• Le 28/11/2024 - CinéTriskell de CHALLANS -  SILENCED - le FILM INTERDIT en Grande Bretagne.Comme vous le savez, le 26 octobre dernier, j'ai fait le déplacement à Londres afin de participer à la manifestation de soutien à Tommy Robinson, lanceur d'alerte emprisonné pour ses idées et, par conséquent, nos idées.

    Cette journée du 26 Octobre fut un extraordinaire moment, que j'ai vécu de l'intérieur et  qu'il est temps de partager avec vous tous.

    En effet, le jeudi 28 novembre 2024 à 19h, je vous donne rendez-vous au Cinéma Ciné Triskell de Challans , où j'aurai l'honneur et le privilège de vous présenter en avant-première, le documentaire "Silenced" de Tommy Robinson.

    Tommy  est désormais emprisonné et poursuivi en justice pour avoir exercé son droit à la liberté d'expression.

    Tommy Robinson a été arrêté et emprisonné pour avoir dénoncé plusieurs affaires politiques extrêmement graves. Un engagement qu'il a choisi de faire au détriment de sa propre sécurité pour informer le public.

    Venez nombreux... Nous clôturerons cet événement par un verre de l'amitié.

    Nous lèverons notre verre pour soutenir Tommy qui "fêtera" son anniversaire, seul, du fond de sa cellule, ce jour-là.

    Prix de la place : 10 euros. Ouverture des portes 18h30.

    Réservation obligatoire  à l'adresse mail:

    Rassemblementvendeen@outlook.fr.

    Je compte vraiment sur vous tous, c'est un devoir de participer à cet événement !

    Haut les coeurs!

    Eric Mauvoisin-Delavaud

    Président du Rassemblement Vendéen

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  • Cet article s'appuie, pour les deux premiers paragraphes, sur les travaux de recherche d'Alain Wagner, président de l'ICLA et de l'UDCC - Expert et conseiller en stratégie sociétale - Auteur de nombreux rapports auprès des services de renseignement français.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée - 2ème partieLa « Stratégie culturelle islamique pour l'extérieur du monde islamique ».  

    C’est le titre du document qui définit précisément la stratégie officielle de l’OCI* ( Organisation de la Coopération Islamique), qui est  l'équivalent de l'ONU version islamique. L’OCI est la deuxième plus grosse organisation internationale du monde, elle regroupe tous les pays musulmans.

    Vous pouvez accéder au site de l'OCI, en cliquant sur le lien ci-après :

    ·         http://www.oic-oci.org/oicv3/home/?lan=fr 

    Le plus haut niveau décisionnel de cette organisation islamique, est le sommet qui regroupe les chefs d'Etat. Le 9ème sommet de l’OCI s’est tenu à Doha, au Qatar, en 2000, où a été adopté la « Stratégie culturelle islamique pour l'extérieur du monde islamique » qui concerne particulièrement l’Europe.

    Vous pouvez trouver ce document en téléchargement et le lire sur le site de l’ISESCO. « Pour savoir ce qu’est l’ISECO, imaginez l’OCI comme un gouvernement,  l’ISESCO, c’est le ministère de la culture, de l'Éducation et de de la communication de l’OCI ».

    ils ont leur siège à Rabbat, Maroc, dans un bâtiment luxueux.

    Ce document existe en français, en arabe et en anglais qui sont les langues officielles de l’OCI.

    Mais, il y a quelques petites différences linguistiques entre les trois versions qui sont des documents officiels.

    Ce document, que vous pouvez télécharger en français à partir du lien ci-après, décline le mode d’action de l’OCI pour les années qui viennent.

    Télécharger « 2000 Stratégie de L'ACTION ISLAMIQUE CULTURELLE .pdf » 

    Ce mode d'action, résumé succinctement, consiste à :   

    ·         « implanter des communautés islamiques civilisationnellement différentes de l'Occident, qui fonctionnent selon les règles de la charia et qui ont pour vocation de prendre les postes-clefs aux niveaux économiques, politiques et communicationnels dans les pays hôtes ».

    Nous sommes les pays hôtes. Il faut savoir que la mise-en-œuvre de cette stratégie précisée dans le document s’appuie sur les centres culturels, les mosquées, les écoles islamiques.

    dans chaque mosquée, il y a des salles de classe. Cela relève d’un processus éducatif parallèle établi dans ce même document qui a nécessité 9 ans de préparation. Pour ce faire, ils ont sillonné toute la France, ils le mentionnent d’ailleurs dans le prologue de ce document.

    Les organisations européennes ont également participé à l’élaboration de ce plan, c’est-à-dire des gens qu’on a chez nous. 

    Les centres culturels en Europe sont financés par les États, par le contribuable. 

    Ils ont fait leurs consultations avec les responsables des centres culturels et les organisations islamiques de toute l’Europe.

    Les organisations islamiques européennes ont porté réclamation à l’OCI parce qu’ils constataient qu’il y avait des signes d’assimilation des enfants musulmans dans les sociétés occidentales. De ce fait ils ont mis en place un système qui vise, selon leurs propres mots, à « immuniser les enfants contre l'invasion culturelle. » Ainsi, un enfant musulman qui va dans une école occidentale est considéré comme subissant « une aliénation » et une « invasion culturelle ».

    Un autre objectif fondamental et nécessaire, fait l’objet de réclamations récurrente auprès de l’OCI : l’enseignement de la langue arabe, pour tous les enfants, dès l’école primaire, au même titre que le français et l’anglais. 

    Vous savez maintenant qu’un ministre de l’Education nationale, qui proposerait de généraliser cet enseignement de la langue arabe dès l’école primaire, agirait comme un agent de l’OCI, en charge de l’accomplissement de cette « stratégie culturelle ».

    L'ISESCO EST UN AVATAR DES FRÈRES MUSULMANS

    Dans le document anglais il y a un mot très intéressant, « setelment », qui veut dire à la fois, « implantation » mais aussi « colonie ».

    Le texte anglais est très intéressant parce qu’il mentionne explicitement comme traduction de l’oumma (communauté des croyants), le terme de « nation islamique » .

    Ce document est une bombe politique à retardement parce que, majoritairement, il reste inconnu du peuple français et des peuples européens en général..

    Le gouvernement Hollande a agi en parfaite coopération avec l’OCI pour la mise en place de cette stratégie dans notre propre pays. C'est-à-dire que nous avons ouvert objectivement, et en grand, les portes de notre pays à un processus de colonisation. 

    Le gouvernement Macron va ainsi parachever et conforter tout le processus mis en œuvre par ses prédécesseurs.

    L'ISESCO EST UN AVATAR DES FRÈRES MUSULMANS

    La stratégie de conquête mondiale des organisations affiliées aux Frères musulmans est évolutive.

    Voici ce qu’a écrit Alexandre del Valle – Géopolitologue, consultant, à ce sujet :

    « Le modus operandi consiste à prendre le contrôle du pouvoir suprême par la constitution d’un vaste réseau décentralisé, puis la création de multiples sections cloisonnées qui maillent toute la société, puis par l’infiltration et l’entrisme dans l’enseignement, les ordres de médecins, d’avocats, les banques et institutions financières, les syndicats, les centres hospitaliers, les tribunaux et les partis politiques et médias ».  

