• U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée - 2ème partie

    Cet article s'appuie, pour les deux premiers paragraphes, sur les travaux de recherche d'Alain Wagner, président de l'ICLA et de l'UDCC - Expert et conseiller en stratégie sociétale - Auteur de nombreux rapports auprès des services de renseignement français.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée - 2ème partieLa « Stratégie culturelle islamique pour l'extérieur du monde islamique ».  

    C’est le titre du document qui définit précisément la stratégie officielle de l’OCI* ( Organisation de la Coopération Islamique), qui est  l'équivalent de l'ONU version islamique. L’OCI est la deuxième plus grosse organisation internationale du monde, elle regroupe tous les pays musulmans.

    Vous pouvez accéder au site de l'OCI, en cliquant sur le lien ci-après :

    ·         http://www.oic-oci.org/oicv3/home/?lan=fr 

    Le plus haut niveau décisionnel de cette organisation islamique, est le sommet qui regroupe les chefs d'Etat. Le 9ème sommet de l’OCI s’est tenu à Doha, au Qatar, en 2000, où a été adopté la « Stratégie culturelle islamique pour l'extérieur du monde islamique » qui concerne particulièrement l’Europe.

    Vous pouvez trouver ce document en téléchargement et le lire sur le site de l’ISESCO. « Pour savoir ce qu’est l’ISECO, imaginez l’OCI comme un gouvernement,  l’ISESCO, c’est le ministère de la culture, de l'Éducation et de de la communication de l’OCI ».

    ils ont leur siège à Rabbat, Maroc, dans un bâtiment luxueux.

    Ce document existe en français, en arabe et en anglais qui sont les langues officielles de l’OCI.

    Mais, il y a quelques petites différences linguistiques entre les trois versions qui sont des documents officiels.

    Ce document, que vous pouvez télécharger en français à partir du lien ci-après, décline le mode d’action de l’OCI pour les années qui viennent.

    Télécharger « 2000 Stratégie de L'ACTION ISLAMIQUE CULTURELLE .pdf » 

    Ce mode d'action, résumé succinctement, consiste à :   

    ·         « implanter des communautés islamiques civilisationnellement différentes de l'Occident, qui fonctionnent selon les règles de la charia et qui ont pour vocation de prendre les postes-clefs aux niveaux économiques, politiques et communicationnels dans les pays hôtes ».

    Nous sommes les pays hôtes. Il faut savoir que la mise-en-œuvre de cette stratégie précisée dans le document s’appuie sur les centres culturels, les mosquées, les écoles islamiques.

    dans chaque mosquée, il y a des salles de classe. Cela relève d’un processus éducatif parallèle établi dans ce même document qui a nécessité 9 ans de préparation. Pour ce faire, ils ont sillonné toute la France, ils le mentionnent d’ailleurs dans le prologue de ce document.

    Les organisations européennes ont également participé à l’élaboration de ce plan, c’est-à-dire des gens qu’on a chez nous. 

    Les centres culturels en Europe sont financés par les États, par le contribuable. 

    Ils ont fait leurs consultations avec les responsables des centres culturels et les organisations islamiques de toute l’Europe.

    Les organisations islamiques européennes ont porté réclamation à l’OCI parce qu’ils constataient qu’il y avait des signes d’assimilation des enfants musulmans dans les sociétés occidentales. De ce fait ils ont mis en place un système qui vise, selon leurs propres mots, à « immuniser les enfants contre l'invasion culturelle. » Ainsi, un enfant musulman qui va dans une école occidentale est considéré comme subissant « une aliénation » et une « invasion culturelle ».

    Un autre objectif fondamental et nécessaire, fait l’objet de réclamations récurrente auprès de l’OCI : l’enseignement de la langue arabe, pour tous les enfants, dès l’école primaire, au même titre que le français et l’anglais. 

    Vous savez maintenant qu’un ministre de l’Education nationale, qui proposerait de généraliser cet enseignement de la langue arabe dès l’école primaire, agirait comme un agent de l’OCI, en charge de l’accomplissement de cette « stratégie culturelle ».

    L'ISESCO EST UN AVATAR DES FRÈRES MUSULMANS

    Dans le document anglais il y a un mot très intéressant, « setelment », qui veut dire à la fois, « implantation » mais aussi « colonie ».

    Le texte anglais est très intéressant parce qu’il mentionne explicitement comme traduction de l’oumma (communauté des croyants), le terme de « nation islamique » .

    Ce document est une bombe politique à retardement parce que, majoritairement, il reste inconnu du peuple français et des peuples européens en général..

    Le gouvernement Hollande a agi en parfaite coopération avec l’OCI pour la mise en place de cette stratégie dans notre propre pays. C'est-à-dire que nous avons ouvert objectivement, et en grand, les portes de notre pays à un processus de colonisation. 

