, à peine 24 heures après sa mise en ligne, l’étude est supprimée du serveur de prépublication du Lancet, sans fournir d’explications à ses auteurs.
A la place, un simple avis est publié :
“Cette préimpression a été supprimée car les conclusions de l'étude ne sont pas étayées par la méthodologie de l'étude7 8.”Une décision d’autant plus étrange que l’étude en question se base sur une méthodologie d’évaluation scientifique standard, du moins selon ses auteurs, qu’elle a été approuvée par l'École de santé publique de l'Université du Michigan au préalable et qu’elle a passé sans problème les vérifications du Lancet avant sa mise en ligne.
Alors pourquoi une telle censure ?Protéger les vaccins, coûte que coûte ?
Le Dr Harvey Risch aurait bien une théorie à ce sujet.
Selon lui, puisque “l'article a été retiré au stade de la préimpression, avant l'examen scientifique par les pairs, et sans aucune autre implication scientifique professionnelle dans la décision de censure9”, cette décision viendrait de “l'éditeur du Lancet, Elsevier, à la demande de la Trusted New Initiative (TNI), ou une organisation dérivée du TNI10”.
Cette TNI est une alliance des géants de l’information et de la technologie mondiale, qui "lutte" depuis 2019 contre la désinformation, notamment à l’encontre des vaccins anti-Covid11... Ou comment s’accorder pour transmettre le même message sur la pandémie, à travers le monde entier, en faisant taire ceux qui oseraient dire le contraire12.
Deux ans après, nous sommes encore maintenus dans l’ignorance sur certains aspects de la pandémie et notamment des vaccins.
Serait-ce uniquement pour ne pas avoir à reconnaître cet effet secondaire supplémentaire aux vaccins, et ainsi éviter de devoir payer des indemnités à des milliers de victimes partout dans le monde ?
La semaine dernière, l’Oniam (l’organisme national d’indemnisation des accidents médicaux) a accordé des indemnités (dont le montant n’est pas connu) à 72 personnes (sur 1020 demandes) qui souffrent de problèmes de santé post-vaccination.
Si les familles de personnes décédées s’ajoutaient à ces demandes, évidemment, l’addition “post Covid” pourrait exploser13 14...
Et probablement déclencher un véritable chaos financier et politique.
Mais notre droit de connaître la vérité est plus important que cela, j’en suis convaincue.
En attendant, prenez soin de vous.
Sources :
[3] https://michel.delorgeril.info/vaccins/quand-la-censure-covid-se-fait-visible/
[5] Désormais disponible ici : https://zenodo.org/record/8120771
[8] https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4496137
[11] https://www.bbc.co.uk/beyondfakenews/trusted-news-initiative/about-us/« Duo d'artistes vendéens : Grégory Audubert, photographe & J.J. Gendron, peintreA tous les Résistants »
Tags : Covid, effets secondaires, censure, indemnisation
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Commentaires
à la question : les vaccins ont ils provoqué des décès ? la très officielle instance gouvernementale instituée en 2011 près le ''sang contaminé'', Agence nationale de Sécurité du médicament dans son rapport 19 dit qu'elle a recueilli 1385 signalements de médecins piqueurs (pour les 11 premiers mois de 2021) dont les patients sont morts dans les 3 jours ! Pour les 5 pseudos vax (moderna, johnson etc ) elle relève 1936 victimes directes des piquouzes ! mais aussi 187 000 effets secondaires et référencie 140 pathologies induites par ces substances parfois létales qui, rappelons-le, ne protège en rien les piqués, favorise la pandémie et dont le seul intérêt est de générer des profits colossaux avec la complicité des Mengele français Macron et Veran qui savaient depuis Avril 2020 que des solutions prophylactiques et soignantes existaient.
Merci pour votre commentaire : vous semblez bien documenté sur la situation en France. Par conséquent, n'hésitez pas à nous proposer un article sur la situation française voire européenne si vous avez des informations sourcées sur ce sujet...
À bientôt de vous lire ?