    « Le savoir, c’est le pouvoir ». Et le savoir passe par l’entrisme dans les petites écoles, les lycées, les universités et les médias. L’accès final au pouvoir passe logiquement par des alliances pragmatiques avec des partis politiques plus classiques et la subversion de valeurs démocratiques, au niveau local, communal, régional, national, en dehors des pays musulmans

    Dans cette nouvelle configuration stratégique « évolutive » des Ikhwan (frères), trois hommes ont joué ces dernières années un rôle fondamental dans la modification du schéma opérationnel et organisationnel de La Confrérie

    Ce trio, appuyé par la Turquie et le Qatar, a théorisé la nouvelle stratégie globale de conquête du monde arabo-musulman et de l’Europe par les Frères ainsi que la cartographie de l’organisation ». Alexandre del Valle – Géopolitologue, consultant

    Ce fameux trio est composé du Qatari Jassim Sultan, de feu le Saoudien Jamal Khashoggi et du Palestinien naturalisé britannique Azzam Tamimi, trois personnages centraux dans la nouvelle configuration stratégique des Frères au niveau régional et mondial.

    Une vision de l’islam politique résolument opposée à celle des monarchies héréditaires pro-occidentales du Golfe qui privilégie non plus la voie jihadiste-guerrière inaugurée par Saiyyd Qutb, mais celle, démocratique, entriste, numérique, politico-démocratique et économique, « 2.0 » inaugurée à grande échelle pour la première fois lors des Printemps arabes, variante locale des fameuses « révolutions de couleurs » financées dans les années 2000 par les États-Unis et les ONG de Georges Soros. Pour ces trois penseurs, qui ont toutefois, comme Khashoggi et Tamimi, soutenu ou connu le jihad guerrier de près, l’objectif ultime des Frères (Califat universel), reste le même que celui de Sayyd Qutb, qu’à condition de renverser au préalable, de façon asymétrique, tous les régimes arabes dictatoriaux monarchiques ou sécularisés».

    Une nouvelle méthode :

    « ne veulent plus apparaître comme les tenants d’une structure uniforme, trop hiérarchisée, préférant se concentrer sur des éléments de langage et une communication adaptés aux pays dans lesquels se trouves leurs affidés. Ils sont persuadés que leur réussite passe désormais par leur implication dans le monde des entreprises, des médias, dans la politique, les ONG, les clubs associatifs »

     

    Beaucoup d’interrogations également concernant le rôle avéré du Qatar dans le financement du terrorisme dans le monde,  particulièrement en France et en Belgique, sans que nos politiques ne s’emparent du sujet, sans même que cela ne pose problème au plan diplomatique

    Le Qatar s’impose ainsi par les armes, la diplomatie, l’argent et/ou les médias, comme le sponsor principal de l’Islam politique et fondamentaliste en Europe. Sous Sarkozy comme avec Hollande, le richissime émirat dispose des mêmes facilités pour racheter des pans entiers de notre économie. En novembre 2013, l’ambassadeur du Qatar annonçait le projet de son pays d’investir 10 milliards d’euros dans des sociétés du CAC 40, sans que cela ne pose problème ni au Gouvernement ni à l’opposition ! 

    La puissance grandissante du Qatar en France semble stimulée par la "faiblesse" de nos responsables politiques, déboussolés par la crise mondiale et appâtés, parfois, par les largesses avérées de ce petit pays.

    Ami personnel de la famille de l'émir, Dominique de Villepin, aujourd'hui avocat d'affaires, a pour principal client le Qatar Luxury Group, fonds d'investissement personnel de la cheikha Mozah bint Nasser al-Missned.

    A droite, parmi les habitués de Doha, on trouve aussi Philippe Douste-Blazy, Rachida Dati ou Hervé Morin.

    Dans les milieux diplomatiques français, cette politique du «tout-Qatar» en agaçait certains, qui espéraient que François Hollande, réputé partisan d'un resserrement des liens avec l'Algérie, allait en quelque sorte «rééquilibrer» la politique française dans la région.

    Certes, François Hollande s'est rendu en Algérie le 19 décembre 2012. Mais il avait vu le Premier ministre de l'émirat, Hamad ben Jassem al-Thani, dans un palace parisien dès le début de l'année 2012.

    Les deux hommes s'étaient d'ailleurs déjà rencontrés une première fois en 2006, François Hollande le recevant en tant que premier secrétaire du PS. Depuis son élection, il l'a revu à deux reprises, et a accueilli l'émir Hamad ben Khalifa al-Thani à l'Elysée, le 22 août 2012. Un traitement privilégié.

    Autre signe de continuité, l'entrée d'investisseurs qataris au capital de France Télécom en juin 2012. Les gouvernements passent, mais les intérêts demeurent.

    Pour preuve :  l’incroyable convention fiscale entre les deux pays - une sacrée niche fiscale qui dispense un investisseur qatari de tout impôt sur les plus-values réalisées sur la revente de biens immobiliers en France -, qui avait été tant décriée par le PS (du temps de l'opposition), n'a pas été abrogée...

    Il faut dire que, même sous Sarkozy, les Qataris ont eu la prudence de créer ou de maintenir des liens solides avec la gauche française.

    L'ambassadeur du Qatar en France, Mohamed Jaham al-Kuwari, a préparé la transition politique de longue date en multipliant les contacts avec plusieurs dirigeants socialistes : Ségolène Royal, Laurent Fabius, Elisabeth Guigou, Jack Lang, Bertrand Delanoë, Martine Aubry, mais aussi Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, qui a séjourné à Doha en pleine campagne de la primaire socialiste, ou encore Manuel Valls, seul émissaire du candidat à avoir rencontré l'émir en décembre 2011.

    Dans les médias, le Qatar est devenu le pays des Bisounours. Comme dans l'émission « Un œil sur la planète», diffusée sur France 2 en 2022, le présentant comme " un nouvel eldorado, terre d'accueil de tous les ambitieux et les entrepreneurs". La coopération entre nos deux pays, faisait miroiter aux groupes français les 120 milliards mobilisés en vue de la Coupe du monde de football de 2022 soit autant de beaux contrats pour Bouygues, Vinci, Carrefour et quelques autres.

    Mais, il y a surtout la relation très particulière que le Qatar entretient avec l'islamisme politique. L'émirat a été, depuis quinze ans, le refuge de bien des activistes radicaux, tel Abassi Madani, l'ex-patron du FIS algérien. Le Hamas a déménagé ses bureaux de Damas à Doha, et les visites de l'émir à Gaza ne sont jamais passées inaperçues.
    La chaîne de télé Al-Jazeera qatarie s'est fait connaître en devenant le diffuseur exclusif des communiqués d'Al-Qaida, et certains ne manquent pas de souligner que Doha a été exempt de tout attentat terroriste. Exilé au Qatar depuis quarante ans, le plus célèbre prédicateur islamiste, Youssef al-Qardaoui, officie chaque semaine sur Al-Jazeera.
    L'homme a déclaré que « les opérations martyres sont l'arme que Dieu a donnée aux pauvres pour combattre les forts», et que, «tout au long de l'histoire, Allah a imposé aux juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. [...] C'était un châtiment divin. Si Allah le veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans ».

    Enfin, le Qatar finance partout et généreusement tous les acteurs politico-militaires salafistes, dont la branche la plus enragée des Frères musulmans, hostiles à la famille Al-Saoud et bien sûr au chiisme, mais aussi aux régimes "laïcs" et nationalistes arabes susceptibles de porter ombrage aux pétromonarchies.»
    Par ailleurs, les services français ont repéré une présence qatarie dans le nord du Mali, où sévissent des groupes jihadistes…

    Il apparaît que, partout, les Qataris soutiennent les Frères musulmans, qui constituent la principale force politique du printemps arabe. Et qu'Al-Jazeera est leur bras armé.

