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L'EUTHANASIE - Un outil démographique de choix ? - Introduction
Comme vous l’avez sans doute compris depuis que vous nous lisez, c’est le dessous des cartes qui nous intéresse avant tout , et non pas le jeu que l’on vous sert selon les circonstances…
Après l’adoption d’une loi qui consacre « l’euthanasie du fœtus » jusqu’à la veille de la naissance – à neuf mois de grossesse, c'est un infanticide – la future loi sur l’euthanasie sera vraisemblablement prioritaire dans l'agenda de la prochaine assemblée parlementaire, signe que la vie humaine n’apparaît plus en elle-même comme indisponible et sacrée, et que nous sommes embarqués dans un mouvement généralisé de « décivilisation » programmé.
Il était donc urgent de creuser ce dossier pour avoir un point vue qui englobe plus largement l'organisation mondiale de ce nouveau paradigme.
La loi sur l'euthanasie est un dossier aussi brûlant que dérangeant en ce qu'il s'inscrit dans un plan mondial de gestion, de planification et de contrôle des populations et des territoires.
Bien évidemment, nous vous donnerons toutes les références pour que vous puissiez vérifier par vous-même la réalité de ces informations.
Nous avons prévu deux articles distincts pour que chacun comprenne que la solution euthanasique va bien au-delà de ce que certains personnages politiques vous ont présenté comme l'octroi d'une "ultime" liberté du patient.
Jean-Louis Touraine, (professeur de médecine, député de 2007 à 2022, parti Renaissance), avait été chargé de "formater" les députés de son groupe et d'ailleurs, en tant que militant de longue date de la cause euthanasique. Il a pu ainsi exercer une influence très efficace sur beaucoup de députés heureux de découvrir les "réponses simples" du "prêt-à-penser" sur un sujet complexe qu'ils ne connaissaient pas et dont ils sont loin d'avoir saisi toute la portée.
Claire Fourcade (médecin coordinateur d'un pôle de soins palliatifs et présidente de la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs) et Jacque Ricot, (agrégé et docteur en philosophie, chercheur associé à l'université de Nantes, formateur des personnels des soins palliatifs) ont mené l'enquête auprès des députés. Ils ont souvent constaté au cours de leurs échanges, à quel point leur information avait été biaisée, voire tronquée, sur la question de la fin de vie. Et leur connaissance des soins palliatifs était très souvent déficiente.
Dans les rares débats publics, on a souvent entendu cette assertion : "Soins palliatifs et euthanasie ne sont pas en opposition mais plutôt en complémentarité". Un argument déjà martelé lors de la préparation de la loi belge qui a dépénalisé l'euthanasie en 2002, une particularité qui n'est pas sans conséquence, nous aurons l'occasion de revenir sur les "débordements" devenus légaux que ce paradigme a entraînés...
Car, loin de correspondre à la réalité de l'expérience des soins palliatifs, l'euthanasie ne s'ajoute pas à ces derniers, elle les contredit dans leur visée profonde.
Il convient d'abord de s'entendre sur le sens des mots.
"L'aide à mourir" est un euphémisme pour désigner une pratique qui ne veut pas dire son nom, pas tout de suite. Cette désignation est un déguisement destiné à faire passer ce qui s'apparente à une "exécution" programmée", pour une assistance bienfaisante.
Or, aider à mourir, c'est précisément la mission des soins palliatifs qui accompagnent la vie, sans retarder la mort qui vient, mais sans la provoquer. Aider à mourir, c'est donc aider à vivre le mieux possible les derniers moments d'une existence qui arrive à son terme.
Mais, aider à mourir, dans la bouche des militants pro-euthanasiques, signifie non plus soulager la souffrance mais supprimer le souffrant. Et, par conséquent, interrompre l'aide, arrêter les soins, stopper tous les gestes humains et médicaux accompagnant la vie qui s'en va.
Non, l'euthanasie ne prend pas le relais des soins palliatifs. Non elle ne les "complète" pas.
Comment peut-on affirmer que l’euthanasie continue le soin palliatif en allant "plus loin" alors qu'elle va "ailleurs" ? Au mépris de toute une éthique du lexique, on a même avancé le syntagme "d'euthanasie palliative" sans mesurer le caractère oxymorique de la proposition.
En Belgique, dans la partie wallonne, il y a encore peu de temps, on évitait de parler de "soin" pour caractériser l'acte d'euthanasie.
En revanche, en pays flamand, on utilise depuis longtemps la notion de "soin intégral" pour le même acte.
Mais au Québec, le législateur, dans une "loi concernant les soins de fin de vie", y a inclus "l'aide médicale à mourir"...
L'euthanasie est donc devenue un "soin de fin de vie" par une manipulation du dictionnaire et du droit.
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Comme précisé en introduction, il y aura deux articles distincts :
1) L'Agenda 21 et la planification démographique (parution le 30 septembre).
Il était urgent d’explorer cette "tendance" à généraliser l'euthanasie partout dans le monde
La généralisation a commencé par les pays occidentaux mais, elle a été concrétisée à... Davos (Forum économique mondial).
Elle est au cœur de l'Agenda 21, transposé dans l'Agenda 2030.
Dans cet article, nous dévoilerons "le plan de réduction des populations" qui est un thème central des réflexions menées par l'élite mondialiste de Davos...
Après la généralisation de l'avortement dans tout l'Occident, l'euthanasie comme outil démographique de choix, ouvre un nouveau chapitre qui nous confronte à un projet démoniaque que n'auraient pas désavoués les Nazis… Et que les "Eurolâtres" ne dénoncent pas, pleinement complices lors de chaque élection, en confortant par leurs votes les positions des partis européistes/mondialistes porteurs de ce changement programmé de civilisation.
Dans tous les cas, l'Agenda 21 est un texte fondamental de la nouvelle gouvernance planétaire. Il est primordial de le porter à la connaissance du plus grand nombre.
2) Interview du Dr Coleman, médecin britannique qui dénonce les dérives liées aux pratiques euthanasiques au Canada, en Belgique et ailleurs. (parution le 10 octobre).
La traduction de l'interview du Dr. Vernon Coleman, qui dénonce depuis plusieurs années les dérives euthanasiques au Canada, en Belgique et ailleurs au point d'être blacklisté de tous les médias grand public, interdit de radio, de télévision, et d'expression en général.
Le Dr Coleman est médecin généraliste principal (retraité depuis peu) et ancien professeur de sciences médicales holistiques à l’Université ouverte internationale du Sri Lanka. Il est titulaire d'un DSc honoraire. Il a témoigné récemment devant la Chambre des communes et la Chambre des Lords du Royaume-Uni dans le cadre de l’enquête sur les conséquences de la vaccination contre le Covid. Il milite aussi, très médiatiquement, contre l’euthanasie en dénonçant les dérives médicales qu’elle a engendrées au Canada et les pratiques plus que douteuses qui ont cours en Grande-Bretagne où l'euthanasie n'est pas encore inscrite dans la loi .
"La connaissance est un pouvoir comme le silence est un consentement".
« BREVES DE COMPTOIR VUES D’ALLEMAGNE ASSEMBLEE NATIONALE - Hold-up sur les postes clés du bureau politique »
Tags : Euthansasie, Agenda 21, Agenda 2030, Soins palliatifs, Manipulation, Personnel politique
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