RASSEMBLEMENT VENDEEN
Depuis l'élection de Trump, les États-Unis se distancient du contrôle mondialiste occidental, optant pour une indépendance réelle hors de l'influence de la « cabale transatlantique » ( le pouvoir non élu, l’état profond, Biden et les Démocrates américains…), qui jusqu’à présent, a totalement contrôlé l’Occident.
Désormais, l'UE mène ce qui reste de cette Cabale, quitte à entrer en conflit avec les États-Unis, tout comme les autres pays encore sous sa coupe. Avec le Généralissime Macron en chef de guerre déclaré et en chef d’état européen rêvé… qui nous joue la guerre depuis 3 ans déjà, et un objectif initial OTAN/U.E. dont il lui faudra faire le deuil…
Rappelons au passage quel était cet objectif révélé par Kaja Kallas, vice-présidente de l’U.E. : « Il n’a jamais été question de l’Ukraine, mais du démantèlement de la Russie afin que le pays soit divisé en Etats plus petits et plus faibles, prêts à être exploités ». Tel était le projet mondialiste soutenu par les Américains et présenté à Davos : un projet de contrôle et d’appropriation des ressources russes en matières premières.
L'Ukraine n'a jamais appliqué les accords de Minsk. F. Hollande et A. Merkel ont reconnu publiquement dans la presse qu'ils n'avaient jamais signé ces accords pour les respecter, mais pour gagner du temps, histoire de laisser le temps à l’Ukraine de se réarmer et de s’organiser...
En attendant, l’imposture d’E. Macron lors de son allocution, affirmant que la Russie est devenue une menace pour l’U.E. et pour la France, n’a trompé personne hormis ceux qui font définitivement partie du clan des “Macronards”. L’illusionniste ne fait plus illusion !
Mais, nous sommes en 2025 et la guerre est perdue pour les Ukrainiens : les Américains se retirent et ce vide ne pourra pas être comblé par les Européens. En effet, les Américains ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Hier ce sont les Britanniques qui se sont vu couper l'accès aux renseignements électroniques, satellitaires et aériens. Aujourd'hui les Ukrainiens, fin des frappes en profondeur et de la contre-batterie.
La fin de l'aide militaire américaine, signe la fin du conflit. La dernière étape est en préparation avec Starlink, mais c'est dans les tuyaux. Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a promis de discuter avec Elon Musk de la possibilité de désactiver Starlink pour l'armée ukrainienne. Il faut rappeler que si les satellites Starlink sont désactivés, l'armée ukrainienne sera complètement aveugle…
Dans ces conditions, la capitulation se conçoit en jours. En France, malgré tout, on continue à agiter l’idée d’une “inévitable guerre”.
L'Union Européenne et ses alliés politiques et culturels comme la Grande-Bretagne, la Suisse, les pays scandinaves, ainsi que des nations hors Europe telles que le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, vont devoir faire un choix crucial.
Depuis l’élection de Donald Trump, les chantres et disciples de Klaus Schwab (Davos) se sont repliés sur l’Union Européenne qui reste le projet pilote du mondialisme. Son système de contrôle de son économie et de ses peuples, y compris le lavage de cerveau massif de la population par le biais d’un contrôle quasi absolu de sa sphère d’information, est le prototype de ce que la « Cabale transatlantique » veut que le monde entier soit.
Depuis l’élection de Trump, les États-Unis sont, au moins temporairement, hors de contrôle de la « Cabale ». Et, pour les mondialistes adeptes du « Great Reset », il sera tentant d’utiliser l’UE pour faire avancer cet agenda mondial.
En d’autres termes, l’UE pourrait essayer d’assumer le rôle antérieur des États-Unis en tant que principal outil d’application de la « Cabale », en essayant de plier le monde à sa volonté.
Même si l’objectif semble aussi irréalisable qu’irrationnel, on ne peut pourtant pas exclure cette possibilité, car les dirigeants européens ne sont pas réputés pour leur discernement et leur intelligence situationnelle.
C'est la décision que les dirigeants de l’UE doivent prendre. Deux options se présentent à eux :
1) Vont-ils passer en « mode passif » et adopter une position mutuellement bénéfique et respectueuse à l'égard des autres pays ? Cela signifierait qu'ils se contenteraient d'exister en tant qu'« unité de stockage » pour la Cabale mondialiste jusqu'à ce qu'elle puisse reprendre le contrôle des États-Unis.