    Autre sujet d'inquiétude, l'activisme sportif des Qataris - Grand Prix de l'Arc de triomphe, achat du PSG, Mondial de handball (2015) et Coupe du monde de football (2022) - ne relève pas forcément d'un amour désintéressé du sport mais bien d'une stratégie délibérée de soft power.

    C'est d'ailleurs Nicolas Sarkozy, cumulant le rôle de superconsultant des Qataris avec celui de président de la République, qui aurait conseillé à l'émir de «passer par le sport» pour implanter Al-Jazira en France". D'où la création de la chaîne BeIN Sport, au risque de déstabiliser le système audiovisuel français, et notamment le financement du cinéma.

    Enfin, et c'est plus inquiétant, les Qataris manifestent un intérêt particulier pour les secteurs industriels sensibles et stratégiques.

    Cette inclination est d'abord apparue dans le dossier EADS. A la fin des années 90, l'émir sympathise avec Jean-Luc Lagardère, avec lequel il partage la passion des chevaux.
    Les deux couples sympathisent, Bethy Lagardère initiant la cheikha Mozah aux joies de la vie parisienne, tandis que les équipes Lagardère apportent à l'émir leurs conseils avisés dans l'audiovisuel lors de la création d'Al-Jazira. Avant même la mort de Jean-Luc Lagardère, en 2003, l'émir avait émis le vœu d'entrer au capital d'EADS.

    Mais Jean-Paul Gut, alors haut dirigeant d'Airbus, avait habilement orienté les Qataris vers une prise de participation dans le groupe Lagardère lui-même, ce qui était moins intéressant pour le Qatar mais répondait à l'inquiétude de l'héritier, Arnaud Lagardère, qui souhaitait s'assurer des alliés solides dans sa société holding. Mais, quand le groupe allemand Daimler a voulu vendre ses parts dans EADS, le Qatar s'est porté acquéreur, ce qui entraîna une vive réaction d'Angela Merkel aboutissant à un engagement de l'Etat allemand à la place de Daimler.

    Si les Qataris ont eu l'audace de se positionner sur des dossiers aussi sensibles, c'est que les liens entre la France et le Qatar sont anciens : 80 % de l'équipement militaire qatari est français et, pour l'anecdote, les 15 ha que la Direction générale de l'armement loue à Bagneux (Hauts-de-Seine) appartiennent à une banque qatarie...
    Autre indice de l'intérêt des Qataris pour les secteurs stratégiques, l'affaire Altis, une société de semi-conducteurs en difficulté que les Qataris voulaient acheter en 2009 pour créer une industrie similaire au Qatar. Mais Augustin de Romanet, alors patron de la Caisse des dépôts, a jugé le projet suspect, et le Fonds stratégique industriel s'est finalement substitué à l'émirat.
    Plus inquiétant, le jeu de poker menteur autour d'Areva : il s'en est fallu de peu que l'émirat mette la main sur les mines d'uranium du groupe nucléaire!

    A la manœuvre, l'ancien secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, l'intermédiaire de choc Alexandre Djouhri, Henri Proglio, le PDG d'EDF, et François Roussely, du Crédit suisse - une des banques conseil en France des Qataris avec la banque Rothschild.

    Autres questions 

    • Comment se fait-il que le Qatar par exemple qui est très fortement soupçonné de financer le terrorisme sur la planète puisse financer également l’Islam en France ou en Belgique sans que les liens diplomatiques n’en soient fragilisés ? 
    • Comme se fait-il que récemment des docteurs en religion saoudiens aient la possibilité d’émettre des fatwas en France dans un organisme reconnu proche des frères musulmans ?
    • Pourquoi depuis le début du conflit en Syrie le Qatar n’a accepté aucun réfugié alors qu’ils arrivent par milliers en Europe ? 

    Le mot de la fin à Alain Wagner : 

    "Pour avoir des éléments de réponses précis et détaillés, je ne peux que vous inviter à relire ce sujet, pour savoir pourquoi tout ceci a été rendu possible, sachez que tout était organisé, et que c’est une volonté politique qui se cache derrière tout cela.

    Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que l’islamisation organisée de l’Europe est dans la ligné du plan Kalergi, difficile de faire l’impasse sur l’origine de tout cela.

    Deux parties entrent alors en jeu, l’Union Européenne avec le « Cadre commun pour l’intégration des ressortissants de pays tiers« , un pays tiers se définissant comme « tout pays autre que ceux faisant partie des pays participant au Programme» ,

    et l’OCI qui est « l’Organisation de la coopération islamique« , qui de son côté explique la stratégie appliquée pour s’étendre en Europe avec le document « Stratégie de l’action islamique culturelle à l’extérieur du monde islamique»

     Invasion pensée et voulue : lien vers le rapport final de stratégie d’islamisation de l’Europe évoqué par Alain Wagner:

    http://www.isesco.org.ma/fr/wp-content/uploads/sites/2/2015/05/Strat%C3%A9gieExtVFLR1.pdf

    Si le document venait à disparaître voici un lien de récupération:
    http://europe-israel.org/wp-content/uploads/2016/10/StratégieExtVFLR1.pdf

     

    Maintenant, vous savez tout !

     Si l’Islam radical fait de plus en plus de bruit en Europe, si certaines mosquées sont reconnues comme ayant abrité des djihadistes, si des attentats ont lieu, et si des décisions aberrantes sont prises, comprenez que non seulement cela s’explique avec des accords qui ont été signés dans ce sens entre l’UE et l’OCI, mais aussi, que nombre de nos politiciens se montrent complices et tiennent un double-discours sur le sujet.

    "Et, ce ne sont pas ceux qui ont créé le problème qui vont le résoudre " - Albert Einstein 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit...Beaucoup se posent des questions sur la progression fulgurante, ces 20 dernières années, de l’Islam en Europe, lequel se (re)trouve, majoritairement, au cœur de toutes les polémiques relatives à l’insécurité, aux exactions multiples et variées commises sur nos concitoyens, et aux attentats toujours revendiqués…

     L’histoire du contrat entre l’OCI (Organisation de coopération islamique) qui regroupe 57 états et l’Union Européenne (U.E.) a été volontairement occultée par les gouvernements successifs des 9 états européens responsables, en particulier (au départ) la Belgique, la France, l’Italie et les Pays-Bas…

    Voici la genèse de cette histoire qui commence en 1973, date fondamentale dans le déroulement des évènements, de cette époque jusqu’à nos jours.

    La guerre de Kippour (6-25 octobre 1973) entre, d’un côté, Israël et, de l’autre, plusieurs pays arabes menés par l’Égypte et la Syriejoue le rôle de catalyseur.

    Pour peser sur le conflit, les exportateurs d’or noir du Proche-Orient décident alors trois mesures essentielles : 

    1.    une augmentation de 70 % du prix du baril ;

    2.    une réduction de 5 % de leur production ;

    3.    un embargo à l’encontre des pays jugés « ennemis » car soutenant directement Israël par le biais de livraisons d’armes, cette dernière mesure frappant essentiellement les États-Unis et les Pays-Bas.

    Cette mesure est assortie d'un embargo sur les livraisons de pétrole contre les Etats qui soutiennent Israël. Manifestement pris de court, les délégués des pays producteurs ne sont pas parvenus à taire leurs divisions. Un projet, présenté par l'Irak, prévoyant, notamment, la nationalisation immédiate de tous les intérêts américains dans le monde arabe, le retrait des fonds arabes placés dans les banques américaines. Finalement, la rupture des relations diplomatiques avec Washington, est ainsi écartée. L'un des plus ardents opposants à ce plan n'est autre que le représentant de l'Arabie saoudite, un homme connu de toutes les compagnies pétrolières occidentales et qui tient directement ses instructions du roi Fayçal d'Arabie : cheikh Yamani.

