• U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit - 1ère partie.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit...Beaucoup se posent des questions sur la progression fulgurante, ces 20 dernières années, de l’Islam en Europe, lequel se (re)trouve, majoritairement, au cœur de toutes les polémiques relatives à l’insécurité, aux exactions multiples et variées commises sur nos concitoyens, et aux attentats toujours revendiqués…

     L’histoire du contrat entre l’OCI (Organisation de coopération islamique) qui regroupe 57 états et l’Union Européenne (U.E.) a été volontairement occultée par les gouvernements successifs des 9 états européens responsables, en particulier (au départ) la Belgique, la France, l’Italie et les Pays-Bas…

    Voici la genèse de cette histoire qui commence en 1973, date fondamentale dans le déroulement des évènements, de cette époque jusqu’à nos jours.

    La guerre de Kippour (6-25 octobre 1973) entre, d’un côté, Israël et, de l’autre, plusieurs pays arabes menés par l’Égypte et la Syriejoue le rôle de catalyseur.

    Pour peser sur le conflit, les exportateurs d’or noir du Proche-Orient décident alors trois mesures essentielles : 

    1.    une augmentation de 70 % du prix du baril ;

    2.    une réduction de 5 % de leur production ;

    3.    un embargo à l’encontre des pays jugés « ennemis » car soutenant directement Israël par le biais de livraisons d’armes, cette dernière mesure frappant essentiellement les États-Unis et les Pays-Bas.

    Cette mesure est assortie d'un embargo sur les livraisons de pétrole contre les Etats qui soutiennent Israël. Manifestement pris de court, les délégués des pays producteurs ne sont pas parvenus à taire leurs divisions. Un projet, présenté par l'Irak, prévoyant, notamment, la nationalisation immédiate de tous les intérêts américains dans le monde arabe, le retrait des fonds arabes placés dans les banques américaines. Finalement, la rupture des relations diplomatiques avec Washington, est ainsi écartée. L'un des plus ardents opposants à ce plan n'est autre que le représentant de l'Arabie saoudite, un homme connu de toutes les compagnies pétrolières occidentales et qui tient directement ses instructions du roi Fayçal d'Arabie : cheikh Yamani.

    Ce dernier privilégie une approche pragmatique, préférant des prises de participations progressives à une nationalisation pure et simple qui obligerait les Saoudiens à gérer les champs pétrolifères alors qu'ils n'ont encore aucune compétence pour le faire.

    Si Cheikh Yamani pousse, en revanche, à l'adoption d'un embargo et à la baisse progressive de la production, c'est en grande partie parce que Fayçal n'est pas parvenu à convaincre les Américains de faire pression sur Israël pour que Tsahal cesse son offensive. Reçue à Washington le 16 octobre 1973, la délégation ministérielle conduite par le ministre saoudien des Affaires étrangères s'est vu opposer une fin de non-recevoir. Résultat : l'Arabie saoudite et l'Algérie annoncent dans la foulée qu'elles réduisent leur production, non pas, de 5 mais de 10 %. Proportion qui est portée à 25 % un mois plus tard par l'ensemble des pays arabes membres de l'OPEP. Fin du premier acte.

    Le deuxième s'ouvre le 22 décembre 1973 à l'hôtel Intercontinental de Téhéran où les représentants de l'OPEP se sont donné rendez-vous.

     Entre-temps, l'embargo décrété en octobre et les mesures de baisse de la production ont eu pour effet de provoquer une hausse rapide des prix du baril. Quelques jours plus tôt, une cargaison de brut iranien a atteint le prix de 17 dollars. Une autre, venue du Nigeria, a été offerte sur le marché spot au prix incroyable de 26 dollars ! Du jamais-vu alors que le baril est passé, entre 1946 et 1972, de 1,63 à 3,60 dollars et qu'il se situe, depuis le mois d'octobre 1973, un peu au-dessus de 5 dollars ! Ce jour-là à Téhéran, dans une atmosphère que l'envolée des cours a rendue électrique, les membres de l'OPEP se retrouvent pour arrêter le prix officiel du baril de pétrole. Cette réunion va dévoiler une nouvelle ligne de fracture au sein de l'Organisation : celle qui oppose l'Arabie saoudite, emmenée par cheikh Yamani, à l'Iran, dont le représentant est Jamshid Amouzegar. 

