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Le Forum Economique Mondial et ses larbins : les "Global Young Leaders" - 1ère partie.
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Introduction
A l’heure où se presse à Davos le Gotha de l’économie mondiale, c’est-à-dire, chefs d’Etat, ministres, ambassadeurs… mais aussi, patrons des plus grandes entreprises mondiales, personnalités du monde de la tech, économistes de renom, journalistes influents, et même quelques célébrités du showbiz, (tous venus en jets privés), il nous a paru important de consacrer un dossier (en deux parties) sur ce qu’est vraiment le WEF (World Economic Forum), comment il a été créé, et surtout, qui sont ses serviteurs les plus zélés, dans quels buts…. Les années précédentes ont par exemple vu participer des influenceurs, des acteurs et des chanteurs…
Le dénominateur commun de tous les participants, c'est leur influence dans leurs domaines respectifs, et comment l'utiliser au profit de la machine mondialiste.
Tous vont se pencher (officiellement) sur un enjeu majeur : la quête de la paix dans le monde. En réalité, ils ne sont pas vraiment venus pour cela : le réchauffement climatique, les biotechnologies, la transformation numérique mondiale : identité et monnaies numériques = menottes numériques, l’intelligence artificielle, la santé (plan mondial sous l’égide de l’ONU), l’économie, l’éducation, l'agriculture industrielle mondialisée, l'alimentation du futur, la sécurité, l’espace…
Le thème de cette 54ᵉ édition du Worl Economic Forum (WEF) est "Rebuilding trust", soit "Rétablir la confiance" en français. Et le 1er thème de l’ordre du jour : les enjeux de l’information - comment lutter contre la désinformation… (vaste chantier). L'inquiétude au sein du WEF tient aussi aux échéances électorales importantes : 2024 sera un année de transition : les élections européennes en Europe et les élections américaines pour la présidentielle. Face à de tels risques de "bascule" selon Ursula, "il faut maîtriser la communication, ne pas laisser dire n'importe quoi, et corriger au besoin"... En un mot : censurer !
Qui a créé le WEF ?
Le Forum économique mondial (WEF) n’est pas simplement une idée originale de Klaus Schwab. Il est né en réalité d’un programme de Harvard, sous l’égide du Council on Foreign Relations (CFR) dirigé à l’époque par Henry Kissinger, financé par la CIA et mené à bien par John Kenneth Galbraith et le « vrai » Dr Folamour : Herman Kahn. Ce sont eux qui ont recruté Klaus Schwab, qui l’ont aidé à créer le Forum économique mondial.
L'histoire du Forum économique mondial a été fabriquée pour donner l'impression, au départ, que l'organisation était une création strictement européenne, mais ce n'est pas le cas. En fait, Klaus Schwab disposait d’une équipe politique américaine d’élite travaillant dans l’ombre qui l’a aidé à créer une organisation mondialiste basée en Europe.
Si vous connaissez un peu l'histoire de Klaus Schwab , vous saurez qu'il a fréquenté Harvard dans les années 1960, où il a rencontré le professeur Henry A. Kissinger, un homme avec qui Schwab nouera une amitié pour la vie. Mais, comme pour la plupart des informations tirées des annales des livres d’histoire du Forum économique mondial, ce qu’on vous a raconté ne représente pas toute l’histoire. En fait, Kissinger a recruté Schwab lors du séminaire international de Harvard, financé par la Central Intelligence Agency des États-Unis. Bien que ce financement ait été révélé l’année où Klaus Schwab a quitté Harvard, le lien est passé largement inaperçu, jusqu’à présent.
Le Forum économique mondial de Davos (WEF) est un forum de premier plan pour les gouvernements, les entreprises mondiales et les entrepreneurs internationaux. Fondé en 1971 par l'ingénieur et économiste allemand Klaus Schwab, le WEF décrit sa mission comme « façonner les agendas mondiaux, régionaux et industriels » et « améliorer l'état du monde ». Selon son site Internet, « l'intégrité morale et intellectuelle est au cœur de tout ce qu'elle fait » (!).
LE VRAI BUT DU WORLD ECONOMIC FORUM
Permettre aux élites impérialistes anglo-américaines de façonner les politiques européennes selon les intérêts américains (ce que le Général de Gaulle n’a jamais accepté).
COMMENT ?
En asservissant, depuis plus de 25 ans, le personnel politique européen, notamment français, allemand, belge, italien, espagnol, qui forme le premier socle de l’Europe.