    Ce dernier privilégie une approche pragmatique, préférant des prises de participations progressives à une nationalisation pure et simple qui obligerait les Saoudiens à gérer les champs pétrolifères alors qu'ils n'ont encore aucune compétence pour le faire.

    Si Cheikh Yamani pousse, en revanche, à l'adoption d'un embargo et à la baisse progressive de la production, c'est en grande partie parce que Fayçal n'est pas parvenu à convaincre les Américains de faire pression sur Israël pour que Tsahal cesse son offensive. Reçue à Washington le 16 octobre 1973, la délégation ministérielle conduite par le ministre saoudien des Affaires étrangères s'est vu opposer une fin de non-recevoir. Résultat : l'Arabie saoudite et l'Algérie annoncent dans la foulée qu'elles réduisent leur production, non pas, de 5 mais de 10 %. Proportion qui est portée à 25 % un mois plus tard par l'ensemble des pays arabes membres de l'OPEP. Fin du premier acte.

    Le deuxième s'ouvre le 22 décembre 1973 à l'hôtel Intercontinental de Téhéran où les représentants de l'OPEP se sont donné rendez-vous.

     Entre-temps, l'embargo décrété en octobre et les mesures de baisse de la production ont eu pour effet de provoquer une hausse rapide des prix du baril. Quelques jours plus tôt, une cargaison de brut iranien a atteint le prix de 17 dollars. Une autre, venue du Nigeria, a été offerte sur le marché spot au prix incroyable de 26 dollars ! Du jamais-vu alors que le baril est passé, entre 1946 et 1972, de 1,63 à 3,60 dollars et qu'il se situe, depuis le mois d'octobre 1973, un peu au-dessus de 5 dollars ! Ce jour-là à Téhéran, dans une atmosphère que l'envolée des cours a rendue électrique, les membres de l'OPEP se retrouvent pour arrêter le prix officiel du baril de pétrole. Cette réunion va dévoiler une nouvelle ligne de fracture au sein de l'Organisation : celle qui oppose l'Arabie saoudite, emmenée par cheikh Yamani, à l'Iran, dont le représentant est Jamshid Amouzegar. 

    Jamshid Amouzegar n'a cependant pas la même liberté d'action que cheikh Yamani. Depuis toujours, le souverain iranien tient à suivre lui-même les affaires pétrolières. Comme le président de la société nationale iranienne de pétrole, Jamshid Amouzegar n'est en fait qu'un simple exécutant. Ses instructions, en l'espèce, sont des plus claires : il doit obtenir une hausse substantielle du prix du baril et, ce, même si elle doit susciter l'ire de Washington, son principal allié et son premier fournisseur d'armes. C'est que le chah d'Iran a de grandes ambitions pour son pays, qu'il a entrepris de moderniser à marche forcée.  Avec 20 % des réserves de l'OPEP, l'Iran est le deuxième producteur de pétrole de l'Organisation, juste derrière l'Arabie saoudite. Un baril à 5 dollars est cependant insuffisant pour alimenter son budget. Il lui faut obtenir un prix beaucoup plus élevé...

    Riyad s'inquiète, en effet, des ambitions de l'Iran - dont la majorité de la population est chiite -, qui pourrait, avec l'argent du pétrole, asseoir sa domination sur l'ensemble du Golfe.

    Il s'inquiète, également, des conséquences d'un relèvement trop brutal des prix du pétrole sur les économies occidentales, voire sur la stabilité de certains pays européens comme l'Italie, qu'une crise économique pourrait faire basculer dans le camp communiste. Il s'inquiète, enfin, pour sa relation avec Washington. Pour toutes ces raisons, l'Arabie saoudite plaide pour un baril à 8 dollars. Un prix bien plus bas que celui proposé par l'Iran : 17,04 dollars. Il faudra des heures de discussions et de conciliabules pour parvenir à un compromis : 11,65 dollars, soit une hausse de près de 130 %

    Le chah, tout à son projet de « Grande Civilisation » iranienne, ne cesse d'œuvrer pour tirer encore à la hausse les cours du baril. Avec un incontestable succès : les augmentations se succèdent tout au long de l'année 1974 et encore en 1975. Elles représentent au total un quadruplement du prix du baril depuis octobre 1973 et provoquent de nouvelles tensions avec l'Arabie saoudite.

    Lors de discussions avec l'ambassadeur des Etats-Unis, cheikh Yamani presse, lui-même, les Etats-Unis de faire pression sur l'Iran. A Riyad, on ne craint plus seulement une possible hégémonie iranienne : on commence à s'inquiéter des effets pervers qu'une hausse continue des cours pourrait provoquer en Arabie saoudite : des revendications sur le partage de la manne pétrolière débouchant elles-mêmes sur de graves tensions sociales. « Votre soutien à l'Iran est incompréhensible », explique, en août 1975, cheikh Yamani à l'ambassadeur des Etats-Unis en Arabie saoudite. « Vous savez très bien que le chah est un mégalomane mentalement instable. »

    En novembre 1977, le chah d'Iran se rend à Washington pour une visite d'Etat. Le souverain est venu quémander de nouvelles armes à son allié américain.

     Au fil des discussions, Jimmy Carter dénonce « l'impact punitif » des hausses du cours du pétrole sur les économies industrialisées et appelle à une «  pause».  Appel entendu. Dans les semaines qui suivent, l'Iran rejoint le camp de la modération représentée par l'Arabie saoudite. A la fin de l'année 1977, les cours se sont stabilisés à 12,70 dollars. La hausse est stoppée. Du moins provisoirement. Deux ans plus tard, en 1979, la chute du chah allait provoquer un nouveau choc pétrolier

    Pendant le premier embargo, d’autres négociations ont été menées, avec les pays occidentaux, qui s’apparentaient plutôt à un chantage, ils nous ont imposé des conditions. "Nous (les chefs d’Etat et de Gouvernement, les ministres des Affaires étrangères) sommes allés à la table des négociations avec eux et, nous avons tout accepté". Avec les accords qui ont suivi juste après, le 6 novembre 1973, les 9 pays de la communauté européenne de l’époque ont basculé dans le camp pro-arabe avec ses conséquences :

    ·            * Reconnaissance du peuple palestinien

    ·             * Adoption de la dimension narrative arabe concernant Israël, entre autres pour commencer, qui seront repris dans la Résolution de Strasbourg (1975)

    Ce document se focalise principalement sur le retrait d'Israël des territoires occupés et, marque son désir de régler le conflit en faisant bon accueil aux demandes arabes, sous la pression du chantage de l’OPEP.

     Mais les signataires en profitent pour y ajouter un paragraphe important relatif à la demande de main-d'œuvre maghrébines des pays européens et, imposer les demandes des pays arabes en faveur des communautés de travailleurs musulmans, dont voici quelques passages significatifs :

    ·         « L’Association parlementaire pour la Coopération euro-arabe (APCEA) demande aux gouvernements européens de prendre des mesures spéciales pour assurer la libre circulation des travailleurs arabes qui émigrent en Europe ; ces droits doivent être équivalents à ceux des citoyens nationaux.

    ·         Les pays d’accueil doivent reconnaître "la contribution historique de la culture arabe au développement européen" !  

    ·         « Ils regrettent » la négligence de l’enseignement de la culture arabe et de l’arabe en Europe.  

