• BREVES DE COMPTOIR VUES D’ALLEMAGNE

    BREVES  DE COMPTOIR  VUES D’ALLEMAGNELa censure sévit en Allemagne qui compte donner le ton au reste de l'Union Européenne. Qu'on se le dise !

     IL Y A UNE INTERDICTION TOTALE D'INFORMER ET DE PUBLIER DU PREMIER MÉDIA CRITIQUE À L'ÉGARD DU GOUVERNEMENT ALLEMAND. IL EST DESORMAIS INTERDIT AUX EMPLOYÉS D'Y TRAVAILLER.

    Le 5 juin, la ministre de l'Intérieur Nancy Faeser a interdit de parution le magazine Compact ainsi que l’affichage de son site web.

    Mais Jürgen Elsässer, le fondateur de Compact, et ses salariés, n'en ont eu connaissance qu'à la date du 16 juillet, lorsque les forces spéciales ont investi le bâtiment à 6 heures du matin. Le plus étonnant, ou le plus scandaleux, dans cette affaire est que  cela n'a été précédé d' aucune procédure judiciaire, d'aucune audience, d'aucun interrogatoire de témoins !

    Nancy Faeser semble faire cavalier seul et interdit le premier média critique (plus de 40 000 abonnés) à l'égard du gouvernement allemand, catalogué comme étant d’extrême-droite.

    Dans le cadre d’une émission spéciale, l'AUF1 (une nouvelle télévision alternative indépendante en allemand) présente un document du tribunal administratif de Francfort, un document secret de la préfecture de police de Brandebourg et révèle que les employés de Compact sont désormais interdits de travailler pour Compact par décret.

    Regardez et partagez l'émissioBREVES  DE COMPTOIR  VUES D’ALLEMAGNEn spéciale icihttps://auf1.tv/auf1-spezial/sondersendung-zum-compact-verbot-jetzt-wird-es-fuer-alle-brandgefaehrlich

     

    Sur la photo de Stefan Magnet et Martin Müller-Mertens accompagnant l'article, les deux hommes ont l'air très très sérieux. Ils ont de bonnes raisons pour cela. Comme le disent les mots qui traversent l'image : « MAINTENANT, CELA DEVIENT DANGEREUX ».

     

     

     

    Vives critiques peu avant les élections européennes : la Cour confirme le manque de transparence dans les contrats de vaccins

    BREVES  DE COMPTOIR  VUES D’ALLEMAGNE« La Commission européenne a dissimulé à tort des informations concernant les contrats de vaccins. Les accords d'indemnisation et les déclarations de conflits d'intérêts devraient être ouverts à l'inspection », a déclaré le tribunal de l'UE.

    Ce 18 juillet 2024, Ursula von der Leyen (CDU) se présentera à sa réélection au Parlement européen. Peu avant une éventuelle réélection, les critiques visant le manque de transparence dans l’approvisionnement en vaccins pendant la crise du C19 ont été confirmées par le tribunal. Von der Leyen joue un rôle central à cet égard. Plus récemment, les enquêtes contre le président sortant de la Commission européenne ont été suspendues jusqu'aux élections européennes.

    "La Commission européenne a dissimulé à tort des informations sur les contrats de vaccins conclus avec des sociétés pharmaceutiques en 2020 et 2021. Les accords d'indemnisation et les déclarations de conflits d'intérêts devraient être ouverts à l'inspection", a déclaré mercredi la Cour de l'Union européenne à Luxembourg.

    Un milliard de doses de vaccin commandées pour 2,7 milliards d'euros.

    Le tribunal a partiellement fait droit aux plaintes de plusieurs représentants et citoyens de l’UE. Avec les contrats en question, un milliard de doses de vaccin ont été commandées à diverses sociétés pharmaceutiques pour un total de 2,7 milliards d'euros au cours des premières années de la pandémie.

    En 2021, les plaignants ont demandé l’accès à ces contrats et à d’autres documents s’y rapportant. Cependant, la commission n’a fourni qu’une version partiellement expurgée.

     

     

     

     

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