Ce qui implique une sélection rigoureuse des candidats aux élections les plus importantes (présidentielles, législatives, régionales notamment). Et d’écarter de toutes les manières possibles, les candidats qui ne remplissent pas les critères attendus, en faisant en sorte que les médias ne les invitent pas à s’exprimer, n’évoquent même pas leur existence, les privent des parrainages nécessaires pour pouvoir se présenter aux élections présidentielles… En un mot : il faut invisibiliser ceux qui ne rentrent pas dans le moule idéologique.
Les Young Global Leaders
Le WEF gère depuis 1993 un programme intitulé "Global Leaders for Tomorrow", rebaptisé en 2005 "Young Global Leaders" .
Ce programme vise à identifier, sélectionner et promouvoir les futurs dirigeants du monde dans les domaines des affaires et de la politique. Et effectivement, un certain nombre de jeunes dirigeants mondiaux ont réussi à devenir présidents, premiers ministres ou PDG (voir ci-dessous). Dans un discours prononcé en 2017, le fondateur du WEF, Klaus Schwab, avait qualifié ce processus de « pénétration des cabinets » (cabinets politiques, juridiques, d’affaires, de magistrats) ...
On sait parfaitement aujourd’hui, que la création du WEF en 1971 a été une initiative de guerre froide dirigées par la CIA, inspirée par Henry Kissinger, pour coordonner et éduquer les dirigeants occidentaux à la manière du « Congrès pour la Liberté Culturelle » de gauche, qui s'est révélé plus tard, être une plateforme tactique de la CIA .
Ce monde oligarchique constitue une « aristocratie » dont tous les membres (plusieurs milliers) se connaissent. De nombreuses ramifications sous forme d’instituts, d’associations, de clubs, d’élus, de dirigeants économiques… œuvrent dans le cadre du mondialisme.
En 1984, le forum crée une sorte de « club » réunissant tous ces dirigeants afin d’accélérer ce processus globaliste. Ce fut l’Informal Gathering of World Economic Leaders (IGWEL) : c’est dans ce cadre à Davos que fut lancé l’Accord de libre-échange Nord-américain (NAFTA).
C’est à partir de cette époque que les dirigeants politiques occidentaux ont commencé à gouverner, ouvertement, à l’encontre des intérêts de leurs peuples, voire contre leurs peuples…
Dans la liste des 21 membres de ces représentants au sein d’IGWEL on trouve Raymond Barre, Premier ministre français ; Pieter Dankert, Président du Parlement européen ; Leslie Fielding, Directeur général des relations extérieures de la Commission des communautés européennes ; Pieter Korteweg, ministre des Finances des Pays-Bas ; Otto Graf Lambsdorf, Ministre de l’Economie d’Allemagne.
C’est un panel de personnes qui révèle déjà la force de frappe de ce milieu, aux compétences diverses rendant possible le fonctionnement de la machinerie mondialiste. Un livre célébrant les 50 ans du forum de Davos, rédigé par ses dirigeants, : A partner in shaping history – The first 50 years, contient beaucoup de révélations sur le fonctionnement du Forum.
Apprécions la perspicacité de l’équipe dirigeante de Davos mettant sur pied une « communauté » de futurs dirigeants appelés, pour la plupart d’entre eux, à tenir un rôle certain au service de la cause mondialiste…
En 1992, la création du Global Leaders for Tomorrow (GLTs) prouve leur sagacité dans la sélection de certaines personnes (Tony Blair, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel, Martine Aubry, Anne Lauvergeon, José Manuel Barroso, Jean-Claude Junker, entre autres…
En ce qui concerne les années 1994 et 1995 : Yitzhak Rabin et Yasser Arafat ont aimablement répondu à l’invitation de Klaus Schwab. Et à la suite des « Accords d’Oslo », ils seront tous les deux Prix Nobel de la Paix en 1994…
Télécharger « 1994 11 27 Courriers Y. Rabin et 1995 09 14 Y. Arafat.pdf »
En 1995, c’est le Cardinal Etchegaray, représentant de l’Eglise conciliaire qui est l’invité de Schwab qu’il remerciera ensuite par une lette dithyrambique (1er mars 1995) : l’Eglise conciliaire a fait officiellement allégeance au mondialisme, mais les fidèles de l’Eglise l’ignoreront encore quelques années…
Télécharger « 1995 03 01 Lettre Cardinal Etchegaray à Klaus Schwab.pdf »
En 2002, Klaus Schwab a lancé à New-York le principe d’un dialogue religieux. Il a véritablement pris forme en 2004 avec le Conseil réunissant près de 100 religieux acquis au dialogue entre l’Occident et l’Islam : "Council of 100 Leaders for West-Islam Dialogue".