2) Vont-ils passer en « mode agressif ». Le mode agressif est dangereux car il peut avoir des conséquences – y compris celles qui peuvent conduire à des mesures de rétorsion de la part de l’Administration Trump qui déboucherait sur un isolement accru de l’UE.
Pour l’instant, l’UE semble avoir opté pour une attitude agressive, en adoptant une position conflictuelle envers les États-Unis et la Russie. Mais qu’en est-il du reste du monde ?
Pour avoir une meilleure idée de ce que l’UE entend faire et de ce que pourraient en être les conséquences, examinons de plus près la situation en Europe et ses relations actuelles et récentes avec le monde non occidental.
La bulle de contrôle mental
L’UE est une structure qui donne la priorité à un pouvoir centralisé à Bruxelles, sur tout le reste, y compris la planification économique et la création de valeur.
Les citoyens européens ont été intégrés avec succès dans cette structure à laquelle ils collaborent majoritairement. Ils ont été façonnés et configurés pour s’y adapter à la faveur de tous les renoncements de leurs élus politiques.
Cela a été également rendu possible grâce au contrôle quasi total des médias européens – qui ont longtemps fonctionné comme un outil de contrôle mental de la « cabale transatlantique ».
En conséquence, les Européens ont été isolés de la réalité et transformés en outils, avec les croyances, les valeurs et les motivations « correctes » qui leur ont été inculquées. Cela a rendu l’UE presque à l’abri des dissensions internes, du moins dans la partie occidentale. Les « élites » de l’UE ont été modelées de la même manière, et sélectionnée pour leurs capacités à obéir.
Dans l’esprit des élites européennes et de la plupart des citoyens européens, l’Europe (représentée par l’Union européenne bien sûr) est le centre du monde – voire de l’univers. Ils sont convaincus de l’importance et de la puissance de l’Europe, ainsi que de la centralité de sa culture.
Leur perception de la « centralité culturelle » signifie que les Européens, dans leur ensemble, croient que leurs opinions sont en quelque sorte les opinions par défaut de l’humanité. Toutes les autres opinions peuvent être des déviations ignorantes, voire dangereuses et immorales – et ne sont partagées que par des gens inférieurs. Les Européens sont prompts à rejeter et à déshumaniser ceux qu’ils considèrent comme ayant des opinions déviantes.
Les Européens souffrent également, dans leur grande majorité, de mégalomanie, un autre trait narcissique. Le meilleur exemple, exprimé à ce sujet, est la réponse d’un fervent admirateur de l’UE à qui l’on demandait comment l’Europe pourrait faire respecter ses lois sur la chaîne logistique ESG à l’échelle mondiale. Il a répondu que c’était « l’effet Bruxelles ». Bruxelles est si puissante que si elle rédige une loi, même si elle profite à l’Europe au détriment des autres, le monde sera obligé de s’y conformer.
Pourtant, au fond, les dirigeants européens savent que l’Europe est faible. Ils savent qu’ils ne peuvent pas exercer une influence mondiale ou faire la guerre à la Russie sans la puissance américaine. Ils savent que l’Europe est à la fois faible et petite sur le plan économique – avec moins de 15 % du PIB mondial – et moins en termes de production économique réelle.
Sur le plan économique, la seule carte forte qu’ils détiennent est celle d’être un marché pour les autres – et cette carte s’affaiblit à mesure que les Européens s’appauvrissent.
Cette réalité est encore profondément ancrée dans l’inconscient de la plupart des élites et des citoyens européens. Ils continuent de croire à la puissance, à l’influence et à la supériorité morale de l’Europe, alors qu’ils font partie d’une civilisation totalitaire de plus en plus appauvrie et gangrenée par la criminalité, qui organise des élections à la manière des procès-spectacles de l’Union soviétique, n’hésitant pas à les truquer pour parvenir à ses fins. Le manque de conscience de soi est un autre trait du narcissisme.
Arrivée du "grand méchant Trump"
Rien n’est pire que la réalité, et les dernières semaines ont été difficiles pour l’Union européenne. Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a d’abord annoncé la fin de l’unipolarité.