    Le gouvernement Macron va ainsi parachever et conforter tout le processus mis en œuvre par ses prédécesseurs.

    L'ISESCO EST UN AVATAR DES FRÈRES MUSULMANS

    La stratégie de conquête mondiale des organisations affiliées aux Frères musulmans est évolutive.

    Voici ce qu’a écrit Alexandre del Valle – Géopolitologue, consultant, à ce sujet :

    « Le modus operandi consiste à prendre le contrôle du pouvoir suprême par la constitution d’un vaste réseau décentralisé, puis la création de multiples sections cloisonnées qui maillent toute la société, puis par l’infiltration et l’entrisme dans l’enseignement, les ordres de médecins, d’avocats, les banques et institutions financières, les syndicats, les centres hospitaliers, les tribunaux et les partis politiques et médias ».  

    « Le savoir, c’est le pouvoir ». Et le savoir passe par l’entrisme dans les petites écoles, les lycées, les universités et les médias. L’accès final au pouvoir passe logiquement par des alliances pragmatiques avec des partis politiques plus classiques et la subversion de valeurs démocratiques, au niveau local, communal, régional, national, en dehors des pays musulmans

    Dans cette nouvelle configuration stratégique « évolutive » des Ikhwan (frères), trois hommes ont joué ces dernières années un rôle fondamental dans la modification du schéma opérationnel et organisationnel de La Confrérie

    Ce trio, appuyé par la Turquie et le Qatar, a théorisé la nouvelle stratégie globale de conquête du monde arabo-musulman et de l’Europe par les Frères ainsi que la cartographie de l’organisation ». Alexandre del Valle – Géopolitologue, consultant

    Ce fameux trio est composé du Qatari Jassim Sultan, de feu le Saoudien Jamal Khashoggi et du Palestinien naturalisé britannique Azzam Tamimi, trois personnages centraux dans la nouvelle configuration stratégique des Frères au niveau régional et mondial.

    Une vision de l’islam politique résolument opposée à celle des monarchies héréditaires pro-occidentales du Golfe qui privilégie non plus la voie jihadiste-guerrière inaugurée par Saiyyd Qutb, mais celle, démocratique, entriste, numérique, politico-démocratique et économique, « 2.0 » inaugurée à grande échelle pour la première fois lors des Printemps arabes, variante locale des fameuses « révolutions de couleurs » financées dans les années 2000 par les États-Unis et les ONG de Georges Soros. Pour ces trois penseurs, qui ont toutefois, comme Khashoggi et Tamimi, soutenu ou connu le jihad guerrier de près, l’objectif ultime des Frères (Califat universel), reste le même que celui de Sayyd Qutb, qu’à condition de renverser au préalable, de façon asymétrique, tous les régimes arabes dictatoriaux monarchiques ou sécularisés».

    Une nouvelle méthode :

    « ne veulent plus apparaître comme les tenants d’une structure uniforme, trop hiérarchisée, préférant se concentrer sur des éléments de langage et une communication adaptés aux pays dans lesquels se trouves leurs affidés. Ils sont persuadés que leur réussite passe désormais par leur implication dans le monde des entreprises, des médias, dans la politique, les ONG, les clubs associatifs »

     

    Beaucoup d’interrogations également concernant le rôle avéré du Qatar dans le financement du terrorisme dans le monde,  particulièrement en France et en Belgique, sans que nos politiques ne s’emparent du sujet, sans même que cela ne pose problème au plan diplomatique

    Le Qatar s’impose ainsi par les armes, la diplomatie, l’argent et/ou les médias, comme le sponsor principal de l’Islam politique et fondamentaliste en Europe. Sous Sarkozy comme avec Hollande, le richissime émirat dispose des mêmes facilités pour racheter des pans entiers de notre économie. En novembre 2013, l’ambassadeur du Qatar annonçait le projet de son pays d’investir 10 milliards d’euros dans des sociétés du CAC 40, sans que cela ne pose problème ni au Gouvernement ni à l’opposition ! 

    La puissance grandissante du Qatar en France semble stimulée par la "faiblesse" de nos responsables politiques, déboussolés par la crise mondiale et appâtés, parfois, par les largesses avérées de ce petit pays.

    Ami personnel de la famille de l'émir, Dominique de Villepin, aujourd'hui avocat d'affaires, a pour principal client le Qatar Luxury Group, fonds d'investissement personnel de la cheikha Mozah bint Nasser al-Missned.

    A droite, parmi les habitués de Doha, on trouve aussi Philippe Douste-Blazy, Rachida Dati ou Hervé Morin.

    Dans les milieux diplomatiques français, cette politique du «tout-Qatar» en agaçait certains, qui espéraient que François Hollande, réputé partisan d'un resserrement des liens avec l'Algérie, allait en quelque sorte «rééquilibrer» la politique française dans la région.