    ·          "Ainsi, les gouvernements européens aideront les pays arabes à créer les ressources nécessaires pour que les travailleurs immigrés et leurs familles puissent préserver leur culture et leurs pratiques religieuses".  

    ·         « Appelle les gouvernements des Neuf à aborder l’aspect culturel du dialogue euro-arabe (DEA) dans un esprit constructif en donnant une plus grande priorité à la diffusion de la culture arabe en Europe »… 

    Enfin, sous la présidence de V. Giscard d’Estaing (Chirac est 1er ministre), le décret du 29 avril 1976 met en place le droit au regroupement familial.              Ce décret réglemente les conditions par lesquelles un travailleur étranger séjournant régulièrement en France peut être rejoint par les membres de sa famille, sous plusieurs conditions (durée de résidence, ressources, logement, ordre public, santé). Alors que jusque-là les travailleurs maghrébins rejoignaient leur foyer dans leur pays dès la fin de leur contrat de travail.

    Ce décret qui a ouvert durablement les vannes de l’immigration musulmane de masse en France ; il est l’une des conséquences directes de la Résolution de Strasbourg. Cette résolution a été adoptée à l’unanimité par les pays arabes et par l’Assemblée générale de l’Association parlementaire de la Coopération euro-arabe, soit plus de 200 représentants de tous les partis politiques européens. 

    Ce document existe dans le fascicule n°2 d’Eurabia, publié à Paris. Il reproduit les Résolutions de l’Association Parlementaire pour la Coopération Euro-Arabe, l’APCEA votées à l’unanimité à Strasbourg les 7-8 juin 1975.                  

    Ce document représente, pour ainsi dire, le logiciel de la transformation de l’Europe.  Et, toutes les demandes de l’APCEA adressées aux gouvernements européens ont toutes été appliquées !   

    Lucien Bitterlin fut le directeur de cette publication et son rédacteur en chef était Robert Swann, premier secrétaire-général de l’APCEA.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit - 1ère partie.La revue Eurabia était éditée par le Comité Européen des Associations d’Amitié avec le Monde arabe et réalisée avec la collaboration de : Middle East International (Londres), France-Pays Arabes (Paris), et le Groupe d’Etudes sur le Moyen-Orient (Genève). 

    Des personnalités politiques marquantes, le nom d’organisations connues avec leurs adresses, les documents irréfutables, démontrent à l’évidence qu’Eurabia relève d’une stratégie issue d’« une volonté politique conjointe » comme l’affirme l’éditorial du n°2 d’Eurabia.

    Sur le site de l’APCEA on pouvait lire : « La première réunion de ce Dialogue s'est tenue en septembre 1974 à Damas. Elles ont depuis acquis une régularité quasi annuelle* et se déroulent alternativement en Europe et dans le Monde Arabe »

    La dernière réunion s’est tenue à Damas en 1998.

    L’APCEA fonctionnait à l’intérieur d’un large système d’alliances et de coopérations des neuf Etats de la Communauté européenne et des pays de la Ligue arabe, appelé le Dialogue Euro-Arabe.

    L’APCEA était la cheville ouvrière du dispositif. Ce fut elle qui détermina toute la structure de l’Europe actuelle, cette Eurabia vers laquelle elle tendait.

    U.E. - Islam - Une invasion programmée et organisée : Ce qu'on ne vous a jamais dit - 1ère partie.Bien que ce dialogue ait couvert des domaines considérables : politique, culturel, économique, stratégique et l’immigration, son fondement demeurait le remplacement d’Israël par la Palestine et la délégitimation, la criminalisation et l’incitation à la haine de l’Etat hébreu, antichambre de son extermination attendue.

    Ce sont bien les Européens qui ont réclamé l’accès à un « vivier » de main-d’œuvre musulmane et, la Belgique, la France et le Luxembourg ont été trois éléments moteurs de l’ensemble du dispositif…

    A ce stade-là des négociations, les pays musulmans ont imposé leurs conditions : 

    Il y a eu toute une série d 'exigences posées et bien précisées aux pays occidentaux,  leur demandant de veiller à ce que les populations accueillantes parlent positivement de l 'islam, à ce que les musulmans puissant pratiquer leur religion sereinement et, surtout, à ce qu’ils bénéficient d’une égalité de traitement identique à celle des populations françaises et européennes en general…

    Il n’est pas de question pour les musulmans d 'être des citoyens de seconde zone.

    L’égalité des droits (logement, travail, santé notamment) est la pierre angulaire de toute l’immigration musulmane, parce que, dans la mentalité islamique, le musulman domine et n 'est pas dominé, et il n 'est pas acceptable qu’ils soient considéré  comme des “sous-citoyens”,  ils doivent donc pouvoir vivre chez nous comme chez eux.

     Il y a donc eu une déclaration, qui a été adoptée, mais qui n’avait pas un caractère législatif.  Mais il ne fallait pas négliger sa portée. Dans l’espace diplomatique, il y a très souvent, des déclarations d 'intention qui précèdent les mesures législatives.

    À cette époque, il y avait déjà des exigences de contrôle  des médias en général sur l'image de l'islam. C'est un souci constant de l 'OCI de contrôler l'image de l'islam en l 'Occident.. 

    Pour les autorités religieuses musulmanes, si les Occidentaux disent du mal ou pensent du mal de l 'islam, c'est qu 'ils ne comprennent pas ce qu’est véritablement l'islam. D’où leur volonté de “rééduquer” les Occidentaux car l'islam, est un système qui fonctionne différemment des systèmes religieux occidentaux. Alors que beaucoup d’entre nous ont eu le sentiment que la religion musulmanne c’est un petit peu comme chez nous mais avec quelques variantes…

      l’Islam est un système politico-religieux qui a ses caractéristiques propres et des objectifs précis :

    1. une organisation sociale, un formatage sociétal, et une dimension politique qui est absolument incontournable dans cette religiion.
    2. une idéologie caractéristique au même titre que le communisme, et  tous les suffixes en isme.
    3. En résumé, une idéologie inchangée depuis la fondation de l’Islam qui fonctionne sur un mode collectiviste et s’impose à toute la société, sans exception et sans nuance.

    On ne le dira jamais assez : le but de l’Islam est que l’ensemble de la société, sans exception, soit islamisé. L’islam ne se satisfait pas de vivre côte à côte  ou, avec les populations autochtones, mais les les absorber, de les soumettre à la loi islamique, à la Charia et, que toute la société soit enfin formatée par les règles et les prescriptions de la Charia.

    En réalité, l 'islam est un système totalitaire, qui incorpore l'intégralité de la vie des individus avec une codification précise des relations entre les personnes.

    A l’inverse des systèmes occidentaux, où la souveraineté réside dans la nation (le peuple). La nation élit des représentants, ces représentants incarnent la volonté de la nation, et la volonté de la nation est  créatrice des lois.

    Or, dans le système islamique, la volonté de l 'organisation de la société relève de Dieu, uniquement. Et, ce n’est pas négociable…

    Par exemple : les systèmes occidentaux sont indéfectiblement attachés aux libertés individuelles, aux droits de l’homme, à l’égalité homme-femme, à la liberté d’expression, à la liberté d’aller et de venir, à la liberté de religion…

    Dans la Charia, toutes les valeurs précitées sont incompatibles et quitter l’Islam est puni de mort… C’est un système qui, dans sa doctrine, légitime l'usage de la violence, légitime l 'usage de l'agression, légitime l'esclavage contre les non-musulmans…

    En résumé, toutes les règles et obligations qui découlent de la Charia violent et renient l’ensemble de nos libertés fondamentales… Elles sont incompatibles avec notre culture, notre Constitution et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. 

