RASSEMBLEMENT VENDEEN
N.B. le lien du blog doit être prochainement modifié par la gestionnaire de la plate-forme Eklablog, et le nom "reconquete85", remplacé. Nous n'avons donc pas la maîtrise de cette opération...
Par Eric Mauvoisin-Delavaud
Yannick Morez, maire de Saint-Brévin (44), promoteur d’un projet de CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire, a annoncé récemment démissionner de son mandat de maire, et, dans le même temps, son prochain départ de Saint-Brévin, après avoir quitté son emploi. A ce sujet, il se murmure qu’à 62 ans (depuis le 24 mars), il souhaiterait faire valoir ses droits à la retraite avant l’entrée en vigueur de la nouvelle réforme…
Officiellement, le motif invoqué est qu’il aurait été « abandonné » par l’État et victime de l’incendie de ses deux véhicules et d’une partie de sa maison.
En réponse, Johanna Rolland, maire PS de Nantes, appelle à une manifestation à Saint-Brévin le 24 mai prochain, pour soutenir le maire mais surtout pour promouvoir la politique immigrationniste de Macron.
Comment se fait-il – selon l’association des maires de France – que 1293 maires depuis 2020 ont démissionné, dans l’indifférence générale, mais que la démission de Yannick Morez soit ainsi montée en épingle ?
La réponse est simple : une gigantesque manipulation de l’opinion est en préparation.
Des indiscrétions, en provenance de l’entourage du maire, indiquent qu’il avait pris sa décision de démissionner avant que ses voitures ne soient incendiées.
Cet incident – que nous condamnons totalement, comme toute forme de violence – se révèle aujourd’hui un bon prétexte pour justifier et habiller son départ.
Et d’aucuns de récupérer sa démission pour l’instrumentaliser et en faire le prétexte à une mobilisation qui sera certainement une manifestation de soutien à Morez mais surtout une manifestation de soutien à la politique immigrationniste de Macron que le maire de Saint-Brévin mettait en œuvre, comme d’autres, avec beaucoup de bonne volonté.
Les organes de presse pro-immigration vont diaboliser ceux qui combattent la politique de Macron soutenue par le maire de Saint-Brévin, en les accusant d’être des « fascistes » et de recourir à la violence pour s’opposer à l’installation de CADA.
L' objectif sera de faire comprendre à tous les Français qui souhaitent combattre l’installation de CADA que, s’ils agissent dans ce sens, ils seront assimilés à des « fascistes », des gens « d’extrême droite », voire des « nazis ». Le but ultime étant de les intimider, les effrayer et les faire renoncer à toute mobilisation. En un mot : de les ostraciser...
Le Rassemblement Vendéen n’est nullement dupe de cette énorme opération d’instrumentalisation de la démission du maire de Saint-Brévin.
Il invite tous les Français attachés à leur pays, son identité et sa culture, à continuer avec nous le combat pour stopper cette immigration incontrôlée, et faire en sorte que Saint-Brévin reste Saint-Brévin et que la France reste la France.
Sans se laisser intimider.