    Jamshid Amouzegar n'a cependant pas la même liberté d'action que cheikh Yamani. Depuis toujours, le souverain iranien tient à suivre lui-même les affaires pétrolières. Comme le président de la société nationale iranienne de pétrole, Jamshid Amouzegar n'est en fait qu'un simple exécutant. Ses instructions, en l'espèce, sont des plus claires : il doit obtenir une hausse substantielle du prix du baril et, ce, même si elle doit susciter l'ire de Washington, son principal allié et son premier fournisseur d'armes. C'est que le chah d'Iran a de grandes ambitions pour son pays, qu'il a entrepris de moderniser à marche forcée.  Avec 20 % des réserves de l'OPEP, l'Iran est le deuxième producteur de pétrole de l'Organisation, juste derrière l'Arabie saoudite. Un baril à 5 dollars est cependant insuffisant pour alimenter son budget. Il lui faut obtenir un prix beaucoup plus élevé...

    Riyad s'inquiète, en effet, des ambitions de l'Iran - dont la majorité de la population est chiite -, qui pourrait, avec l'argent du pétrole, asseoir sa domination sur l'ensemble du Golfe.

    Il s'inquiète, également, des conséquences d'un relèvement trop brutal des prix du pétrole sur les économies occidentales, voire sur la stabilité de certains pays européens comme l'Italie, qu'une crise économique pourrait faire basculer dans le camp communiste. Il s'inquiète, enfin, pour sa relation avec Washington. Pour toutes ces raisons, l'Arabie saoudite plaide pour un baril à 8 dollars. Un prix bien plus bas que celui proposé par l'Iran : 17,04 dollars. Il faudra des heures de discussions et de conciliabules pour parvenir à un compromis : 11,65 dollars, soit une hausse de près de 130 %

    Le chah, tout à son projet de « Grande Civilisation » iranienne, ne cesse d'œuvrer pour tirer encore à la hausse les cours du baril. Avec un incontestable succès : les augmentations se succèdent tout au long de l'année 1974 et encore en 1975. Elles représentent au total un quadruplement du prix du baril depuis octobre 1973 et provoquent de nouvelles tensions avec l'Arabie saoudite.

    Lors de discussions avec l'ambassadeur des Etats-Unis, cheikh Yamani presse, lui-même, les Etats-Unis de faire pression sur l'Iran. A Riyad, on ne craint plus seulement une possible hégémonie iranienne : on commence à s'inquiéter des effets pervers qu'une hausse continue des cours pourrait provoquer en Arabie saoudite : des revendications sur le partage de la manne pétrolière débouchant elles-mêmes sur de graves tensions sociales. « Votre soutien à l'Iran est incompréhensible », explique, en août 1975, cheikh Yamani à l'ambassadeur des Etats-Unis en Arabie saoudite. « Vous savez très bien que le chah est un mégalomane mentalement instable. »

    En novembre 1977, le chah d'Iran se rend à Washington pour une visite d'Etat. Le souverain est venu quémander de nouvelles armes à son allié américain.

     Au fil des discussions, Jimmy Carter dénonce « l'impact punitif » des hausses du cours du pétrole sur les économies industrialisées et appelle à une «  pause».  Appel entendu. Dans les semaines qui suivent, l'Iran rejoint le camp de la modération représentée par l'Arabie saoudite. A la fin de l'année 1977, les cours se sont stabilisés à 12,70 dollars. La hausse est stoppée. Du moins provisoirement. Deux ans plus tard, en 1979, la chute du chah allait provoquer un nouveau choc pétrolier

    Pendant le premier embargo, d’autres négociations ont été menées, avec les pays occidentaux, qui s’apparentaient plutôt à un chantage, ils nous ont imposé des conditions. "Nous (les chefs d’Etat et de Gouvernement, les ministres des Affaires étrangères) sommes allés à la table des négociations avec eux et, nous avons tout accepté". Avec les accords qui ont suivi juste après, le 6 novembre 1973, les 9 pays de la communauté européenne de l’époque ont basculé dans le camp pro-arabe avec ses conséquences :

    ·            * Reconnaissance du peuple palestinien

    ·             * Adoption de la dimension narrative arabe concernant Israël, entre autres pour commencer, qui seront repris dans la Résolution de Strasbourg (1975)

    Ce document se focalise principalement sur le retrait d'Israël des territoires occupés et, marque son désir de régler le conflit en faisant bon accueil aux demandes arabes, sous la pression du chantage de l’OPEP.