L’Occident ne cherchera plus à dominer le monde. Puis le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a annoncé la fin technique de l’OTAN. Il a déclaré aux Européens qu’ils pourraient entrer en guerre avec la Russie s’ils le voulaient, mais que les États-Unis ne les soutiendraient pas. Puis le vice-président Vance, lors de la conférence sur la sécurité de Munich, leur a dit que l’UE était une structure totalitaire, pas meilleure que l’Union soviétique. Vance avait tort sur ce point. L’UE est en train de devenir ce que l’Union soviétique serait devenue si Trotsky avait gagné contre Staline – c’est-à-dire pire.
J.D. Vance a également déclaré que les valeurs (et la politique) de l’UE étaient devenues incompatibles avec les valeurs américaines. C’était une déclaration importante, c’est le moins qu’on puisse dire, mais pas assez radicale, car les valeurs de l’UE sont devenues incompatibles avec celles de la plupart des pays du monde.
Les États-Unis ont rapidement annoncé que des négociations avec la Russie allaient commencer sur l’Ukraine et d’autres questions d’intérêt commun. Les États-Unis ont également annoncé que l’UE ne participerait pas à ces négociations car, elle n’avait rien à apporter aux négociations et allait même essayer de les saboter. Cela a porté la panique de l’UE à son paroxysme. Après tout, les narcissiques ne détestent rien tant que l’insignifiance.
Tout cela signifie que les États-Unis vont se retirer de l’UE et de l’Ukraine. Cela aura des conséquences importantes que beaucoup de gens ne semblent pas avoir perçues : la guerre en Ukraine était autrefois entre la Russie et l’OTAN.
Avec Macron comme général en chef des Armées européennes (du moins, c’est ce à quoi il prétend ), elle va désormais se dérouler entre la Russie et l’Union européenne.
La mise à l'écart
Les États-Unis ont exclu l’UE des négociations sur l’Ukraine pour deux raisons pratiques :
Ce ne sont là que les raisons immédiates et pratiques. Il existe d’autres raisons, plus graves et plus significatives, qui pourraient conduire à l’exclusion de l’UE de bien d’autres négociations que celles sur l’Ukraine.
La principale raison est la situation politique et culturelle de l’UE et des pays associés. La culture et la politique européennes se sont complètement dissociées du reste du monde et il n’existe pratiquement plus de terrain d’entente.
Pour le reste du monde, l’UE est devenue une entité étrangère qui a abandonné tout ce qui, à leurs yeux, définit une civilisation humaine.
Ce n’est pas parce que le monde extérieur à l’Occident est en train de changer. Il existe depuis longtemps un fossé culturel énorme entre l’UE et le monde non occidental. Ce qui s’est passé est un « événement pivot » lorsque la "cabale transatlantique" (un nom approprié à plus d’un titre) a perdu le contrôle des États-Unis avec l’élection de Donald Trump. Lorsque cela s’est produit, les États-Unis ont pivoté culturellement, militairement et économiquement loin de l’UE. Jusque-là, les États-Unis avaient été un club gay culturel, transgenrisme, woke, comme l’UE, et avaient permis l’existence et les activités de l’UE par la force appliquée contre le reste du monde.
L'Union européenne est aujourd'hui culturellement et économiquement de plus en plus isolée, et cet isolement s'aggrave. Les communications avec le reste du monde, notamment économiques et diplomatiques, sont systématiquement interrompues, et atteignent un point où elles ne peuvent plus être maintenues.
La fracture à l'origine de cette rupture de communication et de cet isolement est due à la fois aux pertes de valeurs et au comportement européens. En d'autres termes, les valeurs de l'UE et son comportement sont de moins en moins tolérés par le reste du monde. Ce manque de tolérance s'applique désormais également aux États-Unis.
Divergences de valeurs et de comportement.
La fracture de la valeur
L’UE a mis en place un certain nombre de politiques sociales (et économiques connexes) à l’intérieur de ses frontières. Mais elle ne se contente pas de les appliquer uniquement là-bas et a cherché à les imposer au reste du monde – en utilisant jusqu’à présent la puissance des États-Unis. Appliquées au sein de l’UE, ces politiques sont considérées par les gouvernements non occidentaux comme tout simplement folles, mais lorsqu’elles leur sont imposées, "elles deviennent une menace" .