    Le processus de Barcelone : le partenariat EUROMED

    La conférence de Barcelone s’est tenue du 27 au 28 novembre 1995 et réunissait les 15 ministres des Affaires étrangères des États membres de l’UE et des douze pays tiers méditerranéens suivants :

    Algérie, Chypre, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Malte, Maroc, Syrie, Tunisie, Turquie et Autorité palestinienne.

    Cette conférence a posé les fondements d’un processus visant à atteindre un cadre multilatéral de dialogue et de coopération entre l'UE et les pays tiers méditerranéens, qui ont adopté conjointement une déclaration et un programme de travail dont le but était de « développer les ressources humaines, à travers un volet économique et financier dans un espace commun tout en favorisant la compréhension entre les cultures et les échanges entre les sociétés civiles ». 

    Cette conférence est la mise en application d’une fusion entre les pays des deux rives de la Méditerranée, débarrassés de frontières, telle que le président Macron ne cesse d’en faire la promotion, qui a promis pour ce faire, à plusieurs reprises durant sa campagne électorale et depuis qu’il est élu, de créer les structures ad hoc et de débloquer les moyens financiers nécessaires. C'est donc lui qui va mettre la dernière pierre à cette construction qui condamne à mort notre culture et notre civilisation.

    Autant de réalisations qui étaient en gestation dans la Résolution de Strasbourg en 1975. 

    La Conférence de Barcelone (1995) sera aussi l’occasion de préciser à nouveau les règles relatives aux conditions d’accueil des « nouveaux arrivants » dans un souci permanent de tout planifier en parfaite cohérence avec la doctrine islamique, notamment :

    1. 1)    Une égalité totale de traitement entre les populations immigrés et les populations autochtones des « pays d’accueil » en ce qui concerne les droits sociaux, le droit au logement, le droit à l’emploi, les droits politiques.
    2. 2)    Les populations immigrées ne vont pas venir chez vous pour devenir comme vous : « elles devront rester ce qu’elles sont grâce à l’organisation garantie de leur accompagnement par les autorités religieuses musulmanes ». En résumé, ni intégration, ni assimilation.
    3. 3)    L’obligation pour les « pays d’accueil » d’introduire plus efficacement dans la société, via les médias, les associations etc., un narratif positif sur l’Islam : reconnaître qu’il est une partie constitutive de leur culture »…

    De V. Giscard d’Estaing qui s’est empressé de mettre en œuvre le regroupement familial ; à F. Mitterrand qui a pris soin d’organiser le financement de toutes les associations pour l’accompagnement des immigrés et la reconnaissance de leurs droits de recours pour l’obtention de leur titre de séjour ; à J. Chirac qui va veiller à peaufiner la mise en œuvre du discours officiel dans les médias, puis N. Sarkozy qui s’appliquera à maintenir la « mise en place d’une synergie culturelle entre l’Occident et le monde arabe », à F. Hollande qui peaufinera la mise en place des centres culturels musulmans initiés par N.Sarkozy et veillera à faciliter les arrivées de migrants via les bateaux des ONG, jusqu’à E. Macron et ses « contrats territoriaux d’accueil et d’intégration », tous ont en commun un même zèle pour organiser ce que certains appellent  le « grand remplacement »… Sans état d’âme et dans la plus parfaite indifférence, tous ont trahi le peuple qui les a portés au pouvoir…  Tous ont gouverné contre le peuple.

    Maintenant, on aimerait connaître le montant des récompenses reçues en remerciement de leur renoncement, le prix de leur collaboration et de leur lâcheté... 

    Rappelez-vous d’Alain Juppé, surnommé à Bordeaux « Ali Juppé » après sa déclaration, sur Europe 1, le 9 décembre 2009 :

    « Est-ce que la France, est-ce que la République française est islamo-compatible ou pas ? «  Et pour le maire de Bordeaux : « La réponse est "évidemment oui ».

     Mais ils ont tout prévu ! Le crime de "haute trahison" n'existe plus dans le code pénal, il a été abrogé le 1er mars 1994 !

     Les dernières condamnations datent de 1945 pour : Philippe Pétain, Charles Maurras et Pierre Laval. Et, de 1946/47 pour Paul Touvier.

    Depuis lors, La loi constitutionnelle du 23 février 2007 est venue, fort opportunément, protéger le président de la République : Avant 2007, le président de la République n’était "responsable des actes commis dans l’exercice de ses fonctions qu’en cas de haute trahison"...

     

     A suivre...  2e partieLa « Stratégie culturelle islamique pour l'extérieur du monde islamique ».

     

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  • Pays-Bas – Révélations - La politique sanitaire  sous gouvernance militaire de l’OTAN  !Décidément, les Hollandais prennent les problèmes à bras le corps et n’hésitent pas à le faire savoir : après une action collective en justice contre Bill Gates (jugement attendu le 24/11), et une autre procédure collective contre le traité de l’OMS sur les pandémies, c’est maintenant la ministre de la Santé qui vient de mettre les pieds dans le plat !  Pour le coup, les « debunkers de fake news » vont avoir des difficultés à la faire passer pour une complotiste, voire pour une détraquée… 

    La nouvelle ministre néerlandaise de la Santé, Fleu Agema (PVV, Geert Wilders), a récemment regretté de devoir désormais subordonner sa politique de santé aux exigences de l'OTAN, contrairement à ses promesses électorales. Elle a expliqué que les obligations de sa charge nécessitaient cet ajustement. 

    Cette déclaration du Parlement néerlandais, faite par le docteur Dr. Els Veen (trouvée ici ) jette un éclairage très critique sur la gouvernance de la politique de santé. 

    Le Dr. Veen explique dans un article détaillé qu'elle comprend désormais pourquoi des mesures aussi sévères ont été prises contre les médecins, les manifestants et autres critiques pendant la pandémie de corona.

    Selon elle, la soi-disant « préparation à une pandémie » est moins un projet médical qu'un projet militaire, ce qui est devenu clair en Allemagne, entre autres, grâce à la direction temporaire de l'Institut Robert Koch (RKI) par le général de l'OTAN Holtherm.

    Allez savoir ce qu'il se passait chez nous, à l'Institut Pasteur au même moment...

    Elle écrit sur X (https://x.com/veen_els/status/1850525670905888792 )Le

    « La politique néerlandaise du Corona était moins motivée par des raisons sanitaires que militaires et était sous la direction de l'OTAN et du Coordonnateur national pour la lutte contre le terrorisme et la sécurité (NCTV). Les mesures telles que le confinement et le contrôle strict des médecins critiques ne poursuivaient pas des objectifs sanitaires, mais plutôt stratégiques. Pour moi, cela constitue une menace pour la démocratie et la transparence, dans la mesure où un pouvoir illimité appartient à des autorités non élues telles que NCTV, ce qui mine considérablement la confiance dans un État de droit ». 

    Aux Pays-Bas, la politique de santé est contrôlée par le Bureau du Coordonnateur national pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV), tandis que le ministre de la Santé n'agit qu'en tant qu'organe exécutif ! 

    Selon les déclarations, il doit mettre en œuvre des mesures telles que les confinements qui sont spécifiés - indépendamment des considérations de politique sanitaire ou des promesses électorales. Ce lien entre politique de santé et contrôle militaire soulève des questions sur l’indépendance et l’influence des organisations internationales sur la politique de santé nationale.

    « On rapporte depuis un certain temps que le Covid-19 est moins un projet purement sanitaire qu’un projet stratégique aux dimensions militaires.