     Mais les signataires en profitent pour y ajouter un paragraphe important relatif à la demande de main-d'œuvre maghrébines des pays européens et, imposer les demandes des pays arabes en faveur des communautés de travailleurs musulmans, dont voici quelques passages significatifs :

    ·         « L’Association parlementaire pour la Coopération euro-arabe (APCEA) demande aux gouvernements européens de prendre des mesures spéciales pour assurer la libre circulation des travailleurs arabes qui émigrent en Europe ; ces droits doivent être équivalents à ceux des citoyens nationaux.

    ·         Les pays d’accueil doivent reconnaître "la contribution historique de la culture arabe au développement européen" !  

    ·         « Ils regrettent » la négligence de l’enseignement de la culture arabe et de l’arabe en Europe.  

    ·          "Ainsi, les gouvernements européens aideront les pays arabes à créer les ressources nécessaires pour que les travailleurs immigrés et leurs familles puissent préserver leur culture et leurs pratiques religieuses".  

    ·         « Appelle les gouvernements des Neuf à aborder l’aspect culturel du dialogue euro-arabe (DEA) dans un esprit constructif en donnant une plus grande priorité à la diffusion de la culture arabe en Europe »… 

    Enfin, sous la présidence de V. Giscard d’Estaing (Chirac est 1er ministre), le décret du 29 avril 1976 met en place le droit au regroupement familial.              Ce décret réglemente les conditions par lesquelles un travailleur étranger séjournant régulièrement en France peut être rejoint par les membres de sa famille, sous plusieurs conditions (durée de résidence, ressources, logement, ordre public, santé). Alors que jusque-là les travailleurs maghrébins rejoignaient leur foyer dans leur pays dès la fin de leur contrat de travail.

    Ce décret qui a ouvert durablement les vannes de l’immigration musulmane de masse en France ; il est l’une des conséquences directes de la Résolution de Strasbourg. Cette résolution a été adoptée à l’unanimité par les pays arabes et par l’Assemblée générale de l’Association parlementaire de la Coopération euro-arabe, soit plus de 200 représentants de tous les partis politiques européens. 

    Ce document existe dans le fascicule n°2 d’Eurabia, publié à Paris. Il reproduit les Résolutions de l’Association Parlementaire pour la Coopération Euro-Arabe, l’APCEA votées à l’unanimité à Strasbourg les 7-8 juin 1975.                  

    Ce document représente, pour ainsi dire, le logiciel de la transformation de l’Europe.  Et, toutes les demandes de l’APCEA adressées aux gouvernements européens ont toutes été appliquées !   

    Lucien Bitterlin fut le directeur de cette publication et son rédacteur en chef était Robert Swann, premier secrétaire-général de l’APCEA.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit - 1ère partie.La revue Eurabia était éditée par le Comité Européen des Associations d’Amitié avec le Monde arabe et réalisée avec la collaboration de : Middle East International (Londres), France-Pays Arabes (Paris), et le Groupe d’Etudes sur le Moyen-Orient (Genève). 

    Des personnalités politiques marquantes, le nom d’organisations connues avec leurs adresses, les documents irréfutables, démontrent à l’évidence qu’Eurabia relève d’une stratégie issue d’« une volonté politique conjointe » comme l’affirme l’éditorial du n°2 d’Eurabia.

    Sur le site de l’APCEA on pouvait lire : « La première réunion de ce Dialogue s'est tenue en septembre 1974 à Damas. Elles ont depuis acquis une régularité quasi annuelle* et se déroulent alternativement en Europe et dans le Monde Arabe »

    La dernière réunion s’est tenue à Damas en 1998.

    L’APCEA fonctionnait à l’intérieur d’un large système d’alliances et de coopérations des neuf Etats de la Communauté européenne et des pays de la Ligue arabe, appelé le Dialogue Euro-Arabe.

    L’APCEA était la cheville ouvrière du dispositif. Ce fut elle qui détermina toute la structure de l’Europe actuelle, cette Eurabia vers laquelle elle tendait.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit - 1ère partie.Bien que ce dialogue ait couvert des domaines considérables : politique, culturel, économique, stratégique et l’immigration, son fondement demeurait le remplacement d’Israël par la Palestine et la délégitimation, la criminalisation et l’incitation à la haine de l’Etat hébreu, antichambre de son extermination attendue.

