Le discours d'Eric Mauvoisin-Delavaud - 30 septembre 2023

Les forces de l'ordre sont actuellement utilisées, contre leur gré, par nos gouvernants pour racketter les automobilistes, faire appliquer une ségrégation sanitaire, mutiler les Gilets Jaunes et persécuter les patriotes. Alors qu'elles devraient être au service des Français et avoir pour priorité de neutraliser la racaille et recadrer sérieusement les milices gauchistes qui sèment le chaos sur tout le territoire.

Parce que nos policiers et nos gendarmes sont devenus – souvent contre leur gré - les larbins d'un système politique antinational, leurs missions prioritaires doivent être recentrées sur l’éradication de la délinquance et la criminalité qui pourrissent la vie de nos compatriotes. Pour cela, il faut leur donner les moyens humains, logistiques, judiciaires nécessaires et surtout des consignes fermes et assumées pour rétablir l'ordre par la force s'il le faut.

Le 25 mai 1804, soit seulement sept jours après avoir été sacré empereur, Napoléon 1er décida par décret, de transférer la préfecture de la Vendée, de Fontenay le Comte située au sud du département, vers La Roche-sur-Yon bien plus centrale et se trouvant à une journée de cheval au plus des limites de la Vendée.

L’empereur ordonna donc la création d’une ville nouvelle comprenant tous les symboles civils et civiques de l’époque : une préfecture, un lycée, un tribunal, une prison, des casernes, un hôpital et une place d’armes. Les forces de l’ordre étaient les garantes de cette paix.

On les supplie aujourd’hui de tenter, seulement, de contenir un désordre dont ils ne sont nullement responsables, en constituant un ultime rempart à une barbarie devenue incontrôlable, dont chaque jour la litanie des faits divers se fait l’écho.

Ils sont désormais devenus des cibles : agressés, caillassés, brûlés, assassinés dans leurs lits, traînés dans la boue jusque dans les prétoires. On veut briser la seule énergie qui leur permettait d’affronter même le pire de leur quotidien : LEUR HONNEUR.

Leurs familles se cachent, leurs enfants taisent le métier de leurs pères et de leurs mères, et quand le désespoir les envahit ils mettent fin à leurs jours !

Policiers, gendarmes, policiers municipaux, personnels pénitentiaires, ne sollicitent rien d’autre que la considération qu’ils méritent. Ils acceptent les risques, ils acceptent le danger, ils acceptent souvent de sacrifier leur vie…

Et pour les Français, la situation est encore pire...

Nous avons une société qui est plus violente : sur les réseaux sociaux, dans la rue et dans la vie quotidienne, la question de l’insécurité est d’autant plus palpable si l’on s’intéresse à la question des causes de la violence.

Les trois premières causes sont le laxisme et les dysfonctionnements de la justice , le laxisme d’un certain nombre de parents, et l’immigration.

En 2023, le contexte social semble plus explosif que jamais.

La France vient de connaître plusieurs semaines de grèves et de manifestations liées à la réforme des retraites. Le pays reste également marqué par le mouvement des “Gilets jaunes” contre la précarité et l’injustice sociale, par deux années de restrictions sanitaires dues à la crise du Covid et par une inflation galopante, qui pèse sur le pouvoir d’achat.

De terribles émeutes ethnoculturelles et anti-France. Et une immigration incontrôlée qui ne manque pas de déstabiliser la paix sociale dans notre pays.

Alors nous avons besoin d'être uni, la cohésion nationale devient nécessaire, le soutien à nos FDO indispensable...

Je veux finir par cette citation...

"je vous préviens que l'épée hors du fourreau, je ne l'y remettrai qu'après avoir rétabli l'ordre ." .

Napoléon Bonaparte

Haut les cœurs.