     Depuis le début de la pandémie, divers experts et analystes ont souligné le lien étroit avec les structures militaires. L'étroite coopération avec les autorités de sécurité et de défense dans la lutte contre la pandémie - depuis l'application de mesures strictes jusqu'au contrôle global de la population - suggère que le Covid-19 est traité comme une forme d'« opération militaire ». L’exemple de la direction temporaire de l’Institut Robert Koch par le général Holtherm de l’OTAN illustre à quel point l’influence des acteurs militaires est profonde sur les autorités sanitaires de divers pays. » 

     

    En 2012, déjà,  la DARPA, la branche de recherche de l'armée américaine, a commencé à investir dans des vaccins génétiquement codés pour stopper une pandémie dans un délai de 60 jours. « C’est l’armée qui a eu l’idée des vaccins à ARN messager, pas Pfizer ou Moderna – et pas à toute vitesse », explique le Dr. McCullough. "Il s'agit d'un programme militaire."

    « L’autorisation d’utilisation d’urgence est un mécanisme permettant d’introduire rapidement de nouvelles technologies dans l’armée. Ce n'est pas un mécanisme destiné au public. La première application généralisée auprès du public a eu lieu dans le contexte de la pandémie de Covid-19. C’est pourquoi la FDA ne semble en avoir aucune responsabilité et ne peut pas agir en conséquence – car il s’agit d’un programme militaire. Elle a une origine militaire.

    Dr. Peter McCullough * est interniste et cardiologue en exercice et l’un des critiques les plus éminents de la réponse au Covid-19. Il est également directeur scientifique de The Wellness Company.

    * Le Dr. Peter McCullough est l'un des fondateurs et président actuel de la Cardiorenal Society of America, une organisation réunissant des cardiologues et des néphrologues pour travailler sur le problème émergent des syndromes cardio-rénaux. 

     

    Au Royaume-Uni, une autre révélation vient de faire l'effet d'une bombe :

    L'opération d'espionnage secrète, à grande échelle, de l'armée britannique a ciblé, et cible encore, les critiques du COVID, les politiciens, les journalistes et les citoyens... 

     Il est maintenant avéré qu'une unité secrète de l'establishment militaire britannique a espionné des citoyens britanniques critiques à l'égard des politiques liées à la pandémie de COVID-19, du confinement aux vaccinations de masse, rapporte l'organisation à but non lucratif de défense des droits civiques Big Brother Watch en collaboration avec The Mail on Sunday.

    Dans le cadre de la « guerre de l'information » menée au Royaume-Uni, le groupe aurait ciblé des hommes politiques et des journalistes chevronnés qui osaient remettre en question le récit du COVID-19. Big Brother Watch a collecté les preuves et les a partagées avec le journal The Mail, fondé en 1896.

    Le duo rapporte que les services de renseignements militaires ont mené des initiatives de collecte de renseignements, notamment de nombreux dossiers sur des critiques tels que David Davis, un ancien ministre qui a remis en question la manière dont les autorités sanitaires faisaient des projections du nombre de morts. D'autres cibles officielles du renseignement militaire étaient des journalistes tels que Peter Hitchens et Toby Young, qui exprimaient des opinions dissidentes.

    Pourquoi des opérations d’espionnage militaire aussi sophistiquées ont-elles été menées contre la population locale pendant la pandémie, sous prétexte de lutter contre la « désinformation » ?

     

    Comment cela a-t-il été découvert ? 

    Selon l'article du Mail , Big Brother Watch , un groupe de défense des droits civiques, a partagé ses propres recherches journalistiques impliquant des groupes tels que l'unité de lutte contre la désinformation, basée au sein du ministère du Numérique, de la Culture, des Médias et du Sport, et son unité de réponse rapide associée. Rien qu'en mai, le groupe s'est procuré un outil d'écoute sociale d'une valeur de 75 000 £ pour suivre la population britannique en ligne.

     

    Le rôle de Big Brother Watch* dans la recherche de la vérité :

    Big Brother Watch est une organisation britannique non partisane qui milite pour les droits civiques et la vie privée. Il a été lancé en 2009 par le directeur fondateur Alex Deane pour faire campagne contre la surveillance gouvernementale et les menaces contre les libertés civiles. Elle a été fondée par Matthew Elliott. Silkie Carlo en est la directrice depuis janvier 2018.

    Le groupe de défense des droits civiques au Royaume-Uni rapporte que des « unités secrètes de Whitehall » sont en mouvement pour espionner la dissidence sur le COVID-19 sous couvert de « lutter contre la désinformation ». Elle rapporte que des hommes politiques, des universitaires, des militants, des journalistes et même des citoyens ordinaires ont été espionnés par des responsables de Whitehall qui font partie d'une « machine de guerre de l'information » au sein de l'armée britannique

    Quelles sont les principales conclusions ? 

    Pays-Bas – Révélations - La politique sanitaire  sous gouvernance militaire de l’OTAN  !Big Brother Watch rapporte :

    • Les unités de lutte contre les fausses nouvelles du Cabinet Office et du DCMS ont passé une grande partie de leur temps à surveiller les médias sociaux à la recherche de dissidence politique sous couvert de « travail de lutte contre la désinformation ».
    • Le chef du parti travailliste Sir Keir Starmer, les députés conservateurs David Davis et Chris Green, des journalistes dont Peter Hitchens et Julia Hartley-Brewer, ainsi que des universitaires de l'Université d'Oxford et de l'University College London, ont été critiqués par les unités anti-fake news pour être critique envers le gouvernement face aux commentaires.
    • Les soldats de la 77e brigade de l'armée ont collecté des tweets de citoyens britanniques sur le Covid-19 au début de la pandémie et les ont transmis au Cabinet Office. Les soldats ont également mené une « analyse des sentiments » sur la réponse du gouvernement au Covid-19.
    • L'Unité de réponse rapide [Cabinet Office] a fait pression sur un département de Whitehall pour qu'il attaque les journaux qui avaient publié des articles analysant la modélisation du Covid-19 dont ils craignaient qu'ils puissent « compromettre » le respect des restrictions pandémiques.
    • Le personnel de RRU a présenté des députés conservateurs, des militants et des journalistes dans des reportages sur les « anti-vaccins » qui s’opposaient aux passeports vaccinaux.
    • La Counter Disinformation Unit [DCMS] entretient des relations privilégiées avec les sociétés de médias sociaux, qu’elle utilise pour recommander la suppression de contenus. Les fournisseurs de services tiers ont parcouru Twitter à la recherche de  violations présumées de ses conditions d'utilisation et les ont transmis aux responsables de la CDU.
    • Des organisations de façade ciblant les minorités ont été créées par la Research, Communications, and Intelligence Unit [Home Office] pour diffuser la propagande gouvernementale au Royaume-Uni.

     

     Et en France ? Il ne se passe toujours rien... Les médias préfèrent se taire (ils ont été rémunérés pour cela (30 M. d'€). Les politiques ont choisi la "collaboration" et, sauf exception (F. Philippot, N. Dupont-Aignan, et plus discrètement, F. Asselineau) sont restés muets... On peut imaginer qu'ils ont été bien récompensés...

    La presse allemande a relaté discrètement les déclaration de la ministre de la Santé néerlandaise...

    Les parlementaires des Pays-Bas nous donnent une leçon de démocratie en organisant la Résistance au prisme d'actions collectives en justice... Et, de la courageuse déclaration de leur ministre de la Santé.

     Faites-le savoir autour de vous !

     

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  • Brèves de comptoir - Santé

    Brèves de comptoir - Santé

     "Les masques tombent, les esprits s'éveillent..."