Dans un précédent article, nous avions évoqué cette phase évolutive récente qui a vu l’adhésion aux thèses du Forum de Davos des principaux chefs religieux. (http://www.renitens85.fr/les-chefs-religieux-nouvelle-valetaille-du-forum-economique-mondial-kl-a215183755).
Le Pape François a participé au "Council for Inclusive Capitalism", en décembre 2020.
Télécharger « 2020 12 Le Pape François au Council for Inclusive Capitalism.pdf »
2007 – La promotion du mondialisme exige l’indispensable contrôle du monde universitaire afin de repérer et de sélectionner les étudiants prometteurs pour la cause. Ainsi fut créé un forum réunissant de nombreux présidents à la tête d’universités prestigieuses, notamment la très fameuse London School of Economics (LSE) : c’est le Global University Leaders Forum (GULF). Aucun représentant français n’y figure.
Outre de nombreux instituts et organismes financiers ayant accepté de servir les ambitions schwabiennes, on peut retenir les noms, entre autres, de : Cabinet McKinsey ; EDF ; l’établissement financier J.P. Morgan.
Sur ce dernier nom, ouvrons une parenthèse : L’un des banquiers de J.P. Morgan, Jonathan Nadler a pris un congé sabbatique de six mois pour soutenir la campagne électorale d’Éric Zemmour pour la présidentielle de 2022. Un candidat « souverainiste » au service d’une faction oligarchique qui œuvre aux dépens de la civilisation française, qu’il dit défendre… Le système, qui ne fait rien gratuitement, est singulièrement habile pour mettre un leurre en scène et tromper ainsi les patriotes français… et bien d’autres).
Télécharger « 2021 12 02 E Zemmour et le banquier de JP Morgan.pdf »
Il y a aussi la pratique du recrutement consistant à « anoblir » des personnes pleines d’avenir dans le cadre des Young Global Leaders : Bill Gates (1993), Jeff Bezos (1998), Mark Zuckerberg (Facebook), promotion 2004 ; Jimmy Wales , co-fondateur de Wikipédia (2007) ; Stéphane Bancel (Moderna, vaccin ARN), promotion 2009 ; Emmanuel Macron, promotion 2016, élu président de la République en 2017 ; Gabriel Attal, promotion 2020, porte-parole à l’époque du gouvernement Castex. Entre 2013 et 2021 : Edouard Philippe, Chantal Jouanno, Jérôme Guedj (député PS), Bruno Bouygues, David Barroux (Les Echos), Mathieu Vérillaud (Axa, CFO) Franck Riester, Laurent Vallée (Carrefour), Mathieu Gallet, Arnaud Danjean (député européen), Arnaud Favry (BioMérieux), Matthieu Quyollet (SNCF), Coralie Dubost (Député), Guillaume Debré (TF1), Jean-Baptiste Djebari (ministre), Olivia Grégoire (secrétaire d’Etat) … Et, dans le désordre : Christine Lagarde, Kristialina Giorgieva qui lui a succédé à la tête du FMI, Al Gore grand promoteur du réchauffement climatique et ancien président des Etats-Unis, Ursula von der Leyen, le chancelier autrichien Sebastian Kurz , l'ancien Premier ministre italien Matteo Renzi (2014-2016, sélectionné en 2012), les anciens Premiers ministres espagnols José Maria Aznar (1996-2004 , sélectionné en 1993) et José Luis Zapatero ( 2004-2011, sélectionné en 2001), Klaus Regling (PDG du Mécanisme européen de stabilité financière), Mabel van Oranje (princesse des Pays-Bas), le Premier ministre belge Alexander de Croo ( depuis 2020, sélectionné en 2015), Guy Verhofstadt (ancien Premier ministre belge Ministre, président du groupe de pilotage du Brexit), la ministre danoise de l'environnement Lea Wermelin , la Première ministre finlandaise, Sanna Marin , les anciens Premiers ministres finlandais, Alexander Stubb et Jyrki Katainen et Mark Leonard (directeur fondateur du Conseil européen des relations étrangères financé par Soros), et beaucoup d’autres qu’il est impossible de nommer ici par manque de place…
Sources : Young Global Leaders et Global Leaders for Tomorrow sur WikiSpooks et le site officiel du WEF Young Global Leaders.
https://odysee.com/@swprs:3/wef-young-global-leaders-cabinets-2017:0?src=embed&t=81.619689
Canada
Dans un discours prononcé en 2017 , le fondateur du WEF, Klaus Schwab, a cité le Canada comme un exemple de la façon dont le WEF « a pénétré dans les cabinets » et a déclaré que le Premier ministre canadien Justin Trudeau et « plus de la moitié de son cabinet » étaient de jeunes leaders mondiaux.
