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Quand il n'y a ni immigrés ni migrants, il n'y a pas d'émeutes
Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance, et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.
Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.
Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : «la police tue».
Même le président de la république déclara que cette mort était «inexcusable», condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute, et au mépris de la présomption d’innocence.Dans les banlieues, prenant prétexte de cette mort, d’un bout à l’autre du pays ce fut une explosion de violence contre la police, contre tout ce qui représente l’autorité et porte un uniforme.
Des bâtiments publics (écoles, mairies, commissariat de police, bibliothèque,… etc) ont été détruits par le feu. De même une multitude de véhicules ont été incendiés, ainsi que des bus et des tramways.
À cela il faut ajouter les pillages qui eurent lieu sur le mode «razzias» dans les magasins, notamment de centre-ville et zones commerciales, dont le butin fut ramené dans les quartiers.
En 2005, l’explosion s’était produite dans les seuls quartiers. En 2023, grâce à la Loi SRU qui a obligé les communes de plus de 5000 habitants à construire 25 % de logements sociaux dans lesquels furent mis en priorité des migrants, quasiment aucune ville moyenne ou petite ne fut épargnée.
Par conséquent, au lieu de se limiter aux banlieues des grandes villes, les émeutes actuelles frappent toutes les villes, grandes, moyennes ou petites.
Demain, avec la «transition démographique» voulue par Macron, même les campagnes seront concernées.
La politique de la ville coûte 10 milliards d’€ par an, mais si l’on y ajoute toutes les aides données dans les quartiers (dépenses HLM, APL, aides sociales,…) ce sont 100 milliards qui sont dépensés chaque année.
Les populations de ces quartiers sont les enfants gâtés de la république, pendant que des millions de Français pauvres sont abandonnés à leur triste sort.
Les quartiers, soumis à la loi des marchands de drogues et des islamistes, doivent être reconquis par l’État. Les Lois de la république doivent à nouveau s’y appliquer sans aucune exception.
Les armes présentes dans ces quartiers doivent être récupérées et les trafics de drogue démantelés.
Le code pénal concernant les mineurs doit être entièrement réécrit afin de pouvoir sanctionner les délinquants à partir de 12 ans. La justice doit sanctionner dès la première infraction, au lieu de pratiquer sa «culture de l’excuse» sinon un sentiment d’impunité s’instaure et c’est la porte ouverte à toutes les exactions comme on peut les constater tous les jours, en ce moment.
Les émeutiers, délinquants, agresseurs de policiers et pompiers, pilleurs, doivent être déchus de la nationalité française et expulsés immédiatement de notre pays.
Il faut, de toute urgence, arrêter l’immigration légale et illégale qui frappe notre pays et imposer l’application des OQTF même au prix de quelques difficultés diplomatiques avec les pays de destination.Il faut de toute urgence arrêter le regroupement familial, le droit du sol.
Rétablir un service militaire obligatoire de 12 mois en appliquant les dispositifs socio-éducatifs de l'armée.
Si ces mesures ne sont pas prises, il y aura de nouvelles émeutes mais les prochaines seront terribles.
Les émeutes de 2023 sont le dernier «avertissement sans frais» pour notre pays.Le 3 juillet 2023
Éric Mauvoisin-Delavaud
« Vendée : une vague migratoire annoncée...Loi de programmation militaire : N. Dupont-Aignan rectifie le tir. »
Tags : émeutes, guérilla, pillage, lychage, immigration
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