Aujourd’hui, l’UE (avec d’autres pays de la Cabale) est la seule entité qui tente d’imposer ces politiques au monde, et devient donc la cible de cette menace à la place des États-Unis. L’UE est ainsi passée du statut de simple folie à celui de problème à traiter – et les États-Unis ne sont plus là pour la défendre, et en assumer la responsabilité.
Voici trois exemples de ces politiques.
Politiques anti-société
Les pays non occidentaux, et désormais les États-Unis, croient généralement qu'une société stable ne peut fonctionner sans certains fondements. Ces fondements sont principalement la famille et les valeurs morales qui la maintiennent solide. Ces fondements définiront ensuite la société par le biais de la « migration ascendante » et la maintiendront stable et saine.
La politique de l’UE est exactement à l’opposé. L’UE est anti-famille, anti-femme, anti-homme, anti-enfants, anti-religion, anti-moralité, anti-normalité, anti-liberté, anti-mérite et anti-conséquences des actes. L’UE mène une guerre constante contre ces fondements, et contre les fondements économiques de ses sociétés.
Tous les gouvernements sensés rejetteront cette politique qui va dissoudre leur pays, selon les principes édictés à Davos, ce qui entraînera une catastrophe démographique et un effondrement économique. Toute influence de l’UE sur leurs sociétés doit donc être bloquée pour leur propre survie.
Politiques anti-souveraineté
La principale caractéristique du monde multipolaire émergent est la souveraineté des nations. La souveraineté est une condition préalable à tout système dans lequel le gouvernement est responsable devant son peuple, qu'il s'agisse d'une démocratie ou d'un autre système. Un gouvernement ne peut tout simplement pas être responsable devant son peuple s'il reçoit des ordres d'un autre pays ou d'une autre organisation. Un pays comme celui-là stagnera invariablement et sombrera dans une dystopie totalitaire – perdant par surcroît sa compétitivité face aux autres pays.
Le fondement du système de l’UE est l’abolition de la souveraineté des nations européennes. Le fondement de la politique étrangère de l’UE est l’abolition de la souveraineté des autres nations.
Nous l’avons vu récemment en Géorgie, où l’UE (avec l’USAID – la caisse noire de la Cabale transatlantique) a financé et soutenu une tentative de révolution colorée. Comme d’habitude, les responsables de l’UE n’ont pas fait preuve de subtilité et ont participé eux-mêmes aux manifestations financées.
Tous les gouvernements sensés considèrent que cette situation est totalement incompatible avec le consensus multipolaire qui se dessine – et qu’elle constitue une menace directe pour leur pays. Bloquer l’influence politique de l’UE devient donc une priorité pour quiconque souhaite que son pays soit souverain et prospère.
Politiques pro-corruption
La corruption systémique, lorsqu’elle atteint un certain niveau, tend à augmenter de manière exponentielle jusqu’à engloutir toute la société. Au bout du compte, le gouvernement ne servira plus que les corrompus, ce qui se traduira par une situation similaire à celle d’une perte de souveraineté au profit d’une puissance étrangère. Le résultat final de la corruption systémique est toujours une classe importante de personnes vampiriques, se gorgeant du sang des contribuables.
La lutte contre la corruption systémique est une priorité pour les principaux pays non occidentaux depuis plus d’un quart de siècle.
Après les années 1990, la Russie a été décimée par la corruption, en partie due à la perte de sa souveraineté.
La lutte contre cette corruption a été la plus grande tâche de Vladimir Poutine.
La Chine a également adopté des mesures sévères contre la corruption, notamment en exécutant purement et simplement les fonctionnaires corrompus.
Aujourd’hui, les États-Unis se sont lancés dans une purge anticorruption en faisant appel au groupe de travail DOGE de Musk.
En revanche, le système européen est littéralement basé sur la corruption. On pourrait même aller plus loin et dire que le système européen est une corruption systémique.
Les systèmes sociaux imposés ne sont pas vraiment des « structures » subjectives. Ce sont des individus sélectionnés pour leurs caractéristiques, placés à des postes déterminés, puis configurés.