Justin Trudeau a été directeur de conférence du WEF , mais il n'a pas été confirmé comme un jeune leader mondial. Parmi les jeunes dirigeants mondiaux confirmés dans six cabinets depuis 2015 figurent la vice-première ministre Chrystia Freeland (sélectionnée en 2001 ; ancienne directrice générale de Reuters et membre du conseil d'administration du WEF), la ministre des Affaires étrangères Mélanie Joly (2016), la présidente du Conseil du Trésor. . Scott Brison (2005), le ministre de l'Immigration Sean Fraser (2022) et la ministre de la Famille Karina Gould (2020).
D'autres membres du cabinet ont pris la parole lors de la réunion annuelle du WEF à Davos. Mark Carney , ancien gouverneur de la Banque du Canada, est membre du conseil d'administration du WEF. Dominique Anglade , députée du Parlement du Québec, est également Young Global Leader (2014).
Membres de diverses royautés
La princesse héritière Victoria de Suède, le prince héritier Haakon de Norvège , le prince héritier Fredrik de Danemark , le roi Willem-Alexander Ferdinand des Pays-Bas , le prince Jaime de Bourbon-Parme ( Pays-Bas ), la reine Rania de Jordanie , la princesse Reema Bint Bandar Al-Saud , Reine Lalla Salma du Maroc , roi Wangchuck du Bhoutan .
EXCEPTIONS
RUSSIE
Dans un discours prononcé en 2017 , le fondateur du WEF, Klaus Schwab, a mentionné le président russe Vladimir Poutine comme un jeune leader mondial, mais Poutine ne figure sur aucune des listes de membres archivées. Poutine a assisté à une réunion du WEF en 1992 à Saint-Pétersbourg, où il était à l'époque chef de la commission des relations extérieures de la mairie. S’il a été approché, il est évident aujourd’hui qu’il n’a pas donné suite à ces démarches.
L'entrepreneur russe Pavel Durov , fondateur des plateformes de médias sociaux VKontakte et Telegram, a été mentionné sur le site Web du WEF en 2017 comme Young Global Leader , mais il n’est plus dans le répertoire officiel des membres des Young Global Leaders : il a rejeté l’invitation.
USA
La députée américaine Tulsi Gabbard et l'entrepreneur américain Elon Musk ont été nommés Young Global Leaders par le WEF mais n'ont apparemment jamais participé au programme (voir ici et ici ).
MENTIONS PARTICULIERES :
Le WEF a été impliqué de plusieurs manières dans la pandémie de coronavirus :
- le WEF a été, avec la Fondation Gates, un sponsor de l’exercice prémonitoire de simulation de pandémie de coronavirus « Event 201 » , qui s’est tenu à New York le 18 octobre 2019 – le même jour que l’ouverture des Jeux mondiaux militaires de Wuhan, considérés par certains comme un possible « point zéro » de la pandémie mondiale ;
- le WEF est l’un des principaux partisans des systèmes d’identités biométriques numériques, affirmant qu’ils rendront les sociétés et les industries plus efficaces, plus productives et plus sûres. En juillet 2019, le WEF a lancé un projet visant à « façonner l'avenir du voyage grâce à la gestion numérique de l'identité des voyageurs par biométrie ». En outre, le WEF collabore avec l'alliance ID2020, financée par les fondations Gates et Rockefeller et qui gère un programme visant à « fournir une identification numérique avec les vaccins ». Le programme ID2020 considère notamment la vaccination des enfants comme « un point d’entrée pour l’identité numérique ».
Pendant la pandémie de coronavirus (2020-2022), plusieurs jeunes dirigeants mondiaux du WEF ont joué un rôle de premier plan, promouvant, avec ardeur, des stratégies zéro Covid, des confinements sévères, des ports de masques et des « passeports vaccinaux » numériques. La liste suivante nous révèle qui sont ces jeunes leaders mondiaux.