    Certes, François Hollande s'est rendu en Algérie le 19 décembre 2012. Mais il avait vu le Premier ministre de l'émirat, Hamad ben Jassem al-Thani, dans un palace parisien dès le début de l'année 2012.

    Les deux hommes s'étaient d'ailleurs déjà rencontrés une première fois en 2006, François Hollande le recevant en tant que premier secrétaire du PS. Depuis son élection, il l'a revu à deux reprises, et a accueilli l'émir Hamad ben Khalifa al-Thani à l'Elysée, le 22 août 2012. Un traitement privilégié.

    Autre signe de continuité, l'entrée d'investisseurs qataris au capital de France Télécom en juin 2012. Les gouvernements passent, mais les intérêts demeurent.

    Pour preuve :  l’incroyable convention fiscale entre les deux pays - une sacrée niche fiscale qui dispense un investisseur qatari de tout impôt sur les plus-values réalisées sur la revente de biens immobiliers en France -, qui avait été tant décriée par le PS (du temps de l'opposition), n'a pas été abrogée...

    Il faut dire que, même sous Sarkozy, les Qataris ont eu la prudence de créer ou de maintenir des liens solides avec la gauche française.

    L'ambassadeur du Qatar en France, Mohamed Jaham al-Kuwari, a préparé la transition politique de longue date en multipliant les contacts avec plusieurs dirigeants socialistes : Ségolène Royal, Laurent Fabius, Elisabeth Guigou, Jack Lang, Bertrand Delanoë, Martine Aubry, mais aussi Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, qui a séjourné à Doha en pleine campagne de la primaire socialiste, ou encore Manuel Valls, seul émissaire du candidat à avoir rencontré l'émir en décembre 2011.

    Dans les médias, le Qatar est devenu le pays des Bisounours. Comme dans l'émission « Un œil sur la planète», diffusée sur France 2 en 2022, le présentant comme " un nouvel eldorado, terre d'accueil de tous les ambitieux et les entrepreneurs". La coopération entre nos deux pays, faisait miroiter aux groupes français les 120 milliards mobilisés en vue de la Coupe du monde de football de 2022 soit autant de beaux contrats pour Bouygues, Vinci, Carrefour et quelques autres.

    Mais, il y a surtout la relation très particulière que le Qatar entretient avec l'islamisme politique. L'émirat a été, depuis quinze ans, le refuge de bien des activistes radicaux, tel Abassi Madani, l'ex-patron du FIS algérien. Le Hamas a déménagé ses bureaux de Damas à Doha, et les visites de l'émir à Gaza ne sont jamais passées inaperçues.
    La chaîne de télé Al-Jazeera qatarie s'est fait connaître en devenant le diffuseur exclusif des communiqués d'Al-Qaida, et certains ne manquent pas de souligner que Doha a été exempt de tout attentat terroriste. Exilé au Qatar depuis quarante ans, le plus célèbre prédicateur islamiste, Youssef al-Qardaoui, officie chaque semaine sur Al-Jazeera.
    L'homme a déclaré que « les opérations martyres sont l'arme que Dieu a donnée aux pauvres pour combattre les forts», et que, «tout au long de l'histoire, Allah a imposé aux juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. [...] C'était un châtiment divin. Si Allah le veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans ».

    Enfin, le Qatar finance partout et généreusement tous les acteurs politico-militaires salafistes, dont la branche la plus enragée des Frères musulmans, hostiles à la famille Al-Saoud et bien sûr au chiisme, mais aussi aux régimes "laïcs" et nationalistes arabes susceptibles de porter ombrage aux pétromonarchies.»
    Par ailleurs, les services français ont repéré une présence qatarie dans le nord du Mali, où sévissent des groupes jihadistes…

    Il apparaît que, partout, les Qataris soutiennent les Frères musulmans, qui constituent la principale force politique du printemps arabe. Et qu'Al-Jazeera est leur bras armé.

    Autre sujet d'inquiétude, l'activisme sportif des Qataris - Grand Prix de l'Arc de triomphe, achat du PSG, Mondial de handball (2015) et Coupe du monde de football (2022) - ne relève pas forcément d'un amour désintéressé du sport mais bien d'une stratégie délibérée de soft power.

    C'est d'ailleurs Nicolas Sarkozy, cumulant le rôle de superconsultant des Qataris avec celui de président de la République, qui aurait conseillé à l'émir de «passer par le sport» pour implanter Al-Jazira en France". D'où la création de la chaîne BeIN Sport, au risque de déstabiliser le système audiovisuel français, et notamment le financement du cinéma.

    Enfin, et c'est plus inquiétant, les Qataris manifestent un intérêt particulier pour les secteurs industriels sensibles et stratégiques.