Le système européen est de nature complètement vampirique. Il se compose de milliers de politiciens, de dizaines de milliers de bureaucrates et de millions de complices qui sucent le sang des contribuables et des entreprises européennes. Toute action entreprise dans l’UE contre la corruption systémique entrera immédiatement en conflit avec ce système et ne sera donc pas autorisée.
Toutes les opérations d’influence menées par l’UE dans les pays étrangers visent à créer des clans de « vampires » dans ces pays, qui seront aidés à se développer (avec l’argent des ONG et le soutien direct de l’UE) jusqu’à ce qu’ils puissent se repaître de tout le pays. "L’objectif principal du système de régulation de l’UE est la création de plus de « vampires », et l’incitation à l’étendre en dehors de l’UE est une incitation à créer plus de vampires en dehors de l’UE".
Etant donné que c'est toujours l'objectif principal de la politique étrangère de l'UE, tout contact avec l'UE est source de corruption. Tout gouvernement sensé prendra des mesures contre ce phénomène, comme l'a fait le gouvernement géorgien avec sa loi sur les agents étrangers.
La fracture comportementale
Quiconque suit l’évolution géopolitique de ces dernières années aura remarqué un changement de comportement des dirigeants et diplomates occidentaux envers leurs homologues non occidentaux.
Leur comportement est devenu grossier, irrespectueux et dénué de conscience de soi. La nouvelle administration américaine a tenté de renouer les relations avec des pays clés, dont la Chine, la Russie et l’Inde – tandis que l’UE semble avoir intensifié ses activités de sabotage – et les a élargies aux États-Unis.
Trois exemples de ce comportement.
Manque de respect
Les diplomates et les élites politiques de l'UE (et de l'administration Biden) sont devenus célèbres pour leur comportement irrespectueux envers quiconque ne se soumet pas à eux ou ne partage pas leurs valeurs.
Chaque réunion est l'occasion d'un sermon sur la supériorité des valeurs européennes/occidentales et l'infériorité des valeurs locales.
Chaque réunion contient des critiques sur la façon dont l'autre partie gère sa société, car elle est inférieure à la manière européenne/occidentale.
Chaque réunion est l'occasion d'un mépris pompeux, d'un signal de vertu et de mensonges éhontés.
Cette situation a tellement dégénéré et frustré les gouvernements non occidentaux qu’ils ont violé l’étiquette diplomatique et réagi.
Le ministre indien des Affaires étrangères Jaishankar a évoqué à plusieurs reprises « l’hypocrisie » occidentale, tandis que les Chinois et d’autres ont même fait preuve d’un manque de respect flagrant envers les visiteurs occidentaux (et notamment européens) en ne les recevant pas formellement lorsqu’ils venaient leur rendre visite, ou en les ignorant tout simplement.
Cela a entraîné un isolement des représentants européens et occidentaux bien plus profond que la plupart des gens ne le pensent. Personne ne veut vraiment leur parler ou écouter leurs divagations narcissiques. Leur accès aux diplomates et dirigeants non occidentaux a diminué – et en général, personne ne croit ce qu’ils disent.
Cette « tactique » diplomatique est désormais utilisée par l’UE et ses alliés contre les États-Unis et Donald Trump. Cela ne finira pas bien.
Usurpation réglementaire
L'Occident a longtemps été confus quant à la compétence de ses lois, en particulier les Américains. Ils ont souvent supposé que les lois américaines étaient en quelque sorte contraignantes pour l'ensemble de la planète. L'exemple le plus drôle est celui du célèbre site suédois de partage de fichiers « The Pirate Bay ». Il y avait une page où étaient affichés les menaces proférées par des avocats américains pour avoir violé une loi américaine, ainsi que leurs propres réponses. Les lettres et les réponses étaient hilarantes, les lettres pour leur dissociation totale de la réalité et les réponses pour leur grossièreté éloquente.
L'UE a franchi une nouvelle étape dans ce domaine. Le premier signe en a été le soi-disant « paquet énergie » de Bruxelles, qui exigeait essentiellement le démantèlement et le contrôle indirect de Gazprom. Il est probable que certains à Bruxelles étaient suffisamment délirants pour croire que leur délire réglementaire serait accepté par les Russes, entre tous.