    Ce sont bien les Européens qui ont réclamé l’accès à un « vivier » de main-d’œuvre musulmane et, la Belgique, la France et le Luxembourg ont été trois éléments moteurs de l’ensemble du dispositif…

    A ce stade-là des négociations, les pays musulmans ont imposé leurs conditions : 

    Il y a eu toute une série d 'exigences posées et bien précisées aux pays occidentaux,  leur demandant de veiller à ce que les populations accueillantes parlent positivement de l 'islam, à ce que les musulmans puissant pratiquer leur religion sereinement et, surtout, à ce qu’ils bénéficient d’une égalité de traitement identique à celle des populations françaises et européennes en general…

    Il n’est pas de question pour les musulmans d 'être des citoyens de seconde zone.

    L’égalité des droits (logement, travail, santé notamment) est la pierre angulaire de toute l’immigration musulmane, parce que, dans la mentalité islamique, le musulman domine et n 'est pas dominé, et il n 'est pas acceptable qu’ils soient considéré  comme des “sous-citoyens”,  ils doivent donc pouvoir vivre chez nous comme chez eux.

     Il y a donc eu une déclaration, qui a été adoptée, mais qui n’avait pas un caractère législatif.  Mais il ne fallait pas négliger sa portée. Dans l’espace diplomatique, il y a très souvent, des déclarations d 'intention qui précèdent les mesures législatives.

    À cette époque, il y avait déjà des exigences de contrôle  des médias en général sur l'image de l'islam. C'est un souci constant de l 'OCI de contrôler l'image de l'islam en l 'Occident.. 

    Pour les autorités religieuses musulmanes, si les Occidentaux disent du mal ou pensent du mal de l 'islam, c'est qu 'ils ne comprennent pas ce qu’est véritablement l'islam. D’où leur volonté de “rééduquer” les Occidentaux car l'islam, est un système qui fonctionne différemment des systèmes religieux occidentaux. Alors que beaucoup d’entre nous ont eu le sentiment que la religion musulmanne c’est un petit peu comme chez nous mais avec quelques variantes…

      l’Islam est un système politico-religieux qui a ses caractéristiques propres et des objectifs précis :

    1. une organisation sociale, un formatage sociétal, et une dimension politique qui est absolument incontournable dans cette religiion.
    2. une idéologie caractéristique au même titre que le communisme, et  tous les suffixes en isme.
    3. En résumé, une idéologie inchangée depuis la fondation de l’Islam qui fonctionne sur un mode collectiviste et s’impose à toute la société, sans exception et sans nuance.

    On ne le dira jamais assez : le but de l’Islam est que l’ensemble de la société, sans exception, soit islamisé. L’islam ne se satisfait pas de vivre côte à côte  ou, avec les populations autochtones, mais les les absorber, de les soumettre à la loi islamique, à la Charia et, que toute la société soit enfin formatée par les règles et les prescriptions de la Charia.

    En réalité, l 'islam est un système totalitaire, qui incorpore l'intégralité de la vie des individus avec une codification précise des relations entre les personnes.

    A l’inverse des systèmes occidentaux, où la souveraineté réside dans la nation (le peuple). La nation élit des représentants, ces représentants incarnent la volonté de la nation, et la volonté de la nation est  créatrice des lois.

    Or, dans le système islamique, la volonté de l 'organisation de la société relève de Dieu, uniquement. Et, ce n’est pas négociable…

    Par exemple : les systèmes occidentaux sont indéfectiblement attachés aux libertés individuelles, aux droits de l’homme, à l’égalité homme-femme, à la liberté d’expression, à la liberté d’aller et de venir, à la liberté de religion…

    Dans la Charia, toutes les valeurs précitées sont incompatibles et quitter l’Islam est puni de mort… C’est un système qui, dans sa doctrine, légitime l'usage de la violence, légitime l 'usage de l'agression, légitime l'esclavage contre les non-musulmans…

    En résumé, toutes les règles et obligations qui découlent de la Charia violent et renient l’ensemble de nos libertés fondamentales… Elles sont incompatibles avec notre culture, notre Constitution et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. 

    Le processus de Barcelone : le partenariat EUROMED

    La conférence de Barcelone s’est tenue du 27 au 28 novembre 1995 et réunissait les 15 ministres des Affaires étrangères des États membres de l’UE et des douze pays tiers méditerranéens suivants :

    Algérie, Chypre, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Malte, Maroc, Syrie, Tunisie, Turquie et Autorité palestinienne.