    Cette inclination est d'abord apparue dans le dossier EADS. A la fin des années 90, l'émir sympathise avec Jean-Luc Lagardère, avec lequel il partage la passion des chevaux.
    Les deux couples sympathisent, Bethy Lagardère initiant la cheikha Mozah aux joies de la vie parisienne, tandis que les équipes Lagardère apportent à l'émir leurs conseils avisés dans l'audiovisuel lors de la création d'Al-Jazira. Avant même la mort de Jean-Luc Lagardère, en 2003, l'émir avait émis le vœu d'entrer au capital d'EADS.

    Mais Jean-Paul Gut, alors haut dirigeant d'Airbus, avait habilement orienté les Qataris vers une prise de participation dans le groupe Lagardère lui-même, ce qui était moins intéressant pour le Qatar mais répondait à l'inquiétude de l'héritier, Arnaud Lagardère, qui souhaitait s'assurer des alliés solides dans sa société holding. Mais, quand le groupe allemand Daimler a voulu vendre ses parts dans EADS, le Qatar s'est porté acquéreur, ce qui entraîna une vive réaction d'Angela Merkel aboutissant à un engagement de l'Etat allemand à la place de Daimler.

    Si les Qataris ont eu l'audace de se positionner sur des dossiers aussi sensibles, c'est que les liens entre la France et le Qatar sont anciens : 80 % de l'équipement militaire qatari est français et, pour l'anecdote, les 15 ha que la Direction générale de l'armement loue à Bagneux (Hauts-de-Seine) appartiennent à une banque qatarie...
    Autre indice de l'intérêt des Qataris pour les secteurs stratégiques, l'affaire Altis, une société de semi-conducteurs en difficulté que les Qataris voulaient acheter en 2009 pour créer une industrie similaire au Qatar. Mais Augustin de Romanet, alors patron de la Caisse des dépôts, a jugé le projet suspect, et le Fonds stratégique industriel s'est finalement substitué à l'émirat.
    Plus inquiétant, le jeu de poker menteur autour d'Areva : il s'en est fallu de peu que l'émirat mette la main sur les mines d'uranium du groupe nucléaire!

    A la manœuvre, l'ancien secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, l'intermédiaire de choc Alexandre Djouhri, Henri Proglio, le PDG d'EDF, et François Roussely, du Crédit suisse - une des banques conseil en France des Qataris avec la banque Rothschild.

    Autres questions 

    • Comment se fait-il que le Qatar par exemple qui est très fortement soupçonné de financer le terrorisme sur la planète puisse financer également l’Islam en France ou en Belgique sans que les liens diplomatiques n’en soient fragilisés ? 
    • Comme se fait-il que récemment des docteurs en religion saoudiens aient la possibilité d’émettre des fatwas en France dans un organisme reconnu proche des frères musulmans ?
    • Pourquoi depuis le début du conflit en Syrie le Qatar n’a accepté aucun réfugié alors qu’ils arrivent par milliers en Europe ? 

    Le mot de la fin à Alain Wagner : 

    "Pour avoir des éléments de réponses précis et détaillés, je ne peux que vous inviter à relire ce sujet, pour savoir pourquoi tout ceci a été rendu possible, sachez que tout était organisé, et que c’est une volonté politique qui se cache derrière tout cela.

    Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que l’islamisation organisée de l’Europe est dans la ligné du plan Kalergi, difficile de faire l’impasse sur l’origine de tout cela.

    Deux parties entrent alors en jeu, l’Union Européenne avec le « Cadre commun pour l’intégration des ressortissants de pays tiers« , un pays tiers se définissant comme « tout pays autre que ceux faisant partie des pays participant au Programme» ,

    et l’OCI qui est « l’Organisation de la coopération islamique« , qui de son côté explique la stratégie appliquée pour s’étendre en Europe avec le document « Stratégie de l’action islamique culturelle à l’extérieur du monde islamique»

     Invasion pensée et voulue : lien vers le rapport final de stratégie d’islamisation de l’Europe évoqué par Alain Wagner:

    http://www.isesco.org.ma/fr/wp-content/uploads/sites/2/2015/05/Strat%C3%A9gieExtVFLR1.pdf

    Si le document venait à disparaître voici un lien de récupération:
    http://europe-israel.org/wp-content/uploads/2016/10/StratégieExtVFLR1.pdf

     

    Maintenant, vous savez tout !

     Si l’Islam radical fait de plus en plus de bruit en Europe, si certaines mosquées sont reconnues comme ayant abrité des djihadistes, si des attentats ont lieu, et si des décisions aberrantes sont prises, comprenez que non seulement cela s’explique avec des accords qui ont été signés dans ce sens entre l’UE et l’OCI, mais aussi, que nombre de nos politiciens se montrent complices et tiennent un double-discours sur le sujet.

    "Et, ce ne sont pas ceux qui ont créé le problème qui vont le résoudre " - Albert Einstein 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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