L’UE n’a pas arrêté de mettre en place un ensemble de réglementations ESG extrêmement oppressives pour les entreprises européennes afin de surveiller et de contrôler l’ensemble de leurs chaînes logistiques. Bien entendu, un objectif secondaire est de créer de nouvelles hordes de vampires bureaucratiques pour gérer tout cela – payés par les entreprises elles-mêmes.
Ce cauchemar réglementaire s’applique également aux chaînes logistiques situées en dehors de l’UE – et aux entreprises non européennes si elles ont des activités au sein de l’UE.
Les entreprises étrangères qui importent des marchandises en Europe et/ou y opèrent devront A) mettre en place des bureaucraties géantes pour se conformer aux réglementations de l’UE et B) payer des amendes en cas de violation, qui représentent un pourcentage (5 %) de leurs "opérations mondiales" .
Le véritable objectif de ces réglementations (outre l’extorsion) est de prendre le plus de contrôle possible sur les chaînes logistiques et les ressources hors UE et de créer des pools de vampires sympathisants de l’UE en dehors de l’UE.
Cette tentative de régulation du monde entier a rencontré des difficultés, car le ministre de l’Energie du Qatar a carrément menacé de cesser de vendre du gaz naturel à l’Europe – qui représente actuellement 5 % du gaz importé. Il est probable que d’autres exportateurs d’énergie suivront et se ligueront contre l’UE.
Face à de telles prises de pouvoir réglementaires insensées, le monde est de plus en plus susceptible de considérer que le marché de l’UE n’en vaut pas la peine. Il ne serait en fait pas surprenant que des pays non-membres de l’UE établissent leur propre cadre réglementaire pour se défendre contre cette ingérence, ce qui aurait pour conséquence d’accroître l’isolement économique de l’UE. C’est ce qu’ils devraient faire de toute façon.
Interférence ouverte
L’une des caractéristiques des dirigeants européens est leur manque total de conscience de soi. Ils croient qu’ils peuvent tout faire sans avoir à subir de conséquences.
Nulle part cette ingérence éhontée dans les affaires intérieures d’autres pays n’est mieux démontrée. Lors de la tentative de révolution financée par l’UE et l’USAID en Géorgie, des politiciens européens ont participé aux manifestations.
De même, le « gouvernement » Starmer au Royaume-Uni a envoyé une "force d’intervention" de 100 personnes pour aider Kamala Harris lors des élections présidentielles américaines.
Il existe de nombreux autres exemples de ce type.
Le principal problème de ce comportement est qu’il humilie les pays concernés et témoigne d’un manque de respect extrême. L’ingérence secrète est une chose, mais l’ingérence ouverte est tout autre chose. Peu de choses sont plus motivantes que l’humiliation et le manque de respect sur la scène internationale – et ce comportement aura des conséquences.
Ce comportement est d’autant plus extraordinaire que l’UE accuse constamment les autres d’interférer dans ses affaires internes, y compris dans ses élections.
La "double pensée" est un autre symptôme du narcissisme.
Réponses plus exacerbées
Les mauvais comportements et les influences culturelles toxiques peuvent être tolérés pendant longtemps tant que la partie fautive est forte.
C'était le cas lorsque les États-Unis étaient l'exécuteur désigné de la Cabale. Cependant, lorsque l'entité fautive est faible, les réponses peuvent devenir plus sévères.
Nous avons vu cela se produire ces deux ou trois dernières années. Les problèmes de l’Occident dans sa guerre contre la Russie ont été perçus comme une faiblesse par le monde non occidental.
Les États non occidentaux sont devenus plus confiants et plus loquaces.
Ils ont commencé à ignorer les mesures économiques coercitives prises par l’Occident et ont même commencé à purger leurs pays de toute influence occidentale. Cela a été particulièrement évident en Afrique, où l’UE et la France ont été expulsées de la région du Sahel. Cela n’aurait pas été possible sans la perception de la faiblesse de l’Occident et la force de la Russie et de la Chine pour l’appuyer.
Les Etats-Unis ayant quitté la zone d’influence occidentale contrôlée par la Cabale, ce qui restera sera perçu comme beaucoup plus faible qu'avant. Il est même possible que l'image du « méchant » que les Etats-Unis ont dans la plupart des pays non occidentaux se transpose à l'UE. Cela pourrait conduire à une position plus dure à l'égard de l'UE par le monde extérieur.