    Cette conférence a posé les fondements d’un processus visant à atteindre un cadre multilatéral de dialogue et de coopération entre l'UE et les pays tiers méditerranéens, qui ont adopté conjointement une déclaration et un programme de travail dont le but était de « développer les ressources humaines, à travers un volet économique et financier dans un espace commun tout en favorisant la compréhension entre les cultures et les échanges entre les sociétés civiles ». 

    Cette conférence est la mise en application d’une fusion entre les pays des deux rives de la Méditerranée, débarrassés de frontières, telle que le président Macron ne cesse d’en faire la promotion, qui a promis pour ce faire, à plusieurs reprises durant sa campagne électorale et depuis qu’il est élu, de créer les structures ad hoc et de débloquer les moyens financiers nécessaires. C'est donc lui qui va mettre la dernière pierre à cette construction qui condamne à mort notre culture et notre civilisation.

    Autant de réalisations qui étaient en gestation dans la Résolution de Strasbourg en 1975. 

    La Conférence de Barcelone (1995) sera aussi l’occasion de préciser à nouveau les règles relatives aux conditions d’accueil des « nouveaux arrivants » dans un souci permanent de tout planifier en parfaite cohérence avec la doctrine islamique, notamment :

    1. 1)    Une égalité totale de traitement entre les populations immigrés et les populations autochtones des « pays d’accueil » en ce qui concerne les droits sociaux, le droit au logement, le droit à l’emploi, les droits politiques.
    2. 2)    Les populations immigrées ne vont pas venir chez vous pour devenir comme vous : « elles devront rester ce qu’elles sont grâce à l’organisation garantie de leur accompagnement par les autorités religieuses musulmanes ». En résumé, ni intégration, ni assimilation.
    3. 3)    L’obligation pour les « pays d’accueil » d’introduire plus efficacement dans la société, via les médias, les associations etc., un narratif positif sur l’Islam : reconnaître qu’il est une partie constitutive de leur culture »…

    De V. Giscard d’Estaing qui s’est empressé de mettre en œuvre le regroupement familial ; à F. Mitterrand qui a pris soin d’organiser le financement de toutes les associations pour l’accompagnement des immigrés et la reconnaissance de leurs droits de recours pour l’obtention de leur titre de séjour ; à J. Chirac qui va veiller à peaufiner la mise en œuvre du discours officiel dans les médias, puis N. Sarkozy qui s’appliquera à maintenir la « mise en place d’une synergie culturelle entre l’Occident et le monde arabe », à F. Hollande qui peaufinera la mise en place des centres culturels musulmans initiés par N.Sarkozy et veillera à faciliter les arrivées de migrants via les bateaux des ONG, jusqu’à E. Macron et ses « contrats territoriaux d’accueil et d’intégration », tous ont en commun un même zèle pour organiser ce que certains appellent  le « grand remplacement »… Sans état d’âme et dans la plus parfaite indifférence, tous ont trahi le peuple qui les a portés au pouvoir…  Tous ont gouverné contre le peuple.

    Maintenant, on aimerait connaître le montant des récompenses reçues en remerciement de leur renoncement, le prix de leur collaboration et de leur lâcheté... 

    Rappelez-vous d’Alain Juppé, surnommé à Bordeaux « Ali Juppé » après sa déclaration, sur Europe 1, le 9 décembre 2009 :

    « Est-ce que la France, est-ce que la République française est islamo-compatible ou pas ? «  Et pour le maire de Bordeaux : « La réponse est "évidemment oui ».

     Mais ils ont tout prévu ! Le crime de "haute trahison" n'existe plus dans le code pénal, il a été abrogé le 1er mars 1994 !

     Les dernières condamnations datent de 1945 pour : Philippe Pétain, Charles Maurras et Pierre Laval. Et, de 1946/47 pour Paul Touvier.

    Depuis lors, La loi constitutionnelle du 23 février 2007 est venue, fort opportunément, protéger le président de la République : Avant 2007, le président de la République n’était "responsable des actes commis dans l’exercice de ses fonctions qu’en cas de haute trahison"...

     

     A suivre...  2e partieLa « Stratégie culturelle islamique pour l'extérieur du monde islamique ».

     

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