    Message d’Alexandra Henrion-Caude Scientifique -.Chercheur - Spécialiste de l’ARN - Directrice de Recherche Institut SimplissimA. 

    Vaccins contaminés

    « Je vous avais informé être parmi les 52 cosignataires d'un courrier au 1er ministre AUSTRALIEN (voir les liens en bas de ce post). Que s'est-il passé depuis ?

    La motion « demandant une suspension immédiate des produits Pfizer et Moderna COVID-19 » présentée le 11 octobre par le Conseil de Port Hedland, en Australie occidentale, a REMPORTÉ le vote majoritaire de 5 contre 2. ( https://x.com/CaudeHenrion/status/1845825877587935657)

    IL FAUT QUE CETTE INFORMATION SOIT LARGEMENT DIFFUSEE POUR FAIRE PRESSION

    Cela signifie que:

    1)    « Les 537 conseils locaux d'Australie seront informés de cette demande de suspension immédiate du vaccin à ARNm contre le covid, et des preuves + recherches sur la contamination de l'ADN qui la sous-tendent ».

    2)    A leur tour, les conseils doivent « diffuser les résultats à tous les autres conseils et comités des collectivités locales australiennes [informant] tous les conseils et comtés des conclusions ».

    3)    « Le Conseil exhorte fortement les praticiens à partager ces informations avec les patients ».

    4)    « Le Conseil demande une réponse officielle et publique du ministre Butler » qui est le ministre fédéral australien de la Santé. »

    Dans cette video (lien ci-dessous) on voit les conseillers discuter de « la gravité de la question » autour de cette contamination jusqu'à 145 fois plus élevée [que] les limites de sécurité fixées par la TGA. Prévisualiser la vidéo YouTube DNA contamination in vaccines

    Pour rappel, des études indépendantes menées au Canada, en Allemagne et aux États-Unis ont toutes confirmé des niveaux de contamination similaires.

    Des experts internationaux, dont certains des plus grands oncologues, généticiens, virologues, immunologistes, microbiologistes et biochimistes du monde, ont uni leurs forces pour alerter les gouvernements du monde entier, y compris le nôtre, des dangers que représentent ces contaminants. 

    "Cela pourrait vraiment être le début d'un mouvement populaire au sein des petits conseils gouvernementaux, informant les petites communautés dans toute l'Australie, poussant les gouvernements fédéraux et les États à prendre de véritables mesures ».

    Liens expliquant ce courrier de Russell Broadbent (sur x:@BroadbentMP) et les 52:
    -en anglais: https://youtube.com/watch?v=ICNdzPC2ExY
    -en français: https://x.com/CaudeHenrion/status/1838911753050071339
    Lien expliquant ce vote historique de Port Hedland, Australie:
    https://x.com/Humanspective/status/1845235881504014578

     

     

     

     

     

     

     

    16 octobre 2024 Suspension du vaccin combiné Covid-Grippe Novarax

    Brèves de comptoir - SantéLa FDA américaine suspend l'essai de Novavax sur le vaccin combiné COVID-grippe pour des raisons de sécurité

    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a mis en suspens l'essai par Novavax d'un vaccin expérimental combiné COVID-grippe après qu'une personne ayant reçu la piqûre a signalé des lésions nerveuses, a déclaré la société mercredi.

    Les actions du fabricant de vaccins ont plongé d'environ 20 % à 10,13 $ dans les premiers échanges. Novavax a déclaré qu'elle travaillait avec la FDA pour résoudre la suspension clinique de l'essai de son vaccin combiné et du vaccin antigrippal autonome.

    Le mois dernier, un participant à une étude de phase intermédiaire du vaccin a signalé des symptômes de neuropathie motrice, c'est-à-dire des lésions des cellules nerveuses qui contrôlent les muscles ou les mouvements.

    En mai dernier, Novavax a signé un accord de licence d'une valeur d'au moins 1,2 milliard de dollars avec Sanofi, ce qui a donné à la société biotechnologique américaine les liquidités dont elle avait tant besoin. Cet accord a également permis au fabricant français de médicaments de vendre le vaccin de Novavax dans la plupart des pays et d'utiliser le vaccin COVID avec ses propres vaccins antigrippaux pour mettre au point une combinaison de vaccins… 

     

     Brèves de comptoir - Santé17 octobre 2024 Procès de Bill Gates

    Le procès du milliardaire Bill Gates se poursuit devant le tribunal de Leeuwarden, au Pays-Bas. Il est accusé par six victimes de la vaccination qui ont subi des dommages vaccinaux à cause des vaccins Covid.

    Le groupe demande une indemnisation car il est convaincu d'avoir été délibérément induit en erreur pour recevoir un vaccin COVID-19. Les victimes affirment que les défendeurs savaient que les injections ne seraient ni sûres ni efficaces. L'objectif principal n'était pas de lutter contre la pandémie, selon le groupe.

    Gates avait fait appel, estimant que les juges n'étaient pas compétents. Mais, le tribunal s'est déclaré compétent mercredi dernier.

    Outre Gates, les victimes ont également porté plainte contre l'ancien Premier ministre Rutte, l'ancien ministre De Jonge et le patron de Pfizer Albert Bourla.

    Le tribunal a constaté que les revendications contre les défendeurs sont tellement liées entre elles qu'il est « efficace » de juger toutes les revendications ensemble.

    La tentative de Gates de se soustraire à la procédure a été rejetée.

     Il reste donc une partie dans la procédure principale en cours, qui est menée au nom de six plaignants ayant subi des dommages dus à la vaccination.

    A l'origine, il y avait sept plaignants, mais l'un d'entre eux est décédé entre-temps...

    Le procès se poursuivra le 27 novembre.
    A suivre…

     

    Mise à jour du 28 octobre 2024

    Après l' inculpation de Bill Gates, les Pays-Bas engagent désormais également une action en justice contre l'OMS : un recours collectif contre le traité de l'OMS sur la pandémie et Bill Gates sera entendu le 29 octobre.

    L'Association nationale contre les affaires gouvernementales a fait appel auprès du tribunal pour empêcher le gouvernement néerlandais de signer le traité de l'OMS sur la pandémie. Peu de temps après la procédure d'appel de l'association, l'ancienne ministre de la Santé Pia Dijkstra a démissionné et le 19 septembre, c'est Fleur Agema, qui a été nommée à ce poste.

    Le tribunal de district de La Haye a accordé à Agema un délai supplémentaire de quatre semaines pour présenter sa défense ce mardi 29 octobre. $

    La Chambre des représentants néerlandaise avait déjà adopté une motion appelant le gouvernement à ne pas signer le traité sur la pandémie afin d’empêcher un prétendu « coup d’État » de l’OMS.

    Outre le procès, l'association réclame la fin de la coopération entre le gouvernement néerlandais et l'OMS, invoquant un conflit d'intérêts avec Bill Gates. Ce dernier a déjà été inculpé à Leeuwarden parce qu'un groupe de Néerlandais l'accuse d'avoir causé des dommages à la santé grâce aux vaccins corona. La contestation de la compétence du juge par Gates a été rejetée.

    « Garder le silence ici met des vies en danger », explique Jordy Zwarts, de l'association. "Le silence peut être considéré comme un consentement, et nous n'acceptons pas la tyrannie médicale dans le silence." L'association se mobilise pour enfin conjurer la menace et appelle à son soutien.

    Outre les Pays-Bas, Il existe également une résistance croissante contre l’OMS aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Slovaquie. Mais, toujours pas en France ?

     

     

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