Il y a aussi un autre problème. L'UE étant de plus en plus perçue comme plus faible et comme le méchant, les projecteurs se braquent de plus en plus sur ses méfaits, qui ont jusqu'à présent été soigneusement cachés derrière ceux des États-Unis.
L'agression de l'UE contre des États étrangers pourrait devenir plus visible, ce qui donnerait lieu à des mesures qui n'étaient pas possibles auparavant.
Nous en avons déjà un exemple :
Récemment, le président du Congo a proposé aux États-Unis un accès aux minerais, apparemment en échange de la protection des États-Unis contre une invasion par procuration du Rwanda.
Des « rebelles » parrainés par le Rwanda ont envahi le Congo pour s’emparer de ses richesses minières. Cette information a été occultée et cachée par les médias occidentaux – et pour une bonne raison.
La situation au Congo est la suivante : le Rwanda est un État mandataire de l'UE et du Royaume-Uni, où l'UE a conclu un accord important pour obtenir des minéraux essentiels.
Certains de ces minéraux semblent en fait provenir (volés) du Congo.
Pour le dire franchement, l'UE et le Royaume-Uni ont lancé une invasion par procuration du Congo pour ses minéraux, et le président du Congo a demandé l'aide des États-Unis – contre l'UE et la Grande-Bretagne.
Il n’est pas nécessaire d’expliquer davantage l’importance de cette proposition et pourquoi elle est totalement occultée dans les médias européens. Il est clair que cette offre n’aurait jamais été faite sans le changement de position internationale des États-Unis.
Trump viendra-t-il à la rescousse des agressés par la Grande-Bretagne et l’UE, et parviendra-t-il à un accord sur les minéraux du Congo ? Cela reste à voir.
On peut imaginer sans crainte que cette situation marque le début d’une nouvelle tendance…
Le risque d'escalade
L’escalade des réactions du monde non occidental conduisant à un isolement accru de l’UE n’est peut-être pas le pire scénario pour l’UE.
Que se passerait-il si deux des trois superpuissances décidaient tout simplement de s’en prendre à l’UE ? Que se passerait-il si la Russie et les États-Unis décidaient que l’UE est une entité qui ne peut être tolérée sur la planète ?
Cela peut paraître fantaisiste, mais ce n'est pas totalement impossible. En fait, certains signes laissent penser que cela pourrait se produire. Voici pourquoi :
Pour que des mesures drastiques soient prises, l’UE doit être perçue par les autres comme une menace existentielle. Jusqu’à présent, l’UE a réussi à paraître inoffensive en se cachant derrière les États-Unis et en se camouflant derrière de fausses vertus comme la démocratie, les « droits de l’homme » (un euphémisme) et l’environnementalisme.
Cependant, derrière ce camouflage se cache une entité complètement différente. Si la majeure partie de la population mondiale ne voit pas à travers ce camouflage, l’administration américaine, les Russes, les Chinois, les Indiens, les Africains et bien d’autres le perçoivent clairement.
Ce qu’ils voient, c’est une entité qui est maintenant le centre de la Cabale mondialiste de Davos qui a cherché à dominer le monde.
Cette Cabale a essayé de soumettre la Russie avec la guerre en Ukraine, organisée par l’OTAN, sous l’égide des Démocrates américains, entraînant la mort de plus d’un million de Slaves.
Pour maintenir son contrôle sur les États-Unis, cette Cabale a essayé de mettre le président Trump en prison et (probablement) a essayé de l’assassiner non pas une, mais deux fois.
Les guerres et les assassinats constituent une menace existentielle, et l’UE est désormais perçue par ces pays comme le centre de cette menace.
Cette perception de l’UE gagne du terrain partout dans le monde. Elle influencera la manière dont les pays clés décideront du sort de l’UE.
Si d’autres pays, notamment les États-Unis et la Russie, décident de s’en prendre à l’UE, ils ont plusieurs solutions :
Certaines de ces mesures sont déjà envisagées – faites-en ce que vous voulez. Les possibilités sont infinies et une guerre n’est pas nécessaire pour écraser l’UE. La seule question est de savoir si les États-Unis décideront de le faire.
En attendant, Madame est à Milan, à la fashion week... Pas de quoi s'inquiéter.