Jeffrey Zients (coordinateur américain de la réponse au coronavirus à la Maison Blanche), Stéphane Bancel (PDG de Moderna), Nathan Wolfe (EcoHealth, Global Viral, Metabiota), Jeremy Howard (fondateur de l'influent groupe de pression « Masks for All »), Leana Wen (zéro-covid CNN), Eric Feigl-Ding (personnalité Twitter zéro covid), Gavin Newsom (gouverneur de Californie, sélectionné en 2005), Devi Sridhar (professeur anglo-américain zéro covid), le président français Emanuel Macron, le chancelier autrichien Sebastian Kurz, la chancelière allemande Angela Merkel (sélectionnée en 1993), le ministre allemand de la Santé Jens Spahn , l'ancien Premier ministre le britannique Tony Blair (éminent partisan des « passeports vaccinaux mondiaux»), Jeffrey Sachs (président de la Commission Lancet Covid).
AUSTRALIE – NOUVELLE ZELANDE
La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern (Première ministre depuis 2017, sélectionnée en 2014) et le ministre australien de la Santé Greg Hunt (sélectionné en 2003 ; ancien directeur de la stratégie du WEF ). Ces deux personnalités ont déployé un zèle extraordinaire pendant la période de confinement et de vaccination contre le Covid 19 n’hésitant pas à employer des mesures coercitives pour vacciner leur population et pour maintenir un confinement extrêmement dur, allant jusqu’à faire interner les personnes non vaccinées…
Le Forum économique mondial de Davos a effectivement été impliqué dans la gestion stratégique de la pandémie de coronavirus, en mettant l’accent sur l’utilisation de la pandémie comme catalyseur de la transformation numérique et de l’introduction mondiale de systèmes d’identités numériques.
La vision 2018 du WEF : Identité numérique biométrique :
Le WEF est l’un des principaux partisans des systèmes d’identité numérique biométrique, affirmant qu’ils rendent les sociétés et les industries plus efficaces, plus productives et plus sûres. En juillet 2019, le WEF a lancé un projet visant à « façonner le futur du voyage" grâce à « une gestion numérique de l'identité des voyageurs basée sur la biométrie ». Par ailleurs, le WEF collabore avec l'alliance ID2020, financée par les fondations Gates et Rockefeller et qui gère un programme visant à « fournir une identification numérique avec les vaccins ».
https://odysee.com/@swprs:3/wef-young-global-leaders-cabinets-2017:0?src=embed&t=81.619689
En prenant en considération la création du WEF comme étant une initiative du CFR/CIA pendant la guerre froide (semblable à celle du « Congrès pour la liberté culturelle » de la gauche, exposé plus tard comme plateforme financée également par la CIA), les Young Global Leaders, au service du WEF/CFR/CIA, devraient être considérés comme du personnel politique et économique sélectionné par la CIA mais également, à son service...
Le cauchemar dystopique est à notre porte. De nombreux films de science fiction ont annoncé le monde dans lequel nous allons basculer : le film "Time out" (2011) en est un bon exemple.
L'affaire du Covid 19 n'a été que l'outil pour allumer la mèche, lançant ainsi le processus mondialiste. Nous vous révèlerons les détails de ce plan diabolique (non, le mot n'est pas trop fort), dans la 2e partie à venir de ce dossier...
« Lettre ouverte à Mme le Maire de Saint-Jean-de-Monts de Eric Mauvoisin-DelavaudLe discours du Président argentin, Javier Milei à Davos : ça décoiffe ! »
Tags : Davos, WEF, Klaus Schwab, Global Young Leaders, Eglise, Pape François, Cardinal Etchegaray, Eric Zemmour, JP Morgan, Covid 19, mondialisme
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Commentaires
1LienardLundi 29 Janvier à 18:42D'après ce que j'observe de l'actualité affichée par les médias mainstream et les autres médias, je suis d'accord avec votre théorie (?) Votre hypothèse(?).On peut alors facilement en tirer les conclusions sur ce qui nous attend.RépondreCe ne sont pas mes théories : ce ne sont que des faits rapportés, qu'il est important de mettre en perspective pour avoir une vue d'ensemble qui permette à chacun d'entre nous de bien saisir la finalité de ce projet mondial. Certains ont du mal à y croire... Pourtant, rien n'est vraiment caché et, en cherchant un peu, on trouve assez facilement les bonnes informations.
J'ai l'impression que vous avez bien compris ce qu'il en est en réalité...
Mais, la résistance s'organise... Gardez le moral.
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